Chapitre 91 #Bonus Zayn & Carrie ⊙
« Don't Forget Where You Belong » - Zayn Malik & Carrie Holmes.
[Pdv : Carrie]
« Tu sais ce que j'ai appris ? J'ai appris que l'on était jamais libre, que ce n'était qu'un sentiment. Parce-que c'est quoi la liberté au fond ? Je suis jamais libre, quoi que je fasse. Je suis libre de penser que je le suis, mais sincèrement qui pense être libre sur cette Terre ? Je suis presque au même rang qu'un esclave, je ne connais ni les causes de ma liberté, ni ce qu'elle est. Au final, si pour moi être libre c'est faire le bien, peut-être qu'un autre pensera que mon bien est son mal.
En respectant les autres, les lois d'une société, je me limite dans ma liberté, je me contrains, alors je ne suis pas vraiment libre, pas vrai ?
Tu sais ce que j'ai appris aussi ? Que le bonheur n'était qu'illusion et que le terme en lui-même est impossible à définir. Être heureux c'est quoi ? C'est ressentir de la joie sur une longue durée, mais on est jamais toujours heureux et quand bien même on le serait, le plus souvent on ne sait pas que l'on est heureux. Parce-que l'homme oscille entre ennui et souffrance, il ne se rend compte que de ce qu'il se passe que lorsque cela devient mauvais. Et quand il est temps de réfléchir à la dernière fois que l'on était heureux, on se rend finalement compte que cela est déjà passé, et que l'on en a pas profité.
Le bonheur nous apparaît que lorsqu'il n'est plus vraiment à nos côtés. C'est lointain le bonheur, c'est invisible, c'est passé, c'est subjectif et c'est pourtant ce que tout le monde cherche à atteindre pas vrai ? Les publicités à la télévision, les films, les séries... On vend le bonheur, on vend quelque chose qui ne s'achète pas. C'est censé venir du cœur, se ressentir, autant que la peur, pourtant personne ne le voit, ne le perçoit, car rien n'est mauvais dans le bonheur.
Et seulement, lorsque tu as l'impression de te sentir « heureuse », vu que ce n'est que passager, ça revient à être du plaisir, et non pas du bonheur non ?
Tu comprends ça toi ? Tu comprends que l'on puisse se dire que personne n'est libre ou heureux ? Que personne n'est moral, que personne n'est qu'un simple être humain ?
Je ne suis pas heureuse, je ne suis pas libre, je suis pas morale, alors pourquoi je suis ici, pourquoi je suis pas autre part ? Tu crois qu'il y a un autre part déjà ?
Je me détruis de l'intérieur avec toutes ses interrogations, mais au fond, j'ai juste besoin qu'on m'aide, que quelqu'un qui n'est ni libre, ni moral, ni heureux vienne me tendre la main, enfin. J'ai besoin de quelqu'un comme moi. Ma prière a peut-être été entendue puisque cette personne que j'attendais depuis longtemps est parvenue jusqu'à moi, il y a de cela quelques mois maintenant.
Cette personne en question, est arrivée aussi muette qu'une ombre, aussi puissante que la lumière, plus grande que le silence et plus envahissante que le bruit. Jusqu'à ce que cette personne arrive, je saignais continuellement depuis l'intérieur, une bombe avait détruit le peu d'humanité qu'il me restait. Je me rendais même pas compte que je faisais du mal à une personne en particulier, et cette personne c'était moi.
Je m'auto-fragmentais en d'infimes petits morceaux, et je pensais qu'il était impossible pour quiconque de me reconstruire. J'étais irréparable, irrattrapable, impénétrable, misanthrope, mon cœur était détérioré, et mon âme tuméfiée. Tout était sombre à l'intérieur, aussi noir que du charbon, aussi froid que la glace, j'étais littéralement morte au fond.
Puis il est arrivé.
Il est entré dans ma vie aussi facilement que c'en est presque brusquant de savoir que j'ai pu lui faire confiance, que j'ai eu le courage de lui avoir laissé libre accès à ma vie chaotique. Et quelque part je crois que c'était la personne que j'attendais, c'était sa main à laquelle je m'accrochais fermement. C'était la lueur d'espoir que je priais tous les soirs. C'était lui.
