Retraite au labo et inconscience
Il fait noir. Ou suis je ?
Je dois être mort. La mort est venue me prendre plus vite que ce que je pensait. Je pensait que je pourrai finir ce que j'avais a faire avant de la rencontrer, mais il en a été décider autrement. J'aurais tellement voulut faire de chose avant de mourir. J'aurais voulu faire l'amour avec Dabi-kun une dernière fois, ya pas a dire, depuis qu'il ma avouer en quelque sorte qu'il ne voulait pas me partager il a été très présent pour moi. Petit câlin, embrassade, mauvais regard noir sur les clients qui me mataient sans vergogne, ballade avec en bonus quelques larcins, déconnade sous stupéfiant et surtout, de la bonne baise avec ma prise de cachets. Et ce qui me plaisait le plus, mais que jamais au grand jamais je n'avouerais, c'était qu'avec lui, contrairement a Tomura, je ne me suis pas réveiller seul ou le peu de fois j'avais un petit mots pour m'informer de la raison de son absence. C'est bête et niais, surtout pour un méchant mais j'aimais beaucoup ça. Sans parler de ses coup et brulure, ses jeux sadique, ses derniers n'ayant pas le même impact sur moi que ceux de Tomu-chan, mais qui était un vrais délice. Rien que de penser a sa façon de m'attraper les cheveux en me susurrant des chose sale a l'oreille pendant nos rapport pourrais me donner la gaule si je n'était pas mort .
J'aurais voulu me défouler avec Himiko, jouant au chat mortuaire dans le cimetière de la ville une dernière fois. Elle n'avait pas son pareille pour récupéré les meilleurs ADN avec les meilleur alters sur les cadavres en décomposition permettant au chef de faire de splendide expérience sur les noumus. Himiko, j'aurai voulu te dire a qu'elle point tu comptait pour moi tel la sœur que je n'avait jamais eu. J'aurais voulu qu'on continue a dévaliser les personne dans les ruelles sombres et humide comme la fois ou nous somme allez en boite. Tu avais le don de me surprendre a chaque massacres, de part une nouvelle technique de torture ou par la façon dont tu vidait tes ennemie de leur sang. Ton visage maculer de liquide rouge traçant de fine marque sur ta peau et ton sourire tordu de folie a toujours été ta plus belle facette. J'aurais du lui montrer a quelle point elle été importante pour moi avant de mourir.
J'aurais voulu féliciter Black Mist pour ses délicieuse boissons. Comment ce type réussi a faire de si bonnes boissons dans un café fictif ou il y a une machine a café défectueuse, de la drogue dans les réserves, un frigo qui va sans dire ne fonctionne que peu et dont les revenue sont plus que médiocre donc café et autre type de denrées plus que médiocre au niveau de la qualité ? Black Mist a toujours été de bon conseil et d'une oreille confidente pour les vilains les plus jeune. Je pence que comme moi, beaucoup le voyait comme un père de substitution. J'aurais du lui dire que beaucoup ne le voyait pas juste comme un simple portail, comme une simple porte de raccourcie pour ce déplacer discrètement. J'aurai aimer qu'il le sache mais je suis mort avant.
J'aurais aimer me faire mettre a mal par le pouvoir de Tomura une dernière fois. La douleur de ma peau se détruisant me manque même si Dabi me fait tout, absolument tout ce que je lui demande en sévices. J'aurais aimer savoir de quoi ils parlaient ensemble la dernière fois. Je n'ai pas réussi a m'enlever de la tête qu'il parlait de moi. J'aurai aimer voir Tomura réaliser son rêve. Mais je suis mort avant d'avoir pu réaliser le mien. Ayant le même but que lui.
La mort du symbole de paix. La mort d'All Might. La mort de l'image même de la lumière dans ce monde si sombre.
Il avait tant d'idée pour cette mort dont il rêvait. Il avait imaginer tellement d'exécutions sur le symbole de paix. Étranglement, éviscération, décapitation, démembrement, ..... le tout devant la vue du monde. Que le monde entier pleure la perte de leur sauveur. Que leur larmes de peur et de désespoir se mêlent au sang des héro imbibant le sol du champ de bataille. Que leur supplication se mêlent au son des cries vibrant dans l'air tel la résonance d'un chant funeste. Chantant la fin.
