[SEMAINE 1/ JOUR 1] 

P.O.V D'Hitoshi

Cela fait maintenant 1 mois et demi que tu dors, Hiroshin... 1 mois et demi où je viens te voir dans l'espoir de te voir ouvrir les yeux, 1 mois et demi que je ne dors plus à cause de mes cauchemars... 1 mois et demi que j'attends de revenir dans cette école pour trouver ce foutu coupable.
Tu n'imagines pas à quel point ma colère est immense, je n'ai jamais rien ressentit d'aussi fort, c'est même plus fort que le jour où j'ai découvert que quelqu'un t'harceler dans l'ombre. Et ma colère n'a cesser de grandir après la venue du chef de la Saikou Corp, soit disant qu'il était très inquiet de ton état, conneries... Ce qu'il l'inquiète vraiment, c'est la réputation de son école, entre les meurtre de 1980 et maintenant cette tentative de meurtre, il y a de quoi s'inquiéter au sujet de la sécurité de l'école, pas vrai ? Il a promis de s'occuper de tes frais d'hospitalisation et de tout ce qui concernera ta santé, à condition que mes parents ne portent pas plainte contre lui, il a rajouter qu'il ferait tout pour arrêter le coupable. Père et mère ont réfléchit à cette proposition, et ils ont pensées à ta santé en priorité, surtout si le chef de Saikou Corp avait promis de trouver le coupable, ils étaient plus tranquille... Enfin, c'était leurs pensées...
Après avoir accepté son offre, ma colère est devenue plus forte, comme je te l'ai dis, et père est venu me voir, il affichait un air plus sombre et ne semblait pas être comme d'habitude.

« - Hitoshi... Nous devons parler... , m'avait-il dit à ce moment-là »

Au début, je pensais qu'il allait me dire de laisser tomber cette idée de te venger, il a toujours été fort pour lire en moi comme dans un livre ouvert, mais j'étais loin d'imaginer de voir père dans son « second mode » et être sérieux dans notre discussion, surtout avec le sujet que nous avons parler.

« - Tu veux vraiment retourner là-bas, n'est-ce-pas ? »

« - Oui... Oui, je veux retourner en cours, père... »

« - Je te laisse y retourner mais à deux conditions, la première est que tu acceptes d'aller voir un psychologue à chaque fin de semaine, tu ne m'empêcheras pas de m'inquiéter sur ton cas et même si je sais que nous sommes pareils, je sais également que tu en auras besoin... »

« - ... Très bien, et la seconde condition ? »

« - Tiens moi au courant de ce que tu trouve sur ce qui est arrivé réellement à Hiroshin... Je sais que tu ne laisseras pas cette histoire de côté, et même si Mr Saikou nous a promis de s'en occuper, je ne lui fais pas confiance, il sonne faux ce type... Ne te fais pas attraper, mon fils, je sais que tu en es capable... »

J'étais surpris que notre père est remarquer mon état et mes objectifs une fois de retour à l'école, la première condition ne me plaisait pas en vérité, je ne voulais pas en voir, mais c'était la seule condition qui pouvait m'empêcher d'y retourner, et il savait que je ne renoncerai pas malgré ça.
J'ai senti aussi que ces mots étaient réfléchit, il avait du y réfléchir durant un moment, peut-être que cette histoire psy ne vient pas de lui au final mais qu'importe, je pouvais enfin y retourner, c'est tout ce qui comptais pour moi.
Et voilà qu'aujourd'hui, je suis assis à côté de ton lit, à te raconter tout ça en te fixant d'un regard fatigué, le bip de ton battement de cœur me rassurant de ton état stable.

