chapitre 5
Je me baissais pour discrètement défaire mon lacet. Tan vint me voir et s'genouilla en face de moi, suivit par Quinn._ ça va? _ ne dites rien, mais on va faire la même chose que kim..._ Tu... veux quitter le groupe?_ moins fort! ordonnais je. On pourrait nous entendre!_ mais tu veux vraiment partir? insista Tan plus discrètement._ Je me méfis pas mal de Mad... One ne connait personne ici, sauf Eliot qui est pas assez fort pour s'imposer de lui même, et Rayan, le connard de service. Il est hors de question que ça dérrape si vous êtes là! Je refis mon lacet, me rela et marcha beaucoup plus doucement._ donnez moi la main. dis je discrètrement.mes frères m'obéirs, et au coin d'une rue, je pris sur notre gauche. Je pense que personne ne nous a vu partir, tant mieux pour nous. _ne faites pas de bruit, resprirez doucement, mais courrez, je vous dirais quant on pourra s'arrêter. Ils acciessèrent dans un mouvement de tête commun et me suivirent aussi discrètement que demander. Nous courrions à travers le rues, les ruelles, espérant ne tomber sur personnes quant nous traversions une grande place. Alors que nous nous engageâment sur une grande avenue, Quinn se plaint d'avoir trop mal aux jambes pour continuer de courir._ T'est naze Quinn, continue, si ils nous retrouve, dans le meilleur des cas ils nous engueles, sinon..._ Mais j'en peux plus... gémit Quinn._ hé! stoppez vous! c'est pas le moment de se chamailler! On continue en marchant!Quinn souffla un bon coup et avança en marchant avec nous. Nous marchions que depuis quelques minutes quand Quinn ouvrit la bouche de nouveau._ Max... Tan... il y a une épicerie...Je m'attendais à ce que Tan râle, mais il eu l'aire intérressé par ce que venait de dire sont jumeau. _ et tu as faim? demandais je._ Je meure de faim aussi! de Tan en salive devant la vitrine dont il s'était approché. Nous entrâmes tout les 3 dans la petite boutique abandonnée. La lumière était éteinte, et le sol était recouvert par ma poussière, ainsi que de nourriture étalé par terre. _ ok, prennez ce que vous voulez, du moment que ça ne demande pas à être conservé au fraie, et que la date de peramption ne soit pas dépassée. _ donc genre gâteaux et boite des conserves? demanda Quinn._ et la viande séché? et les yaourts? _ méfit toi des yaourts, mais oui pour la viande séché, les boites de conserves et les gâteaux! dis je dans un clin d'oeil.Mes frères partirent tout joyeux à travers les rayons déserts, évitant de marcher dans une flaque de sauce tomate par terre. Je me mis en marche à mon tours, et pris le premier rayon qui se trouva devant moi. Dedans se trouvais de la lessive et autres produits ménager. Alors que je regardais le rayon dans lequel se trouvait les mouchoirs, papaier WC ect, j'apperçu un quatre-quart au beure. Je le pris et je pu m'empêcher de mordre dedans, tout en vérrifiant qu'il ne soit pas périmé. Il était moins mouelleux que ce que je m'attendais à manger, mais le gout restait le même. Mordant une deuxième fois dedans, je me rendis compte que moi aussi j'avais faim. Ne voulant pas en abuser non plus, je ne repris que deux boucher et mis le gâteux dans mon sac. Regardant le PQ, j'hésitais à en prendre, que ce soit en temps que besoins naturels, ou comme mouchoirs ou compresse. Je pris finalement un rouleau que je mis dans mon sac. M'approchant de leurs rayon, je trouvais le rayon pile. A ma plus grande surprise, il restait une lampe torche, accrocher sur sont crochet. Je l'a prit, verrifia quelle marchait et pris deux paire de piles pour ne pas manquer de lumière en cas de besoin. Mes frères vinrent vers moi les bras chargés, tout souriant. Tan avait heureusement penser à prendre des fruit qui par chance n'était pas moisient. Tout ne rentra pas dans mon sac, et mes frères durent poster des sacs plastiques. Au moment de passer à la caisse, nous eûmes tout les trois un petit rire nerveux. Partant comme des voleurs, je sentais en moi une petite fièreté sans que je ne sache pourquoi.J'avais presque oublié la réalité dans laquelle nous étions bloqués. Je riais avec mes frères, pour faire passer le temps. _ on va dormir où? demanda alors Quinn._ on dors pas dehors, hein?