La fin d'une époque, d'un mythe, d'une légende.
La mort est d'un ennuie quand il ne s'agit pas de celle des autres.
Mon corps est lourd. Je ressent une brulure qui me dévore les chairs comme si mon corps fondait lentement, ce liquéfiant. Je ressent une douleur sourde dans ma tête comme si elle allait exploser, comme si on la compresse tel une pastèque jusqu'à l'implosion. Je ressent des picotement dans mes jambes et mes bras. Je ressent ..... je ressent .....JE RESSENT ....
Si je ressent c'est que je .... ne suis pas.....mort.
Un mort ne ressent rien.
Et si je ne suis pas mort.... cela veut dire....
Je sentit mes traits ce tirer en une grimace semblable a un sourire.
..... que le jeu n'ait pas finit.
Je sent une légère caresse tel un effleurement sur la peau de ma joue. Tel une plume volant sur une brise.
"- Tu dois te réveiller mon mignon Izu-chan. Himiko est triste sans toi et Tomura est en rogne contre les héro ce qui veut dire qu'il ne faut pas que tu loupe les représailles. Elles promettent d'être sanglante. Et puis....."
Je ressent une légère pression sur mes lèvres et ouvre difficilement les yeux qui papillonnent du a une lumière trop vive. Une ombre devant moi se redresse et le temps que ma vision se mette d'appoint, une voix a mon oreille susurra :
"- .... je ne veut pas que tu parte, jamais, tu m'est tellement cher, même si je ne le te dirais pas très souvent."
Ma vision bien remise en place, je vois a coter de moi Dabi qui se redresse.
Je regarde un peu partout essayant de me repérer. Je suis sur une table d'opération en acier plus que vieillotte au vue des marques de rouilles. Il y a des piles entières de paperasse qui sont étaler sur des petites tables pliante acheter a bas prix. La lumière des néons étaient agressive pour la rétine. L'odeur de produit médicamenteux et de ... formol.
Cette odeur, je savais ou je l'avais déjà sentit. Le labo.
Je fixe mon regard sur le dos de Dabi qui se tenait a l'encadrure de la porte.
Il se décala et je n'eus pas le temps de comprendre se qu'il m'arrivait que je reçu un violent choc du au poids de la personne s'étant jeter sur moi. Je gémis quand une douleur ce fit sentir a mon torse. Dabi s'aprochat de moi, attrapa la personne qui semblait vouloir se transformer en sangsue, et l'éloigna de mon corps meurtrie. Des cheveux blond, de longue canine, un regard sadique quoique baigner de larmes, je reconnue Himiko. Elle pleurais.
"- Izu-chan, j'ai eu si peur. J'ai crue que tu ne te réveillerais pas. Me refais pas un coup pareille.
- Désoler Himiko. Je ferais attention la prochaine fois."
Elle sortit de la poigne de Dabi et me fit un câlin tout en évitant de s'appuyer sur mon torse. Puis elle partit a toute vitesse. Mon amant se mit a coter de moi et me souleva le maillot que j'avais.
Ce qui était étrange c'est que je ne me souvenait pas avoir mis ce t-shirt.
Des lèvres se posèrent sur mon front coupant court a mes début de réflexions.
"- C'est moi qui tes mis tes vêtements. Tu a eu une grosse blessure pendant le combat et je tes récupérer avant que les héros ne puissent te mettre a mort.
- J'ai mal."
Il releva mon haut et je put voir l'ampleur des dégât. Mon torse était marquée d'une immense brulure suintante. Une brulure. Mais elle était d'une laideur abject. Rien a voir avec les splendides arabesques des douces brulures de son tendre amant. Celle ci était moche. Une vil brulure. Une brulure... a l'acide.
Dabi me caressa tendrement la tête et je sentit son inquiétude a mon sujet.
"- Je vais prévenir Tomura de ton réveil, et je te promet que notre vengeance sur les héros sera sans doute merveilleuse."
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top