« - Je reviendrais te voir après les cours de toute façon, je te raconterai ma journée, comme d'habitude... Oh et l'infirmière m'a parler de toi justement, ils disent que ton état va de mieux en mieux, ils ne sont toujours pas sur de si tu auras des séquelles ou non mais il faudra certainement te prévoir des cours de rééducation pour que tu puisses marcher à nouveau, mais tout ira bien, d'accord ? »

Je me lève et embrasse le front de mon frère avant de sortir de la chambre, beaucoup me diront que c'est bizarre de faire ça mais je m'en fiche, mon frère est important, il est une partie de moi si je peux dire ainsi. Et c'est sur cette lancée que je prends la direction d'Akademi School, là où mon enquête commencera. J'ai du me renseigner un peu mieux sur l'école, et ce fut assez compliqué de trouver ne serait-ce qu'un journal parlant de cette école.
Comme je l'ai dis, cette école à eu des problèmes par le passé, en 1980, plusieurs élèves ont disparut mystérieusement, des filles seulement... Il y avait une suspecte à cette affaire, une certaine Ryoba Aishi, une élève à la vie banale, ayant de bonne note et qui semble être une personne aimable. Elle a été accusée d'avoir tuées ces filles par amour, le point commun de ces filles étaient qu'elles étaient proche d'un garçon qu'elle aimait beaucoup.
J'ignore comment elle a pu s'en sortir, mais le tribunal l'a innocentée, et l'inspecteur qui l'avait accablé avec des preuves qu'elle a détruite une à une fut considéré comme un type avide de pouvoir et d'argent. Depuis, il n'y a pas eu d'autres meurtres, l'école à pu enfin remonter la pente en espérant enterré ce sombre passé à tout jamais, jusqu'au jour où Hiroshin à eu cette « accident ».
Je n'ai pas plus d'information sur cette affaire, j'aurais bien aimé en savoir plus mais j'ai déjà eu des difficultés à avoir ce que j'ai.
Je me suis dis que j'aurais peut-être d'autres informations une fois sur place, du moins je l'espère, le club de journalisme pourrait m'être d'une grande aide à ce sujet.

« - Hitoshi, attends-moi! , hurle une voix qui m'est familière »

Je m'arrête et me retourne en arquant un sourcil, Gael fini devant moi complètement essoufflé et, après avoir repris son souffle, me tapote le dos en me disant qu'il est bien content de me revoir, mais ne semble pas avoir vu mes belles cernes qui ornes mes yeux.
Il me parle rapidement de ce qui s'est passé durant mon absence, le club de drama sont rester fermé durant 2 semaines par rapport à ce qui est arrivés à Hiroshin, de ce que j'ai compris, Kizana n'a pas du tout aimé que les évènements qui se sont déroulés soient oubliés aussi facilement, j'ai beau ne pas aimé ces airs de princesses, je ne peux qu'admirer son geste à ce sujet. Il y a aussi quelques élèves qui ont fabriqué une boite exprès pour Hiroshin, chacun mets dedans un mot pour lui apporté son soutien, et d'après le blond, ils sont beaucoup à y avoir laisser un mot, même ceux qui ne le connaissent pas.
Enfin, le conseil étudiant ce montre plus actif, en dehors de leur chef, chaque membre de ce conseil tourne dans une partie de l'école, et dès qu'ils voient le moindre mouvement suspect, ils abordent la personne en question et lui demandent beaucoup de chose, que ce soit de manière douce ou forte. Je ne suis pas très proche du conseil, et je n'approuve pas leurs manières de faire, et ce n'est pas que lié à ce qui s'est passer lors de ma course poursuite, cela date d'un bon moment.

« - Rassure moi, ce ne sont pas tes parents qui te force à y retourner en cours ? , me demande subitement Gael »

« - Non, du tout, c'est moi qui voulait revenir, ils étaient contre cette idée plutôt... Mais j'ai trouvé un accord avec mon père... , répondis-je en soupirant »

« - Quoi donc ? »

« - Voir un psy à chaque fin de semaine... Mon père ne m'a pas trop laisser le choix... »

« - D'une part, ça me rassure mais d'une autre, c'était mieux que tu reste encore un peu chez toi... Enfin bon, si tu te le sens... »

