Chapitre 82 ⊙

(NDA : Avant de commencer quoi que ce soit je tiens à préciser que j'ai écris ce chapitre avec « This Town » le single de Niall redbfucigeg comment dire que j'étais pas bien tellement il est riugdxfiug et honnêtement je pense prendre un mois pour m'en remettre mdrrrr (dîtes moi ce que vous en pensez en commentaire que je puisse constater que je ne suis pas seule aha)

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« Absolument tout revient à toi » -Zayn Malik

[Pdv : Carrie]

Je le voyais déjà revenir entre les mains du gorille qui venait de partir à sa recherche, son visage amoché, il serait sûrement énervé de savoir qu'il s'est fait choper, puis il s'en voudra ensuite de ne rien pouvoir faire. C'est comme ça que ça marche non ?

Alors je le regarderais de la manière la plus en colère qu'il soit, puis le remercierais seulement mentalement vu que je n'ai jamais eu le courage de faire quoi que ce soit pour lui montrer ma gratitude.

Et comme à son habitude il s'efforcera de faire un discours comme à chaque fois qu'il a cru me perdre, et je ne répondrai pas parce-que je ne l'ai jamais fait.

Alors il me suppliera de le regarder et je tomberai dans le panneau comme toujours. Je me perdrai dans ses yeux et me rendrai compte encore une fois que je l'aime à en crever mais que je le déteste au plus profond de mon être. Je serai confuse, perdue et puis l'un des deux cons tentera de nous faire du mal, c'est comme ça que ça marche normalement. Et je n'avais pas tout à fait tort au départ.

Il était revenu amoché, j'avais juste sur ce point. Cependant, personne ne le tenait par le col, et il était entré plus déterminé que jamais, prêt à tout pour partir loin d'ici. Le seul soucis c'est que nous n'étions pas tous seul, et avant même qu'il ne puisse dire quelque chose les deux autres sbires de Ruiz étaient sur lui, prêt à tout pour l'immobiliser.

Je dois dire qu'au premier abord il se débrouillait plutôt bien, il avait esquivé toutes sortes d'attaques, et j'étais surprise de voir que toutes ces séances d'entraînement, de boxe, avaient servi au moins à quelqu'un. Ruiz et Fisher étaient tout comme moi, spectateur d'une présumé victoire de la part de Zayn.

Mais il n'a fallut qu'une erreur d'attention pour tout faire retomber, nos espoirs communs de nous en sortir venaient tout juste de tomber à l'eau. Il avait malgré tout réussi à désarçonner un des deux hommes, mais le deuxième avait tenté un coup de pied dans les chevilles de Zayn et ça avait réussi à le faire tomber.

A partir de ce moment précis, lorsqu'il fut à terre, une grimace déforma nos deux visages. Lui grimaçait de douleur et moi je grimaçais pour lui. Quelques coups de la part du bonhomme suffirent pour le mettre dans les vapes, et je réalisais à ce moment précis que tous les espoirs que j'avais mis en lui avaient totalement disparus, de façon soudaine. Sérieusement, il s'était plutôt bien défendu et j'étais triste de voir que ça n'avait pas suffit à nous libérer.

Ses pieds décollèrent du sol rapidement et celui qui avait réussi, non sans mal, à mettre à terre Zayn s'était chargé de l'immobiliser contre une colonne en ciment juste en face de moi. Le visage du brun était baissé en direction du sol, et quelques gouttes de sang dégoulinaient de son nez et peut-être même de sa bouche. Un silence avait suivit la bagarre comme si nous prions tous pour qu'il se remette rapidement, histoire de remettre ça une nouvelle fois. Mais rien, il peinait à respirer, et je pense qu'il se concentrait sur sa respiration justement.

Tous nos yeux étaient écarquillés, rivés sur son visage, mais rien, il n'avait rien dit, pas même une injure.

Ruiz et Fisher finirent par reprendre leur discussion comme si de rien n'était, puis un autre homme débarqua de nulle part en portant une chaise en métal et une grande mallette de la même matière dans l'autre main. Il les posèrent au centre du hangar, au milieu de Zayn et moi, puis partit détacher le brun. Il l'assit sur la chaise et c'est à ce moment précis que Fisher décida de parler :

Fisher- Amusons-nous un peu... Déclara-t-il en se frottant les mains.