Et je te le jure, je te le promets conscience, j'avais la nette impression qu'il pouvait me sauver. Stupidement j'y ai cru. Et ça a fonctionné en vérité, pendant un temps je me sentais libre, je me sentais morale, je me sentais heureuse. J'avais l'impression d'être humaine, tu vois ?
C'était comme si j'étais un cadenas, et qu'il y avait des centaines de codes à déchiffrer pour pouvoir m'ouvrir et que lui, en un claquement de doigt, il a su tout déchiffrer tout de suite. Il a eu accès à mon for intérieur si facilement, si rapidement, que je lui en voulais presque d'être aussi parfait.
Et tout ce que j'avais perdu durant toutes mes années difficiles semblaient revenir à la surface comme une douce mélodie, je me sentais partir, j'avais l'impression de voler et je me demandais même si je pouvais dire que j'étais heureuse dans ce temps là. C'est vrai, c'était nouveau pour moi, c'était récent, c'était tellement inhabituel que je me demandais même si les autres ressentaient cela tous les jours. Ils en ont de la chance, ce que je les enviais, et les envie toujours en fait.
Puis tout s'est arrêté, et aussi brutal ait été l'atterrissage, je n'ai jamais trouvé de quoi lui reprocher au fond.
Je lui en voulais parce-que je me sentais bien avec lui, et que de ressentir une nouvelle fois ce mal être pendant ma chute, c'était comme s'il m'avait trahit. Pourtant j'y étais habituée avant, j'avais l'habitude d'être malheureuse alors pourquoi je lui en avais voulu d'avoir fait cette erreur ? Après tout, contrairement à ce que je pensais, personne n'est parfait, pas même lui. Tout le monde peut se tromper et moi la première.
En fait, je crois que j'étais si bien sur mon petit nuage, je me suis tellement enfoncée dans le bonheur que j'en ai oublié sa fragilité, j'ai oublié à quel point tout n'était suspendu que par un fil, et qu'à la moindre secousse, il risquerait de se casser. J'avais oublié ce malheur, j'avais oublié qu'il revenait sans cesse pour me rappeler à quel point la vie peu être brutale et sans pitié, à quel point il était important de s'attendre à tout, de prévoir un filet de sécurité, comme une garantie à la vie. On ne doit pas oublier, jamais.
Lorsqu'on s'engage à être heureux, à vivre correctement, c'est comme si l'on faisait un saut à l'élastique; on s'engage aussi à prendre des risques et à subir les conséquences de ce saut à l'aveuglette. Qui me garantie un bon atterrissage à la fin ? Personne hein, toi aussi tu t'en rends compte maintenant.
Tous les deux, c'était différent. Avant on s'enlaçait, on s'élançait, puis maintenant on s'est lassés, on s'est laissés.
La tension que je maintenait entre nous était si forte que l'élastique qui nous maintenait, lui et moi, a finit par céder brutalement et je suis tombée au plus bas. Je me suis littéralement faîte emportée dans une tornade de sentiments négatifs et c'est bien connu : personne ne sort indemne d'une tornade pareille.
Et ce trou dans lequel j'étais coincée, que je ne cessais de gravir petit à petit en espérant en voir le bout, remonter à la surface. Et ce tunnel sombre que j'avais l'impression de traverser à chacune des fois où tout allait bien, en espérant en trouver la sortie...
Tout ça là, ce n'était qu'un putain de manège, qui tourne sans cesse dans le même sens, à croire que celui qui tient les manettes prend un malin plaisir à nous faire tourner en rond, comme de minables enfants. Un cercle vicieux, c'était le cauchemar dans ma tête à ce moment précis.J'étais perdue, déboussolée, je voulais arrêter cet engrenage dans lequel je m'étais faîte prendre si facilement.
Et si tout était facile, et non pas dépourvu de sens, peut-être que pardonner serait la meilleure des solutions à tous ces problèmes.
