Chapitre 16 - Une idée mal formulée


(Attention chers amis, attachez vos ceintures et accrochez-vous bien, ce chapitre va swinguer ! Je prie pour que ça vous plaise >.<)




J'ignore depuis combien de temps nous sommes assis là, tous les deux par terre, adossé à la cage, dans un silence religieux. Aucun de nous n'a encore osé dire un mot sur ce qui vient de se passer.

Je sais qu'il a menacé Izuku pour obtenir ce qu'il veut de lui mais ça ne doit pas arriver. En aucun cas. Je ne l'accepterai pas. Et ce, même s'il a menacé ma propre vie. 


          - Je t'interdis d'accepter.


Il sursaute légèrement en entendant ma voix et se retourne doucement vers moi. Puis lorsque nos yeux se rencontrent il baisse le regard d'un air coupable. Nan, me dis pas qu'il a déjà fait son choix ! C'est pas possible !


          - Mais Kacchan... Il a dit...

          - J'm'en contre-fou de ce qu'il a dit ! Tu ne peux accepter que ce vieux pourri te fasses ça !


Il baise la tête d'un air triste. Puis au bout de quelques secondes je l'entends respirer un peu plus fort alors que son corps est secoué par quelques soubresauts. Il pleure...

Je souffle un bon coup pour me calmer et passe mon bras autour de ses épaules pour le ramener contre moi. Il pose sa tête sur mon pectoral et je pose doucement mon menton sur le dessus de sa tête. Ses cheveux me chatouillent légèrement mais je ne bouge pas.


          - Je ne veux pas le faire Kacchan...

          - Alors le fait pas.


J'ai pas pris tout ces risques et dépensé autant de fric que tu finisses par devenir l'esclave sexuel d'un vieux pervers psychotique.


          - Mais j'ai pas le choix... Il va... te tuer... si je le fais pas...

          - Je me fou de ce qu'il me fera, je veux pas que tu finisse entres ses mains. Il peut me buter j'en ai rien à carrer.

          - Kacchan !


Il s'écarte de moi et me frappe le ventre. Il semble soudainement en colère. Quoi ? Qu'est-ce que j'ai dit ?


          - Quoi ?! m'écriais-je.

          - T'as pas le droit de dire ça ! Qu'est-ce que je deviendrais sans toi, moi ?!


Sa question me foudroie d'un coup. Je ne m'y attendais pas du tout. Alors je compte quand même un peu pour lui ? Je trouve ça trop mignon.

D'un coup je l'attrape par les hanches et le fait asseoir à cheval sur mes cuisses. Il semble d'abord surpris mais je n'y fais pas attention et prends son visage entre mes mains. Mes yeux se plantent dans les siens et ne les quittent plus. Je le rapproche de moi jusqu'à ce que nos nez se touchent et chuchote :


          - La même chose que ce que moi je deviendrais si jamais tu acceptes sa proposition.


Tous les traits de son visage se détendent et un petit sourire vient étirer ses lèvres. Puis doucement il ferme les yeux et vient doucement appuyer son visage contre ma main, comme un chat cherchant des caresses.

Puis tout à coup, il se fige et ses yeux s'écarquillent. Je connais cette expression ! une idée vient de germer dans son esprit. Il redresse la tête d'un coup.


          - Mords-moi !

          - Quoi ?!

          - Marque-moi !


Il penche la tête sur le côté, m'offrant une merveilleuse vue sur son cou offert. Mais je reste figé, qu'est-ce qu'il raconte ? Je ne comprends pas ! Il a perdu la tête ? En quoi ça nous aidera ?


          - Minute papillon ! j'arrive plus à te suivre là ! Pourquoi tu veux que je te marque tout à coup ?

          - Je ne veux pas qu'il le fasse, et tu sais comme moi qu'un Omega marqués ne pourra avoir de rapport qu'avec l'Alphas qui l'a marqué ! Alors si tu le fais, il ne pourra rien me faire et sa proposition sera caduc ! Il sera obligé de nous relâcher.

          - Ou alors il nous tuera tout les deux.

          - Oui.. peut-être. Mais ça vaut le coup d'essayer. Au moins je ne serai pas entre ses mains. Fais-le. S'il te plait.


