Le temps s'adoucit, un peu.

Le train de la vie, lui, continue sa route
malgré les quelques doutes.

Sous
le
ciel
céruléen
peint
à
l'huile,
j'y perçois certaines de mes peurs.
Une angoisse mortelle qui me comprime le cœur.

Le premier amour brise.
Il est soit une perte de temps, soit une leçon de vie.

Le penses-tu toi aussi ?

Le temps défile, vite. Affreusement vite.
Je le sais et je le sens au plus profond de mon être, de mon cœur et de mon âme.
Notre histoire (aussi douce soit-elle)
n'est qu'éphémère.

Pourtant, tu es le soleil qui réconforte ma mélancolie et provoque mon euphorie.

Alors, s'il te plaît, je te le demande à genoux : tentons le coup.

De nos doigts enlacés jusqu'à l'aube,
prenons le risque de nous aimer.