La naissance d'un plan menant a la fin
Il fallut du temps pour que je soit sur pied, apte a me battre.
La blessure sur mon torse avait été soigné par Himiko et Dabi. Le pus avait arrêter de couler de la cicatrice bruler et la peau avait cesser de ce déchirer a tout vas. La douleur n'était plus trop présente sauf si j'appuyais trop intensément dessus. Mais je me vengerais.
Je m'assit au coter de Dabi. Tomura avait appeler tous les vilains de notre alliance pour faire le point. Lors du combat qui avait eu lieu dans le café, il y a maintenant une semaine, beaucoup d'entre nous étaient tomber, mort ou blesser grièvement, sous l'assaut des héros. Les survivants qui n'avait put se sauver se retrouvèrent derrière les barreau de la plus sécuriser des prison du pays. Nous n'étions plus très nombreux, une vingtaine a tout au plus. En plus de Brainless et de cinq de ses congénères. Mais les héros avaient aussi perdu un bon nombres de leur effectifs. Nombreux sont ceux qui on périrent sous les coups de Brainless et brulèrent face a Dabi. Quand a moi j'avais éliminer le héro blond électrique.
Nous avons aussi perdu le café, notre maison, et toute nos affaire qui avait du être mis sous sceller pour l'enquête. Quand j'y pense, je me dit que ce qui me manquera le plus, ce n'est n'y la poudre blanche qui me faisait voir le monde haut en couleur, n'y encore mais cachets contre la douleur qui me faisait me sentir si bien. Pas plus que les nombreux cahiers de sa bibliothèque, même si cela me fit un léger pincement au cœur de me dire que les inspecteur pourront y liront ma faiblesse d'autant. Non ce que je ne pouvait avaler, c'est que les héro s'en soit pris a notre maison, notre lieu de vie. Mon lieu de vie. Mon lieu ou je vivait avec l'homme de mes nuit... et peu être aussi de ma vie même si je ne l'avouerais pas mais je ne pouvait nier le fait que ..... putain j'étais dingue de Dabi. De ses grande mains caressante, de son corps ou la bicoloriter était de mise. Sa peau blanche et ses marque violacer. Je nais pas pourquoi mais quand je vois c'est deux couleur si différente sur son corps.. sur son visage, ... vers ses yeux.... Bref il faut que je me calme un peu. Dire que nous avions eu la politesse de ne jamais attaquer dans les foyers. Après tout, je connais beaucoup d'adresses chez les héros de la classe de la filière héroïque. J'aurais put les tuer pendant leurs sommeilles, eux et leurs familles. Mais j'ai un minimum de respect et de moral. Pas eux. Les héros sont venue chez nous, j'aurais su, je les aurait déjà tous fait égorger par Himiko chez eux. Je me vengerais.
La réunion est terminer depuis deux bonne heure et je me suis enfermer dans une des nombreuses pièces de notre labo secret. Je tourne en rond tel un animal en cage, cherchant une idée. Une légère odeur de cigarette me parvint au narines. Dabi. J'ouvre la porte et il est la, assit a même le sol a coter de la porte dans le long couloir desservant les salles de notre cachette. Il ne fait pas un geste en ma direction, occuper a consommer son plaisirs fumant. Je m'avachit sans aucune délicatesse a ses coter. Il inspire un grand coup sur la cigarette, tourne la tête vers moi en m'attrapant le visage de sa main libre, s'approche de mes lèvres et m'expire la fumée nocive du tabac tendrement a ma bouche légèrement ouverte. Dans son regard, je vit tant de chose. De l'amour. De la passion. De l'envie..... Oui, beaucoup d'envie. Un frisson me glissa le long des vertèbres, me donna une sensation de chaleur. Je fit une légère avance de la tête et m'emparai délicatement de ses lèvres assécher par la nicotine. Nos corps se raprochis et s'enlacèrent, mais au moment ou on allait passer doucement a quelque chose de plus chaleureux, une voix se fit entendre.
"- Izu-channnnnnnnnnn.
- Himiko ne hurle pas ainsi, les autres ont besoins de calme pour se reposer.
- Oui je sais Izuku mais je voulais te parler."
Je me blotti donc entre les grandes jambes de mon amant et m'installe tout contre son torse légèrement musclé. Il mit ses bras autour de moi et plongea son nez dans mes cheveux et Himiko, elle, se mit le dos au mur devant nous.
"- Si tu savais comme je suis en colère, j'aurais du être la pour me battre moi aussi.
- Ne t'en fais pas voyons ....
- Mais j'aurais dut être la pour vous, vous êtes ma seul famille.
- Himiko ...
- Je suis tellement désoler Izu-chan, vraiment désoler.
- Sa suffit arête de t'excuser ainsi."
Elle fit une mine boudeuse. La pauvre avait vraiment l'air de s'en vouloir de n'avoir pu être présente lors de l'attaque.
- Je te jure que je vais les dépecer doucement mais surement. Je vais les tuer un par un, leur faire manger leur globe oculaire, leur........."
Je n'écoutait plus. Himiko était parti dans de longues, très longue explication de torture divers et varier dont elle a le secret. Une tendre caresse se fit sentir dans mon dos et je me sentait partir dans un délicieux sommeil dans les bras chaud et rassurant de l'homme derrière moi, bercer par le discourt sans fin de Himiko.
Dire qu'elle m'avait quasiment tout appris et qu'elle n'avait jamais pu me voir a l'œuvre. Que se soit a l'usine lors de la décapitation du nain. Ou bien a la torture de la fille invisible, ce qui est très bête elle aurait adorer. Elle aurait glousser a la vue des nombreuses tortures qu'il lui avait affligé. Et puis au final, elle n'avait pas pus voir le magnifique tableau qu'offrait le blond, empaler sur les tubes sortit du mur en béton défoncer. Elle n'avait pu se réjouir du sang et des larme de ce dernier avec en prime les cries de tristesse et de désespoir du rouge a son chevet alors que le blond donnait son dernier souffle. Elle avait tous louper....
Elle n'avait... pas vu...................................
Elle n'avait......
Un sourire me dévora lentement le visage.
Elle n'avait pas vue..... pas participer......
Himiko se tut, arrêtant son monologue, me fixant avec un air surpris tandis que dans mes yeux une lueur malsaine avait du prendre place.
Elle n'avais pas combattu.
Un rire fou me prit, dans les bras de Dabi qui avait stopper ses caresse a mes convulsions.
Mon rire se répercuta sur les mur du couloir ou nous nous trouvions, formant un echo resonant dans tous le bâtiment.
Himiko n'avait pas été vue par les héros.....
Plusieurs porte du couloir s'ouvrirent et certains vilains sortirent leurs tête dans notre directions, se demandant d'où pouvais provenir le rire qui aurai pu figer de stupeur et d'effroi le diable en personne.
......... ils ne connaissait rien d'elle.....
Je me redressât lentement et mit mes mains devant mon visage, le couvrant de sorte que seul mes yeux soit visible entre mes doigt légèrement écarter. Dans le regard des vilains s'agglutinant autour de moi et de mes deux comparse je pu voir de l'interrogation mais surtout de la joie. Une joie néfaste et mauvaise.
.... elle ne s'était jamais montré a eux mais......
Je relâchât mon visage, bascula ma tête en arrière et rie a gorge déployer.
..... sa ne saurait tarder.
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