Il tourne la tête sur le côté, m'offrant de nouveau son cou. Je me redresse et mon regard oscille entre son visage déterminé et sa peau immaculée. C'est tentant. Très tentant même. J'ai envie qu'il soit mien depuis que je l'ai rencontré et de cette manière nous serons liés et plus rien ne pourra lui arriver tant qu'il sera sous ma protection... Et l'autre affreux ne pourra rien lui faire. Ou du moins il ne pourra pas le faire siens comme il l'a dit.

Je me rapproche et me penche sur son cou. Je prends une respiration et ouvre la bouche, rapprochant inexorablement mes crocs de son cou.

Dans quelques secondes il sera à moi. A moi et rien qu'à moi. Nou seront liés. Selon les histoires que l'on nous racontaient étant petit, nous auront désormais un lien psychique tout les deux. 

Mes dents touchent désormais sa peau. Plus qu'une pression et....

Il ne veut pas du vieux. Il me l'a demandé à moi. Il me l'a demandé... A moi... Mais... Il me l'a demandé pour que l'autre ne le fasse pas... Me l'aurait-il demandé si on avait pas été dans cette situation aujourd'hui ?

Je me fige une seconde. J'ai peur de la réponse à cette question. Il ne me l'a demandé que parce que nous sommes dans cette situation. Si cela n'était pas arriver, il ne me l'aurai pas proposé. Il déteste les Alphas...


          - Kacchan ?


Je range mes canines prêtes à percer sa peau et déglutis difficilement. J'ai la gorge sèche. Je pose doucement mes lèvres sur son coup et dépose un léger baiser avant de reculer.

Non. Non je ne veux pas. Pas comme ça. Pas pour ça. Pas pour cette raison. Je veux qu'il me le demande parce qu'il le veut vraiment, parce qu'il me veut. Pas parce qu'il veut survivre, au lieu de vivre. Sinon il sera enchaîné à moi sans l'avoir voulu et il ne sera pas heureux. On trouvera une autre solution pour se sortir de là..


          - Nan. J'le ferais pas.

          - Quoi ? Mais pourquoi ?

          - Parce que si un jour je dois te marquer, ce sera parce que tu l'auras vraiment voulu et moi-aussi. Pas parce qu'on y a été obligés. Si je le fais maintenant, on le regrettera.


Alors que ses yeux sont plongés dans les miens, je vois tous les traits de son visage se relâcher petit à petit et l'étincelle de ses yeux s'éteint doucement. Il me regarde avec une expression semblable à de la déception et tout à coup il se lève et s'éloigne de moi allant s'asseoir sur un des fauteuils plus loin.

Qu'est-ce qu'il a encore ?!

Je souffle un bon coup. Et dire que tout ça a commencé parce que j'ai laissé l'autre Tête de pic m'emmener dans cette maison close... Je penche la tête sur le côté, jetant un œil sur la grande horloge à l'autre bout de la pièce. A l'heure qu'il est, il doit avoir compris, j'avais pris les disposition nécessaire pour. Il a beau être un abruti, j'ai une confiance totale en lui. Je sais qu'il a compris et qu'il est entrain de faire ce qu'il faut. C'est maintenant une question de temps avant qu'on vienne nous checher.


          - Deku...


Il ne me répond pas mais étant donné qu'on est que tout les deux dans la pièce, et qu'il n'y a pas un son, je sais qu'il m'entend.


          - Faut gagner du temps.

          - Pourquoi faire ?

          - Fais-moi confiance, on sortira d'ici, c'est qu'une question de temps.


Je vois de l'incompréhension dans son regard mais rapidement il regarde ailleurs et nous nous retrouvons à nouveau plongé dans un silence glacial.


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Je ne sais pas depuis combien de temps nous sommes enfermés dans cette pièce. Kacchan ne parle plus. Il est toujours assis au même endroit, la tête posée sur ses bras. Je pense qu'il dort. En tout cas, cela lui ferait du bien de dormir... Ils l'ont bien amochés tout à l'heure. J'ai bien cru qu'ils allaient le tuer... J'ai eu vraiment peur. Je n'accepterai pas de le perdre lui aussi, c'est pourquoi je compte bien accepter l'offre de cet homme, aussi horrible soit-elle, car il en va de la vie de l'unique personne, de l'unique homme, de l'unique Alphas qui ait un tant soit peu d'estime à mes yeux et qui m'estime aussi un peu. Je ne peux pas laisser les assassins de ma mère s'en prendre à lui aussi car là, j'aurai vraiment tout perdu... Je préfère encore perdre le peu de liberté que j'avais encore plutôt que de le perdre lui.