Il prit la chaise et la tourna brutalement en ma direction me laissant voir le visage tuméfié de Zayn. Sa tête peina à se relever, mais entre quelques gouttes de sang j'arrivais à percevoir ses yeux. Ils étaient faiblement ouverts, et je tentais de le réconforter en le regardant.

Il baissa la tête une nouvelle fois comme s'il luttait pour rester éveiller et j'avais vraiment de la peine de le voir dans cet état là.

Et, malgré le fait que je voulais à tout prix m'en débarrasser, que je ne voulais plus l'aimer, que je ne voulais pas qu'il m'aime non plus, j'avais l'impression d'être en partie responsable de ses blessures. En fait j'en suis entièrement responsable. Mon sang se glaça, lorsque Fisher me posa la question suivante :

Fisher- C'est ton petit-ami n'est-ce pas ?

Sa question était inutile au départ puisqu'il le savait, j'étais sa petite-amie. Entre temps cela avait changé entre nous, mais j'imagine que sa question à la base n'était que de la pure « courtoisie ». Une sorte d'introduction au problème, comme pour engager cette dure conversation.

Malgré que son geste fut faible je cru voir Zayn pouffer de rire lorsque Fisher m'avait demandé ceci. Une manière de dire que sa question était ridicule et que notre situation aussi. J'avais même l'impression qu'il m'en voulait légèrement. C'est compréhensible en même temps.

Je n'en fis rien, et répondis clairement :

Carrie- Non ça ne l'est plus.

Pendant que je répondais Fisher, un sourire mesquin toujours scotché aux lèvres, se saisit d'une bouteille en plastique et en dévissa le bouchon.

Fisher- Oh, c'est... Triste ? Vraiment ? Dit-il en versant le contenu de la bouteille au dessus de la tête de Zayn.

Ça eut le mérite de le réveiller c'est clair mais ça a surtout provoqué un cri de douleur de sa part, il serrait ses dents pour se contenir, mais je voyais qu'il voulait juste exploser.

Carrie- Bordel ! Qu'est-ce que vous foutez putain ?! Dis-je paniquée, les yeux sûrement grands ouverts.

Fisher- Oh... Ça ? C'est un peu d'eau mélangée à... De l'alcool à brûler ?

Carrie- Vous êtes malade ! Criais-je en tentant de me défaire de mes liens bien qu'ils me brûlaient légèrement.

Fisher- Oui, un peu, je l'avoue. Déclara-t-il sadiquement.

Je grinçais des dents et je jetais quelque regard vers Ruiz qui observait la scène en souriant. Il était fier de voir les autres souffrir, seulement il ne jetait que des regards à Fisher et à Zayn. Il n'avait même pas osé me regarder dans les yeux. Il se rongeait les ongles, puis finit par dire :

Ruiz- Continues Thomas, continues.

Fisher- Ta gueule ! JE décide !

Je ne comprenais vraiment ce que foutais Ruiz ici, si Fisher allait tout faire. Je ne comprenais même plus son rôle dans cette histoire au final.

Mon père prit un air renfrogné mais il lui obéit, il ne disait plus rien. Il les observait comme un simple spectateur, et j'avais même l'impression qu'il était au même niveau que les gardes limite.

Je ne l'avais pas remarqué avant, parce-que je ne le savais pas mais, en réalité j'ai l'impression que Fisher à tout fait pour que Ruiz se prenne toute la mauvaise réputation alors que celui qui est à la tête du réseau c'est lui. Fisher a eut tous les pouvoirs, il avait tout à disposition pour gérer les réseaux, les informations. Et j'imagine que toutes les personnes que j'ai rencontré jusqu'à présent n'étaient que la victime d'une machinerie mise en place par Fisher. Tout comme moi.

Il voulait que je les rencontre, et il voulait se faire le plaisir de nous tuer un par un afin de tout remettre sur le dos de ce con de Ruiz.

Le pauvre, il n'est même pas capable de réfléchir deux secondes, j'imagine qu'il a été facile pour Fisher de manipuler Ruiz à l'époque où il était encore avec ma mère. Il suffisait de lui promettre une somme d'argent importante, de lui promettre pouvoir, et des tas de choses dont je ne conçois même pas le sens et le tour avait dû être joué.

