Point de vue Y/N

Je fus choquée par sa proposition. Comment pouvait-on être aussi gentille ?

« C'est bien aimable de votre part, je ne saurais comment vous remercier », dis-je en souriant.

« Mais c'est moi qui vous remercie, très chère ! » répondit-elle étonnée.

Je monta les escaliers en colimaçon désignés et marcha sur les planches en bois de ceux ci.Les escaliers mènent à un long et vieux couloir mal éclairé.Je trouva, comme elle l'avait décrit, après avoir ouvert la poignée de la première porte a gauche, une petite baignoire anglaise, pas très grande mais assez pour se détendre de dans.J'enleva mes vêtements, les déposant soigneusement sur une vieille chaise près d'une petite table. La pièce, étroite et rectangulaire, semblait se refermer sur moi. Un pied a près l'autre dans la baignoire je laissa couler l'eau contre mon corps.L'eau chaude pénétra mes pores, je me laissa enivrer par la mélodie des gouttelettes qui se formaient devant moi. J'ouvris les rideaux de douche couleur sable que j'avais fermé et vis la vendeuse devant moi, un sourire mystérieux aux lèvres et une serviette en main.

Elle me regarda d'un regard insistant vide, comme si elle doutait de chacun des choix qui avaient façonné sa vie,« Est-ce que le service était à votre goût, très chère ? ».

Je sursautai légèrement à son arrivée et ria doucement, acceptant la serviette qu'elle me tendait et la plaça autour de mon corps mouillé.

La lumière de la pièce crépitait et scintillait, ajoutant à la pièce une ambiance terrifiante. Elle sourit et me demanda de la suivre une fois que j'aurais séché fini de ma lavette. Je me sécha minutieusement, enfilai les chaussons rose qu'elle avait soigneusement déposés près de la porte d'entrée. Néanmoins un détail étrange me frappa : Il y avait de sorte de gouttelette rougeatre sur le mur, je nota aussi qu'il n'y avait aucun miroir donc aucun moyen de savoir dans quel état je me trouvais.

Je sortis de la pièce et refis le chemin inverse.

Je l'a trouva assise sur une siège entrain de trié de la tonne de papier tout en sirotant un thé lunette sur le nez, elle remarqua ma présence dans la pièce et m'adressa un sourire, « Les cabines sont juste là. Prenez votre temps. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, n'hésitez surtout pas, haha ! » dit-elle en montrant des rideaux bordeaux près de la caisse.

J'ouvris la cabine et y trouvai la robe. violette, je l'enfila sans difficulté, mais le corset me laissa perplexe. N'ayant pas l'habitude de le faire seule, je plaça un pied sur le mur, baissa mon dos pour pouvoir serrer les cordes du corset au maximum. Cette scène était étrange, presque irréelle, mais je réussis tant bien que mal à finaliser la tenue.

Bonjour, j'espère que vous aviez apprécier mon chapitre, sur ce bonne journée/ soirée !