Sa menace était claire lorsqu'il s'est penché sur moi pour me dire qu'il le tuerai si je n'acceptais pas. Je n'ai pas mis longtemps à me décider.

Au bout d'un certain temps j'entends des bruits de pas dans le couloir et des odeurs qui se rapprochent. Je me redresse et me lève rapidement alors que Kacchan se contente de lever la tête. Puis on entends le bruit des verrous et enfin la porte s'ouvre sur Hasegawa avec derrière lui Shigaraki et sa clique de dégénérés meurtriers.


          - Alors mon petit Izuku... tu as fait ton choix ?


A ces mots, la peur me paralyse, je la sens couler dans mes veines comme un poison. Ça y est. C'est le moment crucial. Ce que je vais dire maintenant pourra tout changer.

Je jette un œil à Kacchan qui me fusille du regard pour me dissuader de le faire. Je prends une grande respiration et regarde mon ravisseur dans les yeux.


          - Si vous tenez promesse, alors c'est d'accord.


D'un coup le blond saute sur ses jambes, oubliant de nouveau ses blessures et se met à crier.


          - Deku ! Putain non ! Fais pas ça !

          - Désolé Kacchan... Faut que je le fasse...

          - Non putain ! Je te l'ai dit pourtant !


Je retiens mes larmes qui menace de couler et avance vers mon ravisseur en passant devant Kacchan sans le regarder. Je ne dois pas voir ses yeux, ce serait trop dur.

Il a tant fait pour moi, je le lui dois bien. Je dois le protéger. Même si je deviens la chose de cet homme répugnant. De toute façon, Kacchan ne me veut pas pour lui. Il ne me veut pas et je ne peux pas l'y forcer. Je dois accepter sa décision.


Je suis le quarantenaire hors de la pièce et il me mène à une pièce plus loin. En entrant je comprends qu'il s'agit d'une chambre inutilisée vu la sobriété qui règne. Je sursaute et me retourne en entendant la porte se refermée. Je croise le regard d'un bleu glacial de l'Alphas devant moi qui ne traduit que vice et malhonnêteté. Mon souffle se coupe quelque seconde. Lorsqu'il s'approche, mécaniquement je recule jusqu'à buter cotre le lit et je tombe assis dessus. Complètement paniqué, je ne quitte pas ses yeux du regard.


          - Mo-Monsieur Ha-Hasegawa ?

          - Désormais ce sera « Maître » pour toi, petite pute.


J'écarquille les yeux sous la surprise, il en profite pour me pousser et m'allonger sur le lit. Je n'ai pas le temps de réagir qu'il est assis à cheval sur ma taille et me maintiens les poignets au-dessus de la tête d'une seule main. De l'autre il déboutonne ma chemise et mon esprit s'enfuis ailleurs....

J'ai envie de me débattre et de l'obliger à me lâcher mais j'ai dit que j'acceptais sa proposition. Je dois tenir. Encaisser. Pense à autre chose Izuku. Ne pense pas à sa main qui glisse sur ta peau. Ne pense pas à sa langue qui se balade sur ta clavicule. Oublie. Ne pense à rien. Ne sent rien. Imagine que tu es ailleurs. Evade toi dans un autre monde sinon tu vas te briser.

Tout à coup, quelqu'un toque à la porte et je reconnaît sans mal la voix de Shigaraki. J'ouvre les yeux d'un coup, je ne m'étais même pas rendu compte que je les avait fermés.


          - M'sieur ? Qu'est-ce qu'on fait du blond Alpha ?

          - Ce que vous voulez. Tuez-le, j'en ai rien à cirer.


J'entends le meurtrier de ma mère rire avant de s'éloigner. Le tuer ? Mais.. il.. Il avait dis !


          - Vous aviez promis de... !