Nous arrivons assez rapidement devant Akademi School, certains élèves étaient content de me voir revenir malgré les évènements, d'autres m'ont simplement dit courage par rapport à Hiroshin, chose que j'entends jusqu'à entré dans le bâtiment, j'espère ne pas l'entendre toute la journée...
Avant de partir vers la salle de club, je fais signe à Gael que je viendrais certainement plus tard, sa réponse ne fut qu'un regard inquiet mais me réponds un simple « pas de bêtise ».
A croire que c'est imprimé sur mon visage tiens... Mais ce n'était pas mon but, je voulais juste aller voir l'état du toit, c'était le premier endroit où je voulais aller, bien que je me doute bien que c'est nettoyé depuis belle lurette...

« - Allô ? ... Ugh, Quand vas-tu comprendre ce que je dis ?! Arrête de m'appeler tout le temps, pervers ! JE.NE.SUIS.PAS.INTERESSEE ! , cria d'un coup une voix féminine »

Mon réflexe ? Je me suis plaqué contre le mur près des escaliers, j'étais tellement surpris d'entendre quelqu'un dans le couloir que ma première réaction été de me caché. En quoi cela me regarde d'ailleurs ? Elle semble plutôt bien gérer son problème comme une grande, je devrais plutôt continuer d'avancer au lieu de me concentré sur une discussion téléphonique... Je soupir et me détends petit à petit, prêt à repartir pour mon principal objectif, le toit.

« - Si tu n'arrête pas de m'appeler à tout va, je vais appeler la po- ... Attends... Qu-Quoi ?! Tu n'es pas sérieux ?! »

Le changement de ton me fit rester un peu plus, la personne à l'autre bout du fil lui fait du chantage ? Malgré mon avis de partir en direction du toit, je reste un instant et écoute la suite, ma curiosité mal placée refuse de partir sans savoir ce qui ce passe vraiment.
Je pouvais entendre, à la voix de la « victime » qu'elle se retenait de pleurer, mais la panique ce lisait dedans. Et voulant voir qui était-ce cette personne, elle reprit la parole assez rapidement, comme si elle craignait quelque chose.

« - J-Je n'appellerai pas la police, je te promets ! S'il te plait... Ne fais rien d'horrible... Je... Nous en parlerons plus tard, d'accord ? Très bien... »

La discussion semble être fini, la personne qui était au téléphone ne disant plus rien, je me décide à vraiment reprendre ma destination, je peux peut-être faire un détour vers le bureau de la conseillère d'orientation en lui racontant ce que j'ai entendu... Mais que peut-elle faire dans ce genre de moment ? Et qui dit que cette fille dira la vérité ? Je soupir, pourquoi je me retrouve encore dans des affaires aussi étranges ? C'est en me posant la question que je sens quelque chose, ou plutôt quelqu'un, me rentrer dedans. Assez rapidement, je saisis la barre d'escalier et la personne contre moi, encore un peu et l'un de nous aurait eu très mal durant sa chute.
Mon regard vairon ce pose ensuite sur un regard d'obsidienne, me faisant rater un battement de cœur en le voyant.

« - Je suis désolée, je n'ai pas fait attention, est-ce que tout va bien ? , me demande une douce voix venant de la personne contre moi »

« - Je vais bien, et toi ? Tu devrais faire attention quand tu marches, surtout proche des escaliers... , lui dis-je en l'aidant à ce remettre sur ces pieds »

« - J'étais perdue dans mes pensées... Encore une fois, navrée... »

Il ne me semble pas l'avoir vu dans cette école, une nouvelle ? Tout ce que je sais, c'est que son regard m'intrigue... J'ai l'habitude de pouvoir lire dans les yeux des gens, c'est ce qui me permet de savoir ce qu'ils souhaitent la plupart du temps, que ce soit venant de moi ou d'autre chose mais elle...

Je n'y arrive pas...

