| Pour me faire pardonner de ne pas avoir écrit pendant tout ce temps je vous est fait une nouvelle couverture ! ... Oui je sais mon comportement est impardonnable mais j'espère que le chapitre vous plait comme même ^^ |
Les élèves n'ayant pas une vue suffisante par la petite fenêtre durent se contenter du bruit : on entendit l'un des hommes à l'avant descendre en claquant la portière. L'homme hors du véhicule parlais à une femme qui semblait paniquée et l'homme assis parmis les élèves la prise sur son arme. Subitement, le garde à l'extérieur rentra précipitamment dans le camion et engagea la marche arrière. Les jeunes, surpris, tombèrent des bancs métalliques et le garde présent avec eux hurla à ses partenaires :
"- Mais que ce passe-t-il ?!
- ILS SONT LÀ ! Et ils sont beaucoup plus nombreux que prévu !" Répondit le conducteur sans lâcher la route des yeux.
La voiture réussi à faire un demi-tour en dérapant, permettant de repartir en marche avant.
"- Nombreux comment ? " redemanda-t-il.
"- Déjà plusieurs centaines... " lui répondit-on.
Le véhicule s'arrêta enfin après plusieurs minutes de trajet qui leur avaient parut interminable. Les deux hommes à l'avant descendirent pour ouvrir les deux portes blindées permettant aux élèves de pouvoir enfin sortir.
"- Descendez ! Vite et ne faites pas de bruits. "
L'autorité mais aussi la peur transperçaient dans la voix du garde et les élèves sortirent sans un bruit pour suivre les gardes dans un dédale d'immeubles qui, faiblement éclairés semblaient s'agrandir tels des ombres menaçantes. Après avoir marché de longues minutes dans ce labyrinthe boueux, encombré par un nombre de déchets surprenant et où flottait une odeur très peu exquise, le groupe qui tentait d'être le plus discret possible, arriva devant portes métalliques à même le sol menant probablement à une cave. Les deux gardes à l'avant ouvrirent le cadenas de la de la chaine qui maintenant les deux battants fermés d'un coup puissant de la crosse de leur fusil et firent entrer les premiers élèves. Plus de la moitié des jeunes étaient rentrés lorsque les trois gardes se figèrent et ordonnèrent en murmurant avec force, à l'affût du moindre bruit :
"- Ne faites plus un bruit... "
[à suivre]
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