          - Doucement mon mignon, je n'ai jamais rien promis. J'avais seulement dit que moi, je ne lui ferais rien.


Je n'en reviens pas. Je me suis fait avoir en beauté. J'y ai cru. J'ai cru que cet homme tiendrait parole. Mais j'avais oublié que c'était un Alphas. Ils sont tous les mêmes. Des chiens affamés en manque de sexe. Cherchant la domination des autres. La domination sur les Omegas. Comme toujours. Ils sont tous comme ça. Seul Kacchan est différent. Et il veut le tuer.


          - Ton ami aurait dû te mordre et te prendre lorsqu'il le pouvait encore. Maintenant tu es à moi et lui va mourir. Il n'aurai jamais dû se mettre sur mon chemin le jour de cette vente aux enchères.


Mourir. Mourir. Mourir. Mourir. Mourir. Mourir. Mourir. Mourir. Mourir. Ce mot résonne dans ma tête. Kacchan va mourir. Ils vont le tuer. Il est blessé, il ne pourra pas se défendre. Kacchan va mourir. Ils vont le tuer. Encore. Ils vont encore tuer quelqu'un que j'aime. Et cette pensée me fait vriller.



« Ne bouges pas Izuku ! N'avances pas ! »

« Mais maman... ils... !»

« Je t'interdis de venir ! »



L'image de ma mère blessée sur le point de se faire tuée se superpose à celle de Kacchan, assis dans cette pièce où nous étions enfermés. Non. Pas encore. Je refuse de l'accepter. Je ne peux pas. C'est hors de question !


Ma respiration s'accélère d'un coup et tout mon corps commence à trembler. Mais ce n'est pas de peur. C'est de la rage. Lorsque le vieux croise mon regard il recule instinctivement de quelque centimètre avant de raffermir sa prise sur mes poignets de peur de lui échaper.

Je sens la colère filtrer de nouveau dans mes veines et sans même m'en rendre compte, mon corps lâche de nouvelles phéromones. Des phéromones que je n'avais jusque là jamais sécrêter à ma connaissance. La réaction du quarantenaire ne se fait pas attendre, il me lâche et recule en se levant du lit.


          - Vous ne ferez rien à Kacchan ! et à moi non plus ! Il en est hors de question ! Vous n'êtes qu'une pourriture !


Après mon insulte, il tente de reprendre constance et lâche des phéromones de soumissions qui sont à peine assez puissante pour me chatouiller les narines. En contre-attaque, je lâche des phéromones à nouveau et là, par miracle, c'est lui qui grimace. Je ne sais pas d'où ça vient mais je suis fier de mon effet. Il se tient la tête, comme pris par une soudaine migraine et commence à crier de douleur. Je serre le poing et lui décoche une droite directe dans la mâchoire qui le pousse contre un meuble où il se cogne la tête. Lorsqu'il s'effondre au sol il n'est déjà plus conscient.

Je sors de la pièce en vitesse et rejoint la salle où j'entends du grabuge. J'entends des rires. Je dois y aller et sortir Kacchan de là. Je ne sais pas encore comment j'ai fait ce que j'ai fait avec l'autre pourris mais je dois continuer tant que je le peux encore. Tant que cette rage inédite coule encore dans mes veines.


          - Faut te faire à l'idée, Bakugo ! Cet Omega ne veut pas de toi et d'ici quelque minutes on l'entendra hurler de plaisir comme la petite pute en chaleur qu'il est !

          - Espèce d'ordure !


Je vois le blond foncer sur l'assassin aux yeux rouges et lui décocher un coup au visage mais il semble épuisé et le blanc contre son coup et réplique avec un coup de pieds au ventre qui fait chanceler le blond avant de s'écraser au sol. Tous les spectateurs rient de bon cœur devant ce spectacle alors que ça ne fait que rajouter du bois au feu de forêt qui me consume de l'intérieur. Mais lorsque Shigaraki sort son arme à feu et la pointe en direction de Kacchan, s'en est trop.

J'avance et pousse violement ceux qui se trouve sur mon chemin et cours jusqu'à m'interposer entre l'arme de Shigaraki et Kacchan.


          - D-Deku ? fit la voix étonnée derrière moi.

          - Qu'est-ce que tu fou là toi ?!

