Chapitre 33 : Meurtre en Série.
Un rire rauque et amer parcourrait la ville de Paris. Des tâches de sang dégoulinait des murs gris effectués par une arme blanche. Des bruits tranchants et des bruits sonores emplissaient les oreilles du tueur dans la ruelle sombre. La fraîcheur de la nuit l'excitait, les cris effrayés et triste de ses victimes bourdonnaient les oreilles de l'agresseur et le sang qui sortait du corps de ses victimes s'imbibait ses vêtements sombres inspirant l'obscurité d'un enfer profond. L'odeur du sang s'imprégnait et rentrait dans ses narines afin danse le faire sourire et rire diaboliquement son corps bougeait frénétiquement contre l'excitation et l'adrénaline qui le possédait.
Les bruits des coups qui tombaient sur les pavés de la capitale, qui tranchait les vêtements des victimes dans un déchirement assourdissant, les membres des corps qui se craquelaient sur les pavés, s'évaporaient dans des bruits malsains et la chaleur humaine qui disparaissait lorsque la victime lâchait son dernier cri de souffrance faisait sourire le meurtrier.
Le sang chaud qui giclait parfois sur son visage le faisait trémousser d'excitation, faisant apeurer ses victimes lorsqu'ils le voyaient, l'encourageait à continuer son massacre surtout lorsque ses victimes commençaient à se débattre, à courir pour le fuir et à le supplier de les épargnés, effrayant les parisiens et les étranglés de d'autres cultures, créant parfois des émeutes à la mairie par peur d'être tuée à leur tour, ceci faisait monter l'adrénaline meurtrière du tueur.
Elwing retenait son souffle, assise sur le parquet de sa chambre, elle sentait sa respiration s'accélérer et lui assécher la gorge. Tout était neuf, pas de sang, pas de froissement au niveau de son lit comme la dernière fois. Elle écarquilla les yeux et criant de stupeur en voyant la lumière éclairée sa chambre soudainement. La porte s'ouvrit dans un grincement bruyant et des pas s'entrechoquaient contre les parois de la chambre. Elwing regarda la femme aux longs cheveux argenté se présenter contre son lit baldaquin et qui venait d'entrer dans son antre sans permission. La femme inconnue s'accroupie sur son lit et d'une voix douce sortit :
-Elwing ! Il faut se réveiller, tu vas être en retard pour le lycée.
-hum...
-ELWING !!
La jeune fille âgée de 16 ans se réveilla en sursaut et sourit à la femme devant elle. La dame mystérieuse lui sourit en retour et lui fit un câlin matinal :
-Allez debout, maintenant. Sinon ton père va encore te disputez.
-Oui, maman.
-Aujourd'hui, c'est la photo de classe ou c'est demain ?
-Oui, c'est aujourd'hui à une heure et demie, dans la cour. J'ai prévu de mettre ma robe jaune.
-Celle de ta grand - mère ?
-Oui.
Les deux femmes se sourirent et sous les yeux bien vaillants de sa mère, Elwing s'habilla d'une longue robe jaune à motif d'arabesque noir avec des petits papillons incrusté dans les plis de la robe comme s'ils prenaient leur envol. Ensuite, elles descendirent à la cuisine :
-Tu n'es pas encore aller la réveiller ? Elwing, tu devrais le faire toute seule, tu es assez grande pour cela, maintenant, tu n'es plus une gamine de six ans.
-Chéri, tout va bien il n'y a pas mort d'homme non plus ! Ça me fait plaisir de le faire, laisse-m 'm'en occuper tu en fais déjà assez avec ton travail.
-Éveline... tu sais très bien que j'ai raison. Elwing doit être plus mature, plus débrouillarde dans notre société actuelle, sinon, comment veux-tu qu'elle se débrouille seule lorsqu'elle aura sa propre maison plus tard ?!
Gabriel, voyons !! Tu la vois déjà partir de la maison ? Elle est encore jeune, ne t'en fais pas. L'avenir est encore loin pour elle.
-C'est ça, dis - moi qui est parti de la maison à 16 ans dans ta famille ?
-Non mais, tu t'en rends compte de ce que tu dis ? C'est ma faute maintenant ? Je n'y crois pas...
-...
-Viens déjeuner Elwing, on s'en va après. Laissons ton père réfléchir à ce qu'il vient de dire.
Elwing hocha la tête et se vit déjeuner avant de partir au lycée dans la voiture de sa mère. Elle revit sa propre journée et revit ses meilleures amies de son vivant : Élisabeth, Métrice et Percy. À la nuit tombé, Elwing se voyait manger seule à table avec son père sans Éveline qui travaillait toujours aussi tard à la clinique médicale. Elwing monta les marchés jusqu'à - à sa chambre et la maison se plongea dans le noir complet.
À l'extérieur, on pouvait entendre un cri des plus effrayant de jeune femme retentir dans la ville lumière, des bruits de pas retentissait contre les parois des murs qui se remplissaient de sang et encore un rire jaune bourdonnaient les oreilles des victimes et du meurtrier qui s'excitait à la vue du sang. Le sang chaud qui sortait des corps morts giclait sur les mains, le couteau, le visage, sur les murs et les vêtements sombre que le tueur portaient ce soir - là et parmi les autres fois.
Les vêtements étaient tellement utilisés pour ses nuits de meurtre qu'ils sentaient l'odeur de sang, une odeur nauséabonde qui trémoussaient les narines des victimes et des animaux qui s'enfuyaient, même que les vêtements n'étaient plus aussi noirs qu'auparavant, ils devenaient rouges : la couleur du sang des nombreuses victimes.
