Lorsque j'ouvris les yeux, avec assez de difficulté, je me rendit compte en toute première chose que j'étais seul. Seul dans un lit qui n'était pas le mien, dans une chambre qui appartenait a quelqu'un d'autre. Je me redressa et sentit de légère tiraillement sur mon torse. Pourquoi étais je bander ainsi ?

Puis je regardit la chambre et me rappela vaguement deux trois détails. La douleur de mon crane... une langue d'où j'attrapais mon médicament.... un mouvement en moi.... de la poudre blanche..... du plaisir mêler a la douleur.... la jouissance.

Haussant mes épaules, je me dirigea, complétement nu, vers ma chambre ou je pris de quoi me changer. Mes jambes me semblait être du coton. J'avais du dormir un sacrer moment pour être ankyloser ainsi. Une fois mes affaires en mains, je me dirigea vers la douche. Je croisit Dabi qui m'expliqua rapidement que je devait vite voir Himiko qui voulait absolument que je lui raconte mon combat. Avant que je reparte Dabi se penchât vers moi et me susurra:

"- Tu ne devrais pas te balader ainsi, tu risquerais de te faire prendre le long d'un mur.

- Pourquoi Dabi-chan, tu est en manque au point de t'en prendre a un pauvre jeune homme sans défense ?"

Il pouffa.

"- Toi ? Un jeune homme sans défense ? Dois je te rappeler ce que ce jeune homme sans défense comme tu le dit si bien a fait dans une vielle usine désaffecter il y a 3 jours ?

- Trois jours ?

- Oui Izu-chan, tu est rentrer il y a 3 jours et tu a dormis comme un mignon bébé depuis deux jours. Tu me remerciera d'ailleurs pour les soins que je tes fournit le lendemain de ta coucherie avec le chef."

Je lui fit un magnifique sourire et le chopa par le col de son haut et colla nos deux front, ne laissant qu'un très léger espaces entre nous.

"- Et quelle genre de récompense veut-tu, Dabi-kunnnnn ?"

Et la, l'homme en face de moi eu des larme au yeux et me supplia.

"- Pitier, occupe Himiko pendant deux trois jours. J'en peut plus de ses plan galère, elle me soule, j'vais la tuer si sa continue.

- Dans ce cas laisse moi aller me laver et arête de bander."

Il se redressât rapidement, regardait son pantalon qui, effectivement, était déformer par un belle et large bosse. Je l'abandonit donc a ses activiter et partit donc me laver.

L'eau chaude sur ma peau m'offrait de divine sensation. Et ce con de Dabi qui m'avait donner des frisson avec sa voix et son corps trop proche de moi. Je soupirais. Ma main descendit sur mon érection et s'atella a la caresser pour la durcir encore plus.

Les beaux mecs sadiques et un poil sournois le mettait toujours dans un état d'excitation. Ce n'était pas comme ça avant, se dit t'il en caressant sa verge d'une main, tendis que l'autre s'approchait de son intimité. Je préférais les homme doux et prévenant, qui aimait me surprendre et qui était protecteur avec moi. Mais je me suis vite rendu compte que ce genre d'homme ne pourrait jamais le combler. Plus depuis.... depuis quand déjà....

"- Mmmmm, hann hann aaaaaa."

Je sentait mon corps se resserrer sur mes doigts, le plaisir coupant a mes réflexions. J'avais l'impression que mes jambes tremblais et que ma vue se brouillait. Mettant mon front sur le carrelage murale de la douche, je me laissa glisser le long de la parois gardant ma main en moi et m'activant toujours sur mon membre. Ma gorge se noua a mes halètements.

Mon corps se bloqua a ma jouissance. Je mis quelque instant a me remettre du contre coup du plaisir. Je me redressit, me lava et rinça la mur ou les preuve de mon acte était visible. Une fois habillé, je partie dans la salle du café, saluant au passage Black Mist et les rares client qui, pour certains me firent des regards aguicheurs, pour me dirigé vers une jeune fille blonde qui savourait un milk shake rose. Quand elle m'aperçut, elle se jeta sur moi.

"- Mon Izu-chan, tu est enfin reveiller, je suis trop contente, tu vas pouvoir me raconte. Le chef ma dit que tu avais jouer avec un cadavre et que c'était grandiose. Du sang et des larmes partout.

- Himi-chan, si tu souhaite que je te donne tout les détails, il faut que tu me lâche. Tu m'étouffe."

Himiko m'attrapa la main et me fit m'assoir a sa table. Je lui raconta donc mon combat contre les héros et la scène de la décapitation ainsi que de mon jeu macabre sur la tête du merdeux violet. Et quand elle me demanda pour les deux autres, je la regarda avec incompréhension. Voyant mon air confus, elle  me montrât son téléphone.

"- Regarde sur la page  °info des héros°."

Je fit ce qu'elle me dit et je resta bouche bée. Puis je regardit Himiko puis son portable puis de nouveau Himiko et je lui fit un immense sourire. Elle me le rendit encore plus grand ce qui lui donnait un air psychopathe. J'adore cette fille, elle était complétement accro au truc bien gore et elle me donnait toujours de bon conseils pour m'amuser pendant un combat. Elle était comme une sœur et j'étais pour elle comme un petit frère a qui il fallait enseigner les ficelle du métier.

"- Aller Himiko, viens je te paye une tournée sanglante. Rien que toi et moi ce soir, va te préparer on va d'abord faire les boutique."

Elle me sauta au cou manquant de renverser la table entre nous, et partit comme une fusée vers l'arrière salle. Je regardit la télé qui était sur le bord du comptoir, en attendant que ma pote se prépare a notre sortie.

"- Et pour clore notre flash info, nous vous rappelons que la marche organiser en l'honneur des trois jeunes apprenti héros mort dans le violent combat qui a eu lieu il y a 3 jours lors d'une inspection dans une usine qui servait de base a certain vilain. Les jeunes Mineta, Koda, et Sato seront enterrer samedi prochain en présence du corps enseignant et de leur familles respectives. Hommage a ces braves adolescent morts des suites de leurs blessures. Maintenant la météo avec........ "

Je me mis a rire intérieurement. Moi qui pensé n'avoir tué que l'un de ces déchet, j'en avait tuer trois sans même m'en avoir rendu compte. Les deux autres avait du mourir sous les décombres du bâtiment. Je sentait que j'allais vraiment bien m'amuser ce soir, Himiko voulait vraiment fêter ça. Et ce que Himiko voulait, Himiko avait.