Je veux dire pourquoi rester avec sa famille quand on peut tuer et assouvir ses besoins sur de jeunes filles innocentes ? Je suis sûre que c'est même lui qui l'a convaincu de faire kidnapper sa propre fille. Et si c'est le cas, il l'a incité à le faire pour Kaya et Orlane. C'était facile pour lui de gérer les bonnes affaires et les mauvaises.

A la tête du programme, il n'avait qu'à utiliser quelques fausses identités, ou pas, pour gérer des bâtiments, et surtout ses caméras. S'il y avait un problème il était facile d'accuser Ruiz, et pendant que lui fuyait, Fisher avait ses deux pieds croisés sur son bureau en bois massif. Il n'avait qu'à donner des ordres à tout le monde, et personne ne se souciait de rien parce-qu'il avait l'air d'être le parfait homme d'affaire, prêt à sauver le monde et toutes ses jeunes filles, finalement kidnappées par sa faute.

Il se mentait à lui-même, il était une autre personne quand il s'agissait de nous. Il avait un autre masque à porter, et il lui suffisait de dire qu'il pourrait nous sauver, de se convaincre que c'était pour se venger de sa famille qu'il poursuivait Ruiz, et il se construisait une fausse histoire, pleine de mensonges, comme le reste de sa vie entière. Avec l'argent qu'il avait dans les poches, j'imagine qu'il avait prévu de fuir, dans le but de ne plus jamais avoir affaire à l'agence qui oublierait après des dizaines d'années qui il était. Il aurait pu continuer son trafic et tout irait bien pour lui.

Sauf que Zayn est arrivé, on ne sait comment, et je crois que c'est à cause d'un copain à lui qu'il a dut nous rejoindre. Paolo je crois. J'imagine que si ce pote en question a bien su jouer de ses relations pour le faire entrer dans le programme, Fisher n'a du qu'accepter. Peut-être qu'après m'avoir tué il aurait réussi à tout remettre sur le dos de Zayn encore une fois, et il l'aurait ensuite tué, comme toutes les personnes qui m'avaient entouré.

En fait, tout ce que j'ai vécu dernièrement était monté de toutes pièces, on se devait de vivre ça, voir les autres mourir, souffrir, parce-qu'on avait réussi à contrer notre destinée au départ. Et comme le choix ne nous ait jamais offert, on est forcé un jour ou l'autre de faire face à ce destin qui nous avait été choisi.

Mais je n'ai jamais dit que j'étais d'accord avec ça, ce « destin », et si je devais mourir au départ, j'espère qu'encore une fois je dérogerai à la règle et que je pourrai repartir comme j'ai toujours réussi à le faire.

En bref, j'avais compris quel chemin j'avais été forcé de prendre, et quelle autre route j'avais décidé d'emprunter. Je voulais être libre, je l'avais décidé dans la minute où j'avais aperçu Zayn entrer dans le hangar et se faire défoncer la face par un autre homme.

J'avais décidé de fuir, m'enfuir, être libre comme toute le monde, tout le monde veut être libre, non ? Je sais qu'on est jamais vraiment libre, mais j'aimerais obtenir cette part de liberté à laquelle je suis censé avoir le droit, comme chacun d'entre nous sur Terre.

En parlant de Zayn, je le vis relever la tête comme si elle pesait des tonnes puis il ouvrit les yeux difficilement.

Ruiz- J'avais dit que je te tuerai... Réussit-il à dire en me regardant droit dans les yeux.

Ruiz- Et en effet je vais te tuer. Mais s'il est possible que tu souffres encore, alors je te fais souffrir. Je sais que la torture sur ton propre corps ne te ferait sûrement rien alors avec Fisher on a décidé de s'en prendre à lui. Parce-que c'était la meilleure solution d'après nous.

Carrie- On avait pas dit ça. On avait dit que dès que je revenais tu me tuais et on en finissait.

Zayn pouffa une nouvelle fois de rire.

Zayn- Tu l'as vraiment cru ? T'as vraiment cru que cette enflure respecterait ce que tu avais choisi ? Il ne sait même pas être humain, alors tu veux que ce salaud respecte votre marché ?

Il se mit à rire, bizarrement. D'une façon trop bizarre même, j'avais l'impression d'être en face d'un possédé.