Une trace de sang de sa victime qu'il venait de s'achever dégoulina de sa tempe gauche, traçant un chemin rouge sur son visage : par son œil droit, sa pommette, sa joue droite et atterrissait dans sa bouche abjecte. Ses lèvres asséchées et craquelées s'humidifiées de sang de sa victime. Il tressauta, un sourire excitant traversa brièvement son visage rougi et il trancha à nouveau le corps déjà froid de la victime, plantant de nombreuses fois, sa lame rouge sang dans le corps de la jeune femme qui rejoignait les morts. Le meurtrier termina par un étranglement :
-Plus, encore plus... je veux plus de sang, plus... sang, du sang, du sang, encore. ENCORE...OUI !!!ENCORE !!! PLUS DE SANS !! AH AH AH !!! PLUS DE SANG !!! Disait-il à répétition le meurtrier lâchant à quelques reprises des rires jaunes et excité qui se répandait autour de lui.
L'homme en sang se leva, le sang de sa lame rouge se répandit, indirectement, sur les parois fissurées à nouveau dans un geste brusque. Il sortit de la ruelle laissant derrière lui, un éclat de rire d'excitation des plus effroyables. Le meurtrier s'engouffra dans les rues de la capitale de France et passa devant une maison qu'il reconnut dans les quartiers riches. Un sourire carnassier se montra sur son visage rempli de sang. Ses cheveux en bataille, son corps dégoulinant de sang chaud, il pénétra dans la maison silencieuse.
Le sang tomba de goutte à goutte sur le plancher, sur les escaliers de marbre et sur les murs lorsqu'on secoua son corps puisque le sang qu'il possédait sur lui était encore liquide. Le silence l'envahit se camouflant dans la noirceur de la maison qu'il connaissait par cœur grâce à ses vêtements rouge sang et sombres. L'assassin pénétra dans une chambre très facilement et répandit toujours le sang qu'il possédait sur lui sur le plancher de la chambre d'adolescent. Il sourit en entendant une faible respiration qui parvenait à ses oreilles :
-Plus de sang... sang...sang...du sang...plus de sang...
Il n'avait que ce mot à sa bouche, plus aucun mot ornait son âme sauf celui-ci et lorsqu'il sentait l'odeur du sang frais près de lui le possédé, le meurtrier devenait fou et avait perdu tout humanité, toute logique. Le tueur en série marcha vers le lit à baldaquin qui ornait la chambre bleue principalement et souleva les rideaux afin de se faufiler sur les draps de lit. Se positionnant sur le corps de la jeune endormie, plaçant ses jambes sanglantes et bien développé contre le bas du corps de la demoiselle.
Il plaça le couteau dans ses deux mains unies et très haut au niveau du ventre. Le meurtrier attendit. Son souffle se mélangea à celui de la demoiselle qu'il ne reconnaissait pas, le sang encore chaud de ses dernières victimes qu'il avait abattue dans la soirée dégoulina sur la robe de nuit blanche à couleur bordeaux. Les draps s'étant replié vers le pied du lit durant son sommeil montraient la robe de nuit qui se tâchait, au fur et à mesure, de sang frais.
Soudainement, il pouvait sentir la jeune fille bouger et se réveiller grâce à l'odeur nauséabonde qui se dégageait progressivement du meurtrier et de l'odeur du sang amer dégagé. Au même instant, ne lui laissant aucun mouvement libre, aucun geste et de temps pour comprendre la situation qui lui arrivait qu'il planta son couteau plusieurs fois dans le corps. L'adolescente avait à peine seize ans. Ses cheveux argentés se tortiller sous elle face aux mouvements brusques et répétitif du meurtrier sur elle, la demoiselle essayait tant bien que mal de se débattre, en vain, c'était peine perdue puisque son agresseur était plus musclé, plus volumineux et plus fort qu'elle.
Le meurtrier plantait sa lame à répétition en elle, lui bloquant à plusieurs fois sa respiration et les articulations de ses membres qu'elle pouvait entendre se briser miraculeusement. Ses articulations ne lui répondaient presque plus à ses vaisseaux sanguins de son corps meurtri et qui éclataient aux coups frénétiques et brusques de la lame imbiber de sang.
Les gouttes de sang giclaient au fur et à mesure sur les rideaux qui ornaient le contour du lit à baldaquin, tout comme sur les draps qui s'imprégnait de rouge, comme la taie d'oreiller et les peluches qui ornaient le lit comme décoration. Toute sa chambre allait se remplir de son sang mélangé à ceux de d'autres victimes.
Soudain, le meurtrier lassé de son couteau fétiche, l'arme de ses meurtres répétitives qui effrayaient la population dont il était le maître, le jeta dans la chambre. Le couteau se projeta contre le mur, arrachant brusquement un rideau du lit et tâchât le mur de sang laissant l'empreinte du couteau qui se dessinait dans le sang et qui tomba contre le sol, retentissant un bruit assourdissant qui remplissait la chambre.
De ses mains sanglantes, le tueur les plaça, comme à son habitude pour clore son meurtre comme pour la fermeture d'un spectacle, sur le cou de l'adolescente qui ne bougeait presque plus et rapidement, pendant que l'adrénaline meurtrière l'envahissait, il serra ses mains sur le jolie cou pâle et sanglant de la jeune fille qui manquant rapidement d'oxygène, elle donna facilement ses derniers coups d'air avant de rejoindre le monde de l'errance pour toujours avec regret et tourment la possédant.
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