          - Il n'est pas question que tu me prennes quelqu'un d'autre espèce de salopart !


Certains d'entre eux se mette à rire et ça m'énerve d'autant plus. Mais j'ai aussi peur, et si je n'y arrivais plus ? Ce ne sont pas tous des Alphas, ça ne les affectera peut-être pas... Mais d'un autre côté je ne suis pas censé pouvoir infliger ça à un Alphas alors, un Bêtas ? On verra bien !


          - Et tu vas faire quoi, hein, p'tit Omega ? Me griffer avec tes ongles acérés ? M'amadouer en pleurant ?

          - Nan, je vais plutôt te faire vivre ce que les tiens ont fait vivre aux miens pendant des siècles !


Je laisse de nouveau la colère m'envahir. Le destin tragique de la race Omega à cause des Alphas et de leurs pulsions, ma fuite incessante durant mon enfance, le meurtre de sang-froid de ma mère, toute ses années d'obéissance et de soumission dans cette maison close, mon enfer, toutes ces nuits blanches à ressasser, et maintenant ils veulent tuer Kacchan. Le seul Alphas qui se soit battu pour ma sécurité et ma liberté sans jamais m'avoir touché. Je veux qu'ils comprennent. Qu'ils aient, ne serait-ce qu'un aperçu de ce qu'a été ma vie jusque-là, par leur faute.

Je laisse tout revenir en moi, ma tête sur le point d'exploser, et dirige toute ma rage vers le groupe devant moi qui se retrouve tout à coup pris de migraine. Voyez à quel point se retrouver presser sous des phéromones de soumissions n'est pas agréable ! Souffrez ! Comprenez ce que je vis depuis toujours ! 

Plusieurs d'entre eux se mette à crier et tombent à genoux mais je ne m'arrête que lorsque chacun d'entre eux a perdu connaissance. Il ne reste que Shigaraki mais il est assez affaibli pour ne pas arriver à se relever.

C'est là que je me souviens. Kacchan ! Merde ! Lui aussi était dans la pièce !

Je me retourne vers lui et découvre que, toujours assis au sol, il me regarde les yeux écarquillés. Il ne semble pas affecté plus que ça, hormis son bras pressé contre son nez. C'est...bizarre.


          - C-Comment t'as fait ça ?!

          - Je...je sais pas... Tu vas bien ?

          - C'était.... Dérangeant... Mais ça va...


Est-ce que ça veut dire que je peux diriger mes phéromones ? Cibler contre qui je les utilise ? On dirait presque le pouvoir d'un super-héro. C'est assez bizzare...

Je me retourne pour surveiller nos agresseurs mais j'entends tout à coup des sirènes de police. C'est finis. On est sauvés. 





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Et voilà ! Désolée pour ce retard cette fois je n'y suis pour rien mon ordi a décidé de faire une nouvelle crise de "JeNeTrouvePasDeWifi" aigue. L'électronique chez moi a tendance à être capricieuse ^^'


Bon voici sinon l'un des chapitres les plus longs de cette histoire et composé de pas mal de rebondissement... Katsuki qui accepte de mourir pour laisser Izuku vivre en paix, puis Izuku qui accepte la proposition, une scène qui a été absolument horrible à écrire, puis Izuku qui se révèle être un Oméga...particulier ! 

Vous l'avez tous surement compris mais c'est un Oméga Prime, mais lui ne le sait pas encore, je garde ces révélations pour plus tard. Izuku vient seulement de savoir ce dont il était capable car il n'a jamais pu expérimenter et personne n'a pu lui expliquer quoi que ce soit car personne aujourd'hui n'a déjà rencontrer ne serait-ce qu'un Omega normal, alors un Prime...

Bref j'espère que ce chapitre vous aura plus, j'ai passé pas mal de temps à l'écrire celui-là ^^' 



Dans le prochain chapitre: Retour à la normale dans la vie d'Izuku mais un élément de cette vie a disparu. Katsuki, blessé dans son argueil d'Alphas, ne vient plus le voir à DollHouse. Pourquoi ? ça Izuku ne le sait pas, mais suppose que c'est parce que l'Omega à foutu sa vie sans dessus-dessous. Mais Eijiro entre en action !

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