Zayn- Tu ne m'as pas souvent fait confiance, à moi, l'homme que tu étais censée aimer, mais lui à la première occasion où il te dit oui tu le crois subitement ? Ce connard ne sait même pas ce que c'est l'amour.

Fisher- Ouhh, y a de l'orage dans l'air.

Carrie- Ah ouais ? Répondais-je en ignorant ce que Fisher venait de dire.

Carrie- Et si tu m'avais laissé venir seule, tu ne serais même pas sur cette chaise. Commence pas les reproches Zayn, pas encore.

J'étais cruelle de lui dire ça. Il m'avait suivi pour me sortir d'ici, il m'avait bien aidé, je n'avais pas le droit de lui dire ça.

Fisher- J'en ai vu des disputes depuis que je vous surveille, mais je vois qu'on a encore des trucs à se dire dans le couple... Dit-il sarcastiquement.

Je jetais un regard noir vers celui qui venait de prononcer cette phrase. J'avais l'envie subite de lui arracher ses chicots un par un, jusqu'à ce qu'il en crève.

Zayn- Si je suis venu, si je t'ai aidé, si je t'ai emmené, c'est parce-que... Expliqua-t-il faiblement en serrant la mâchoire sûrement parce-que les coups lui faisaient un mal de chien.

Fisher- Parce-que ? Riait-il.

Il avait toujours le chic pour s'incruster dans un sujet qui ne le concernait même pas, et c'était agaçant. Zayn plissait ses yeux puis grogna de douleur en serrant les poings. Quelques fois sa tête se lançait vers l'arrière et son torse se soulevait plus violemment quelques fois.

Je sais pas si c'est les blessures qui lui faisait mal ou si c'était le fait de devoir finir sa phrase qui le faisait souffrir. Il luttait pour ne pas hurler pendant que moi je l'observais attendant patiemment sa réponse.

Zayn- Parce-que... Tenta-t-il.

Les gouttes de sang sur son front commencèrent à sécher, mais le sang qui coulait de son nez et de sa bouche me paraissait abondant.

Il serrait les poings frénétiquement et les tremblements de sa jambe m'indiquèrent qu'il n'allait pas tarder à imploser. Je me concentrais pour ne regarder que lui et pas sur tout ce qui découlait de son visage pourtant si beau il y a quelques heures.

Puis un mouvement à ma gauche me fit détourner les yeux, et je regardais maintenant Ruiz qui s'était munit d'une barre en fer. Il s'approchait doucement en faisant claquer ses talonnettes sur le sol, qui entre nous soit dit devaient coûter plus cher que le hangar dans lequel nous étions malheureusement faits prisonniers.

Et je dois dire que, depuis que j'étais entré dans ce foutu hangar, et que l'on m'avait attaché à une sorte de poutre en ciment, je tentais désespérément de me défaire de mes liens et je n'aurais jamais cru dire ça, mais la transpiration m'a aidé. Ça n'a acun rapport avec la situation mais soudainement je me suis rendue compte qu'il y avait peut-être une solution.

Disons que les liens avaient légèrement glissés sur mes poignets et il ne manquait plus de me contorsionner comme un ver de terre pour pouvoir me libérer.

Puis d'un coup d'un seul, alors que j'étais concentrée pour me délivrer, Ruiz prit son élan, toujours avec la barre en fer dans la main, et il frappa violemment dans un des genoux de Zayn. J'avais crié, comme si ça allait l'empêcher de le faire puis lorsque la barre heurta son genou cela avait déclenché son cri à lui. Tout ce qu'il avait retenu jusqu'à présent était sorti dans un cri sourd et puissant. Je crois même l'avoir entendu pleurer à la fin de son cri. Après l'avoir frappé, Ruiz se mit à crier hors de lui :

Ruiz- PARCE-QUE QUOI ?

J'avais mal au cœur, et je surpris quelques perles d'eau salée découler de mes yeux. Zayn cria plus fort :

Zayn- PARCE-QUE JE PEUX PAS M'EMPECHER DE L'AIMER BORDEL !

Il geignit de douleur, puis se mit à hurler tout en serrant la mâchoire. Je ne sais pas si ce que je venais de voir sus ses joues étaient des gouttes de transpiration ou bien des larmes. Lorsque Ruiz reprit son élan sûrement pour briser la deuxième rotule du brun, je criais en brandissant les clé usb :

Carrie- NON !