Avant même que je ne me pose la question du pourquoi, la jeune élève s'en va en me souhaitant une bonne journée, je reste un petit moment au dessus des escaliers comme un idiot, à la voir partir. Pourquoi mon coeur à réagit ainsi ? C'est bien la première fois qu'une fille me fait réagir, qu'est ce qu'elle a en plus des autres ? Encore une fois, je décide de partir avant de me poser plus de question, j'ai autre chose de plus important à faire après tout...
J'ai passé tout le temps de repos à fouiller le toit mais comme je m'en doutais, durant mon absence il a été nettoyé, je n'ai donc pas pu en tirer quoi que ce soit... Même la personne qui aime y être n'a pas pu m'en dire plus, juste qu'elle avait effectivement vu Hiroshin sur le toit mais qu'elle n'est pas rester plus longtemps pour aller prendre son repas. C'est sur cette note amère que je me dirige en cours, il faudrait que je puisse regardais les caméras de l'école si je veux espérer avoir quelque chose mais mon petit doigt me dit que je n'aurais rien en demandant, au final, je suis déjà au pied du mur avant même d'avoir commencer... Bordel...
Le cours ce passa à peu près comme d'habitude, en dehors du professeur qui m'a gentiment dit que je pouvais aller à l'infirmerie si je ne me sentais pas bien, j'ai vite repris mon rôle de bon élève. Mais j'ai bien remarquer que personne n'osait me demander de l'aide, ils ne voulaient pas ce faire passer pour des sans coeur, chose à quoi je leur ai répondu que les aidaient me permettait de justement penser à autre chose.

Bien entendu, c'est un vulgaire mensonge, mais au moins, ils gardaient leurs pitiés pour eux...

Je leur suis reconnaissant de s'inquiéter pour mon frère et de mon état, mais je ne souhaite pas que cela évolue en de la pitié, ça n'aidera personne ce genre de chose.

« - Merci Hitoshi, j'avais beaucoup de mal avec cette formule ! »

« - Ce n'ai rien, j'espère que tu comprends mieux maintenant... »

L'élève que je venais d'aider m'affiche un sourire des plus radieux avant de reprendre sa place, discutant avec son amie, aider les autres ne m'a jamais déranger, au contraire, cela m'apportait un peu de joie de les voir réussir par la suite. Bien entendu, depuis ce qui est arrivé à Hiroshin, il m'est difficile de ressentir, ne serait-ce qu'une peu, cette même joie. J'ai même l'impression que je suis devenu... Plus froid.
Mon cœur n'est plus aussi ouvert qu'avant, et même si j'agis de la même manière, ce n'est pas comme avant... Je me sens... Brisé... Je pense que c'est le meilleur terme que je puisse utiliser pour définir comment je me sens. Mais peut-être que la fatigue y est pour quelque chose aussi, qui sait ? La cloche sonne après ma énième question, je n'ai même pas vu le temps passer, je prends mes affaires et sort de la salle de classe, direction vers le prochain cours. Je sais que nous avons une pause mais j'ai toujours fait ainsi, attendre devant la salle pour le prochain cours.

« - Eh Hitoshi ! Tu veux pas venir au club pour changer ? »

Je me retourne une nouvelle fois, un garçon me sourit amicalement tout en me posant sa main sur l'épaule, Budo. Il est vrai que je ne suis pas venu au club au final, j'étais tellement déçu et dégoûté de ne pas pouvoir trouver quoi que ce soit sur le toit que j'ai oublié de venir.

« - Pourquoi pas, ça me changera, effectivement... »

« - En plus il y aura l'ancienne cheffe du club, tu ne l'as jamais rencontré il me semble ! »

« - Tu parles de celle que tu n'ose pas avouer tes sentiments ? »

« - Eh ! Gael me suffit sur ce sujet ! »