Pourtant je n'ai personne à pardonner, personne à excuser, si ce n'est moi, ma propre personne. Et se pardonner à soi-même c'est peut-être ce qu'il y a de plus dur à faire dans la vie.
Et qu'importe ce que les autres en disent, tout commence par le pardon. La vie est courte, c'est une cause noble qui mérite malgré tout d'être vécue, et même avec tous les défauts qu'elle comporte c'est ma personne qui fait de ma vie ce qu'elle est aujourd'hui. J'ai le droit d'être libre, le droit d'être heureuse, mais c'est un devoir de pardonner, ça ne dépend que de moi et moi seule après tout. Et quand bien même, si tout te sembles perdu, rien n'est jamais brisé pour toujours, il suffit de recoller les pots cassés.
William Shakespeare a dit : « Pardonner est une action plus noble et plus rare que celle de se venger »
FIN. »
Je déposais violemment le stylo noir contre mes feuilles éparpillées partout sur le bureau, et déposais la paume de mes mains sur mon front en sueur. J'avais fini, après des mois d'acharnement je l'avais terminé, enfin. Je tournais sur ma chaise roulante, le sourire aux lèvres, presque soulagée d'avoir déferlé durant ces deux heures d'écriture acharnées, toute ma haine, ma honte, ma colère, ma peur, ma peine, ma joie, puis mon pardon. J'avais l'impression d'avoir accompli une partie de ce que j'avais toujours voulu faire en écrivant ces derniers mots : je m'étais pardonnée pour de bon, vraiment.
C'est à ce moment précis que le châtain décida d'entrer dans ce qu'il semblait être ma chambre désormais. Bon, il y avait des tonnes de feuilles de papiers étalées un peu partout dans la pièce mais c'était bel et bien ma chambre, du moins je crois...
Isaac grossit ses yeux devant tout ce bazar avant de rire. Vu l'état de ma piaule, je comprends un peu sa réaction. J'avais ris aussi gênée, lorsqu'il ramassait quelques feuilles traînant à l'entrée. Au fur et à mesure qu'il avançait, il ramassait les morceaux de papiers qui jonchaient le sol, et je le regardais faire, stoïque. Lorsque ses yeux se déposèrent sur ceux-ci je m'empressais de l'en empêcher, je ne voulais vraiment pas qu'il les lise. C'était top secret, c'était à moi.
Carrie- Non ! Ne lis pas ! Criais-je ne lui sautant au cou.
Sa main tenait mes feuilles fermement et il avait brandit son bras le plus haut possible. Il était vraiment trop grand, et je peinais à atteindre sa main. Même en sautant le plus haut que je pu, cela m'était carrément impossible.
Carrie- Allez Isaac, rends-moi les !
Isaac- Qu'est-ce que c'est ? Dit-il impassible.
Carrie- Alleeeez ! Le suppliais-je en continuant de sauter pour atteindre sa main.
Isaac- Dis-moi ce que c'est ! Me sourit-il, tout content de lui.
Carrie- Nooon, c'est top secret. Déclarais-je d'une mine boudeuse, presque enfantine.
Isaac- Attends, tu fous le bordel dans une chambre que je t'ai prêté, je peux savoir ce que c'est quand même. Me répondit-il d'un ton moqueur tout en feuilletant les feuilles volantes.
Carrie- C'est rien... Dis-je en me caressant le bras gauche, lassée de lui sauter désespérément dessus dans l'espoir de récupérer ce qu'il ne me rendrait pas de toutes façons.
Isaac- Ça te gêne tant que ça ? Me demanda-t-il ses yeux vacillant de droite à gauche, sûrement pour lire ce que j'avais marqué.
Carrie- Oui. Avouais-je subitement.
Il y eut un court moment de silence et il reprit :
Isaac- Tu ne devrais vraiment pas.
Carrie- Pourquoi ?
Isaac- Parce-que waouh, t'es bourrée de talent Carrie, putain.