_ non non... trouvons un immeuble ouvert, et je pourrais nous trouver un appartement...Continuant de marcher sur cette avenue, nous tombâmes sur un immeuble bien abandonné, avec une porte d'entré totalement cassé. Nous glissant à l'intérieur, j'insistais pour monter plusieurs étages sous les plaintes de mes frères fatigués. Une fois au quatrième étage, Quinn se plaint tellement que tan se plaint aussi pour que nous trouvions un appartement à cet étage. Les deux portes en bois se faisant face ne laissait pas beaucoup de possibiliés, et prenant celle mon courage à deux mains, je donnais deux grand coups de pieds dans la porte de droite. Celle ci s'ouvrit dans un fracas, laissant place à un vielle appartement recouvert par la poussière. L'appartement était plutôt petit, et nous entrions directement par la cuisine. La salon était presque vide. Seul une grande fenêtre éclairait la pièce. La cuisine se laissait séparer par un petit bar. Il y avait encore un vielle évié, qui après vérification, nous donnait encore de l'eau. Dans le salon se trouvait une petite bibliothèque dans laquelle était rangé trois livres vieux et poussiéreux, et un fauteuille en cuire bien abimé. Dans le salon, dans notre dos, se trouvait une porte qui donnait sur un couloir étroit, qui conduisait à une salle de bain et des toilettes._ c'est sympa comme apparte non?!_ je préfère chez papa... ajouta Quinn sur un ton irronique._ c'est claire, c'est plus propre là bas..._ mais on a de la chance! raya Tan en se laissant tomber par terre contre un mur. Je peux manger des champignons? demanda t'il en sortant une boite de conserve.Je lui fis signe de l'ouvrir, et insista pour que Quinn aille picorer avec lui. Je m'assis par terre, contre le mur parrallèle au leurs, la porte d'entré dans mon angle de vu. Regardant dehors, je vis le soleil qui se couchait. c'est alors que Tan et Quinn éclatairent de rire._ qu'es ce qu'il y a de drôle?_ t'es cheveux!! reussit à articuler Quinn entre deux respirations._ ba quoi qu'es ce qu'ils ont? Ne pouvant plus répondre, il me fit signe. Portant ma main à ma cheveulure, je constatait que celle ci était dressé en piqué sur ma tête. _ vos cheveux aussi! m'exclamais je.Ils portairent alors leurs mains à leurs cheveux et continuèrent de rire aux éclats. Je les rejoind dans leurs élant, ne pouvant plus vraiment me calmer. Je me sentis décoler du sol, c'est à ce moment que la panique commença à monter en moi.Etant en apeusenteur avec mes frères, nous entendirent un hurlement venant de l'extérieur. Regardant par le fenêtre sans m'en approcher, je vis une silouhette voler au loin, mais ce n'était pas un oiseaux mais un humain. Il demandait de l'aide, hurlant de peur. Je regardais cette scène horrifié, mes frère derrière moi. Les rires avaient bien cesser, et une fois que la personne disparut, la nuit était tombé. Nous étions tous plus ou moins sous le choc, mais un minimum triste. Mes frères se serrairent l'un contre l'autre, assit maintenant au plafond, et petit à petit s'endormir. Je les regardais sombrer tranquillement. Je me sentis mal, j'avais l'impression de revivre mon passer. j'avais cette impression d'avoir été envoyer, enfin, dormir, et de voir mes frères dormir paisiblement, ignorant ce qui arrivait. Je leurs en voulait, au debut, puis j'ai vite compris que c'était mieux ainsi. Et de les voir dormir ainsi, me rappellais ces moments de ma vie, qui avait heureusement fini par s'arrêter. Le sommeil ne venait pas à moi, pourtant mon corp était fatigué. j'attendis sagement dans le noir, comme si quelque chose allait se passer. Alors que je fermais les yeux, j'entendis quelques chose dans les éscalier. J'ouvris mes yeux en grand, et habituée à la pénombre, attendit un autre bruit._ merde... dit une voix qui ne m'était pas inconnu, après avoir fait encore un autre bruit sourd. Je pris mon sac, et sans lacher la porte d'entré des yeux, fouilla pour en sortir une boite de conserve, et la lampe torche. J'entendis des pas, lents, qui se rapprochèrent de notre appartement. Mon coeur battait de plus en plus vite, ma respiration se saccadait, je paniquais. La porte d'entré s'ouvrit doucement, trop doucement, ce qui me fit trembler plus que je ne le faisais déjà, et laissa apparaitre une ombre. Sans réfléchir, j'allumais la lampe torche, ce qui l'aveula, et moi aussi, et lança à l'aveuglette la boite de conserve. _Aï! se plaigna l'ombre. merde, c'est qui?Je ne répondit pas, et garda la lampe braqué sur lui, je retrouvais la vu, mais pas lui, ou du moins, beaucoup moins rapidement que moi. _ Tan? Quinn..? Maxine, c'est toi? _ t'es qui? demandais je presque automatiquement sur un ton agressif. _ merde, baisse cette lampe, j'ai super mal au yeux.. c'est Tom!
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