Nous nous dirigeons vers le club d'art martiaux, Budo est une personne assez joyeuse et très loyal, que ce soit envers ces amis ou sa famille, personne ne peut lui reprocher ce trait de caractère. Il a tout pour plaire, mais son seul problème est qu'il n'assume pas les sentiments qu'il a pour l'ancienne cheffe du club. Il en parle assez souvent, surtout quand il raconte comment il est devenu le chef actuel, ou alors quand il l'a voit quelque part. Gael lui a souvent dit qu'il devrait ouvrir les yeux au lieu de faire comme si de rien n'était mais ça fini souvent en dispute entre les deux.
Une fois devant la porte du club, nous entrons, Budo annonce mon arrivé comme si j'étais un prince, tout le monde rigole à ça et me salut ensuite, visiblement je leur ai manqué au vue de leurs regards pétillant. Enfin, il y a une personne, voir deux, que je ne connais pas dans le tas, et c'est plus un regard curieux qui me fixe.

« - C'est donc lui, le fameux Hitoshi Arystal ? , demande l'une des filles avec un grand sourire »

« - Et oui, le seul, l'unique ! On ne dirait pas comme ça mais il est redoutable comme adversaire ! »

« - Budo... J'ai certes un bon niveau mais je suis pas imbattable non plus... »

« - Ah ah, ne soit pas modeste voyons ! Je me présente, je suis Raibaru Fumetsu, l'ancienne cheffe du club ! Et voici ma meilleure amie, Osana Najime ! »

« - B-Bonjour... »

Je reste un instant fixé sur la dénommée Osana Najime, sa voix m'est familière mais où ai-je pu l'entendre ? Le moment où j'ai surpris une conversation des plus délicate me revient en tête, je n'ai pas pu voir son visage mais sa voix... Je la reconnais bien.
Qui aurait pensé que je tomberai, comme par hasard, sur la personne qui a des problèmes avec une personne inconnu au bataillon ? A croire que le destin veut que je fasse quelque chose pour elle... Raibaru nous parle assez rapidement des souvenirs qu'elle a du club, sans oublier les entraînements qu'elle a donné à Budo, apparemment elle n'a pas été tendre avec lui durant ces moments-là.

« - Une impression de déjà entendu, pas vrai ? , me demande ironiquement Gael »

« - Je dirais plus d'une vingtaine de fois... , dis-je assez complice »

« - Budo vous en a déjà parler ? Je suis célèbre dit ! , réponds Raibaru en rigolant »

« - Mouais, disons plutôt qu'un certain n'assu- »

Je ne suis pas étonné de voir Budo donner un coup de coude à Gael pour le faire taire, le rouges jusqu'aux oreilles, voilà une nouvelle dispute qui démarre entre les deux amis, j'en soupir. Durant cette dispute, Raibaru rigole un peu en essayant de les séparés, je fis vite comprendre que ça ne va pas durer longtemps en lui expliquant que c'est une tradition ici.
Et sans aucune raison, mon regard ce porte vers l'entrée du club, et ma réaction fut immédiat. Une silhouette était là, nous observant, mais comprenant que je l'avais remarqué, elle prit la fuite au plus vite, et je pars à sa poursuite en disant que je devais faire quelque chose.
Comparé à la première fois, je ne mis pas longtemps à rattraper la personne qui avait tenter de ce cacher dans l'une des réserves de l'étage, je n'ai pas hésité une seule seconde à mettre mon pied pour empêcher la porte de ce fermer et, une fois dedans, c'est moi qui ferme cette dernière.

« - Je vais être très clair, je ne te ferai rien tant que tu es honnête avec moi... »

J'avance de quelques pas avant de m'arrêter devant la personne que je poursuivais, ce même regard obsidienne me fixant avec surprise. Encore une fois, mon cœur rate une nouvelle fois un battement, et mon air froid s'envole comme si on l'avais chassé d'un coup de main.
En face de moi ce trouve la fille que j'ai attrapé dans les escaliers, des cheveux relevés en une queue de cheval haute, portant aussi l'uniforme de l'école et des mitaines noires montant jusqu'à ces avant-bras. Son regard voulait exprimer la peur mais en réalité, elle n'exprimait rien du tout, ces yeux semblaient vide...

« - Que... Pourquoi étais-tu derrière la porte de notre club à nous espionner ? »