Je relevais les yeux dans sa direction, surprise de sa réponse, et étonnement je n'étais pas la seule épaté dans cette pièce. Nous nous regardons les yeux dans les yeux, comme si l'on voulait s'assurer du sérieux de cette discussion, puis il mit fin à cela en me tendant le paquet de feuilles volantes:
Isaac- T'as finis d'écrire?
Carrie- Oui.
Isaac- Classe-les dans l'ordre alors, je crois qu'on va pouvoir en faire quelque chose.
Carrie- Mais je...
Isaac- Chut. Pas d'excuses, demain toi et moi, on va voir quelqu'un.
[Pdv : Zayn]
Un soir, puis deux au début. Ça à finit par sortir tous les soirs et à revenir à pied à l'aube chez soi parce-qu'on a passé chacune de ces nuits bourré chez des inconnues ou dans un hôtel.
Une fois, puis deux au début. On boit pour se consoler, puis après c'est pour avoir l'impression de vivre.
Une, puis deux au début. C'est une nouvelle fille que tu te fais tous les soirs, parce-que tu te consoles de l'absence de la seule que tu veux vraiment.
Et chaque putain de matin, quand tu te réveilles avec la gueule de bois, à moitié penché dans les toilettes, tu te dis que ce n'est pas nécessaire de partir en vrille de cette façon, mais tu recommences parce-que ton chagrin mérite seulement d'être noyé.
T'es coupé des autres, du monde, t'es tout seul et personne n'a de tes nouvelles.
T'as fuis quand tu l'as pu, t'es parti vite parce-que t'avais peur. Pas des autres, mais seulement de toi et de la réalité.
Elle t'achève comme à chaque fois, et tu te demandes à quoi bon vouloir être un homme bien alors que tu perds la face à chaque minute qui passe sans cette personne précise.
J'y pense tous les soirs malgré mon lamentable état, j'enchaîne les conquêtes pour effacer son visage de ma fichue mémoire mais plus les jours passent et plus je me demande à quoi bon ignorer le fait qu'elle me manque. Je me défoule sur d'autres filles en espérant ne pas être triste, mais c'est comme si j'essayais de tuer l'immortel.
C'est impossible et sans issue, je ne pourrai jamais refouler toute ma vie la cause de mon mal être. A trop essayer je n'ai fini que par renforcer l'impossible, comme si plus je voulais la maintenir loin de moi, plus elle se rapprochait dangereusement de ma personne, et qu'elle emplissait peu à peu mes pensées toute entière.
Elle est partout, je la vois dans les filles que je rencontre pour la nuit, je la confonds avec des passantes dans la rue, je parle d'elle sans m'en rendre compte, je rêve d'elle, je pense à elle sans arrêt, je la respire, comme si c'était le seul moyen pour moi de survivre à ce cauchemar.
Je n'ai aucune nouvelle d'elle, et plus les semaines avancent et plus je commence à croire que l'espoir est mort, et que je vais finir par l'être aussi.
Je réfléchis à cela dans un lit, je ne sais même pas si c'est le mien, j'ai les bras repliés en dessous de ma tête, et je suis seulement recouvert d'une fine couverture blanche en satin.
Tu crois que je délire à son sujet ? Non, bien sûr que non, c'est juste l'alcool, pas vrai ? J'entends une respiration à mes côtés, et un corps se tourner dans ma direction, la fille me dit d'une voix mielleuse :
?- T'es déjà réveillé ?
J'hochais la tête doucement. Je ne me rappelle même plus de son prénom, et vu la tête qu'elle a, j'ai vraiment dû boire ce soir pour accepter qu'elle m'emmène je ne sais où. Finalement, peut-être que j'ai décuvé, parce-que là honnêtement il n'y a qu'une seule idée qui me vient en tête et c'est de partir. Je la gratifie d'un sourire forcé et me relève dans l'espoir de retrouver mes habits éparpillés un peu partout dans la chambre.
Je tape en marchant, dans quelques bières qui jonchent aussi le sol, et je repars à la recherche de mes vêtements pour pouvoir me couvrir. Voyant que je me rhabillais, la brune me dit :
?- Tu t'en vas ?