Tous les trois me regardèrent les yeux exorbités, puis je montrais explicitement les clés à Ruiz. Il s'approcha de moi, un sourire aux lèvres, et tendit la main.

Je me déplaçais au milieu de la pièce, de dos au portail en fer. Vous savez ce genre de porte de garage repliante. Puisque j'avais réussi à me détacher, je brandissais les deux clés sous ses yeux, comme si ces deux simples morceaux en plastiques me donnaient maintenant du pouvoir. Ruiz avait jeté la barre de fer par terre, et avait sorti son arme à feu. Il la pointait vers moi, et je poursuivais :

Carrie- Refais-lui du mal, et je détruis tout ce dont tu rêves depuis des années.

Ruiz- Ah ouais ? Seulement si je te tue, je n'aurais plus qu'à récupérer ces clés, et tuer ensuite ton petit ami.

Merde. J'étais vraiment dans une impasse.

Quitte à mourir alors, me souffla ma conscience.

A partir de ce moment précis, tout s'était passé extrêmement vite. Ma décision avait été prise, et j'avais besoin de savoir que Ruiz n'aurait rien avant de partir. Mais c'était sans compter sur quelques éléments imprévus. Si j'avais su.

Je tendis ma main devant moi, la paume vers le ciel, bien en face de ses yeux, et je resserrais mon étreinte autour de ces clés avant de retourner ma main en direction du sol. Je laissais tomber les clés au sol violemment, puis j'écrabouillais les deux morceaux de plastique sous mes pieds. Je prenais soin de bien les écraser et c'est à ce moment précis que le portail dans mon dos s'ouvrit.

Plusieurs coups de feu partirent et je me retrouvais maintenant à terre.

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Holà ! Chapitre plus court pour le suspens !

J'ai écrit celui-là en environ cinq heures, et je suis plutôt fière de moi.

Comme vous pouvez le constater c'est bientôt la fin en fait. Il ne reste que trois chapitres grand maximum plus les bonus. Honnêtement j'avais prévu plus, puis en fait je me suis dit que je ne ferais que ressasser la chose. Je suis un peu triste de devoir finir le tome. Mais ça fait quand même déjà deux ans que je bosse dessus, et je le corrigerai une fois fini.

Je commencerai Blind bientôt aussi, puis l'écriture du tome deux. Je me demande même si je ne vais pas transformer DF en série. On verra.

J'essaierai d'avoir beaucoup de chapitres d'avance afin de poster régulièrement, parce-que les études à partir de cette année et pour au moins cinq ans ça va être chaud. Du coup voilà, j'aurais juste à tout faire à l'avance. Bon je vous avoue cette année est hard dure du coup je préfère me concentrer sur le bac malgré que j'adore écrire. Sachez que j'ai passé un temps fou à écrire DF, encore plus quand je devrais la réécrire, mais j'ai adoré faire ça, et ça me fait un peu de la peine de savoir que c'est bientôt fini, et vous allez être surprises de la fin je pense et un peu triste aussi ! Hâte que Where sorte pour que vous puissiez donner des avis, en attendant partagez ma fiction !

Je suis hyper reconnaissante pour toutes ces vues au fait, et pour mon classement depuis 3 mois dans les mille meilleures fictions, j'espère qu'un jour je pourrai vous remercier comme il se doit. Je sais que ça ressemble à un discours d'adieu, mais c'est plus un au revoir. Je sais que ce n'est pas encore tout à fait fini, mais voilà je vous prépare. Je tiens à vous dire que la fin n'est ni heureuse ni malheureuse, j'espère juste qu'elle vous conviendra. Je vais pas spoiler quand même.

J'ai pris le temps d'écrire cette dernière partie pour vous proposer de me poser des questions, comme une sorte de FAQ, mais genre vous devez me poser 10 questions chacune, même si elles sont bizarres je répondrai vraiment ! Et si vous avez des questions pour les personnages, ils répondront aussi ! Tout ça dans le prochain chapitre.

Au fait je félicite pas mes cousines et quelques potes qui ont lâché DF en cours de route mdrrr

Et voilà, je vous aime vraiment fort, merci pour tout ! Xx Chloé

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