Zayn- Ecoutes... Tiffany ? Mary ? Stéphanie ?
?- Everly.
Zayn- Je le savais. Dis-je en la pointant du doigt comme pour confirmer mes dires.
Zayn- J'ai pas le temps pour les histoires d'amour, c'est plus trop mon truc, mais on s'appelle un de ces jours ?
Everly- Ok, mais... J'ai même pas ton numéro, dit-elle en se relevant.
Zayn- Oh, tu le trouveras bien. Au revoir.
Et j'étais parti en claquant la porte de la chambre de l'hôtel, comme pour mettre rapidement fin à notre discussion devenue gênante. J'avais rapidement descendu les marches des escaliers, et je m'étais réfugié dans la rue, encore. Il devait être tôt, je dirais peut-être quatre heures du matin quand je suis sorti, ma veste en jean posé sur mon dos. Il n'y avait pas un chat dans les rues, et seules quelques voitures se permettaient de passer pas trop loin de moi de temps en temps.
Mon souffle avait crée de la fumée blanche, et j'avais décidé de m'allumer une clope le temps du trajet jusque chez moi.
J'avais réussis à me situer, plus ou moins dans le quartier, et je me dirigeais tout droit vers mon appartement non loin d'ici. Je marchais tête baissé, concentré sur chacun de mes pas lourds sur le bitume, et je pensais à ce que j'allais bien pouvoir faire de ma vie maintenant.
Les quelques économies que j'avais faite lorsque j'étais à Santa-Monica, m'ont permis de payer le loyer jusque là, mais si je ne veux pas me retrouver à la rue dans les prochains mois qui suivent je vais devoir travailler dans ces quartiers peu fréquentables la nuit. Et je parle pas de ramasser les feuilles, ou de nettoyer les rues, je parle de trucs illégaux, des trucs que je lui avais promis de ne jamais recommencer.
De toutes façons, personne ne pourra rien me dire, puisque plus personne n'est à mes côtés, et la seule personne pour laquelle je tenais cette stupide promesse et sans doute morte à l'heure qu'il est. Fallait que je me réinsère dans le business, et vite.
[Pdv : Extérieur]
Rien ne laisse présager un meilleur futur. Ni un possible futur d'ailleurs.
Les histoires ne se finissent pas toujours bien, ce ne sont pas toujours des contes de fées, car la vie n'est qu'une dure réalité.
Personne n'oublie d'où il vient, personne n'oublie ses origines, pourtant bifurquer du chemin est si simple, qu'il serait même plus pratique d'en sortir carrément. Souvent, on dit que l'on ne peut combattre la réalité, mais que l'on peut la modifier à notre gré, parce-que c'est le seul pouvoir que nous possédons: changer les choses.
En effet, on promet des choses que l'on est pas sûrs de tenir. Pourtant des centaines de promesses sont faites tous les jours, dont la suivante :
On promet bonheur, on promet liberté, on promet le pardon.
Mais la seule chose qu'ils peuvent se promettre, eux, c'est de se retrouver.
THE END.
Don't Forget, Zayn Malik x Carrie Holmes.
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Yo, tout le monde c'est Queenie !
First :
BIG IMPORTANT NDA : Ce chapitre Bonus en fait je pense que ce sera le premier chapitre de Where aussi pcq c'est plus qu'un chapitre bonus là, c'est grave important en fait. Du coup je le mets ici, après les bonus et l'épilogue, pour celle qui veulent savoir comment va commencer Where, voilà voilà.
Ensuuuite, omg.
Là, je suis dans le mal parce-que ça y est, plus jamais de chapitre sur DF. Je suis trop triste la vérité, j'ai l'impression que j'ai mis mon âme dans ce chapitre. Je suis triste, je chiale bordel, merci merci infiniment. Je vous remercie dans le segment suivant, et merci de m'avoir suivi jusque ici, go lire la partie d'après, pour pouvoir clore toute ma vie. Je vous aime bandes de patates dauphines Xx Chloé l'amour de votre vie.
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