💘Préférence 1 1/2💘

Votre rencontre

Y/N=Your Name=Ton nom

Hugo Lloris :

Tu étais allé à Londres pour rendre visite à ta tante malade et elle t'avais demandé d'aller chercher du pain.
Le problème était que tu ne connaissait pas du tout la ville et tu t'étais donc perdue.
Tu essayais tant bien que mal de demander ton chemin en baragouinant des mots d'anglais avec un accent qui laissait à désirer.
Cela faisait une demi-heure que tu tournais en rond quand la chance finis enfin par tourner.

-Un problème mademoiselle ?

Dieu merci, un français. Mais du coup il ne doit pas connaître la ville...

-Oui, non, enfin si...
-Ça va ?
-Euh oui, oui oui. En fait, je me suis perdue...
-Où est-ce que tu vas ?
-Au 12 Parkstone Avenue.
-Je sais où c'est. Tu veux que je t'accompagne ?
-Euh, je ne suis pas sûre que-
-Ne t'inquiète pas, je ne te ferai rien. Surtout qu'il fait jour, donc même si je le voulais, je ne pourrais rien te faire.
-C'est super rassurant.
-On y va ?
-Je te suis. Au fait, je m'appelle Y/N.
-Et moi Hugo.

Et vous avez continuez à parlez jusqu'à ce que vous arriviez devant chez ta tante.

Benjamin Pavard :

Tu vivais à Maubeuge depuis que tu étais toute petite. Un jour, tu avais accompagné ton petit frère à Lille pour qu'il rejoigne le club en tant que junior. Alors que tu revenais des toilettes, tu croisa un jeune d'à peu près ton âge en tenue de sport qui avait l'air épuisé.

-Est-ce que ça va ?
-Oui, je viens de finir l'entraînement. Et tu es ?
-Je m'appelle Y/N. Et toi ?
-Benjamin. Tu es nouvelle ?
-Non, j'accompagne mon petit frère qui lui par contre est nouveau.
-Tu devrais le rejoindre. Tu veux que je t'accompagne ?
-Avec plaisir.

Vous avez donc continuez à parler jusqu'à ce que tu rejoignes ton petit frère.

Presnel Kimpembe :

Tu étais venue à Paris pour tes études il y a un an. Tu faisait des études de journalisme et était actuellement en stage dans un magazine sportif. Tu accompagnais ton tuteur de stage pour plusieurs interviews avec des joueurs du PSG. Mais tu ne t'attendais pas du tout à devoir assumer entièrement l'interview de l'un des joueurs malgré que ton tuteur t'ai demandé de préparer des questions. Tu te retrouvais donc en face de Presnel Kimpembe à essayer tant bien que mal d'aligner trois mots. Il fit alors une demande surprenante.

-Vous pouvez couper la caméra ?
-Quoi ? Mais-
-On peut pas continuer. Tu es bien trop stressée.
-Je-
-On va la continuer cette interview. Mais avant tu vas venir avec moi.

Tu n'avais pas eu le temps de répondre qu'il te prenait la main et t'emmenais dans les couloirs du stade. Il finit par s'arrêter devant une porte qu'il ouvrit pour découvrir une piscine sans personne autour.

-Qu'est-ce qu'on fait ici ?

Il ne répondit pas, te fit un sourire en coin et te poussa dans la piscine avant de s'approcher et de te tendre la main pour te sortir de l'eau. Tu lui lança un regard de défi, attrapa sa main et l'amena dans l'eau avec toi.

-Faut croire que tu as compris pourquoi on est là.
-Merci. Vraiment.
-Bon, on y retourne ?
-On est trempés.
-Et alors ? Tu veux rester encore un peu ici ?
-Je n'ai pas dis ça !

C'est pourtant ce que vous avez fini par faire en passant l'après-midi dans la piscine.

Raphaël Varane :

Tu t'étais installé à Madrid il y a plusieurs années. Tu y avais rejoint ton frère qui était kiné pour le Real Madrid. Étant assez jeune, il était rapidement devenu assez proche des joueurs. Ce jour-là, ils venaient de gagner un match et avaient prévu de sortir faire la fête. Exceptionnellement, ton frère t'avait invité à les accompagner. Tu avais fini par accepter après avoir longuement hésité, sachant pertinemment comment cette soirée allait se passer. Tu étais donc au comptoir d'un bar, seule, pendant que ton frère et les joueurs s'amusaient tous sans t'avoir remarquée. Enfin c'est ce que tu pensais jusqu'à ce que l'un d'eux viennent te rejoindre.

-Tu ne veux pas venir avec nous ?
-Non, merci. Je préfère rester ici.
-Tu veux qu'on sorte pour prendre l'air ?

Tu hésita quelques instants en pesant le pour et le contre et finis par te dire que tu n'avais rien à perdre à le suivre.

-D'accord. Au fait, je m'appelle Y/N.
-Et moi Raphaël.
-Je sais.

Tu lui fis un sourire malicieux et vous sortîmes prendre l'air.

Samuel Umtiti :

Tu venais d'avoir 18 ans. Pour l'occasion, ta famille et tes amis s'étaient cotisés pour t'offrir un voyage à Barcelone ainsi qu'une place pour l'un des matchs du club de foot de la ville. Effectivement, tu étais fan de ce club depuis toute petite. Tu étais devant le stade, en train de trembler tellement tu étais excitée. Tu te décida donc à entrer et le match ne tarda pas à commencer. À la fin du match, ton équipe avait gagné et les supporteurs, ravis, n'arrêtait pas de crier. Mais pour toi qui n'étais pas habituée à la foule, cela faisait trop, et tu finis par perdre connaissance. Lorsque tu te réveillas, tu étais dans un endroit inconnu.

-Ça va ?

Tu te retourna et vit l'un des joueurs de l'équipe barcelonaise te regarder, et pas n'importe lequel. Il s'agissait de ton joueur préféré de l'équipe, Samuel Umtiti.

-Euh, je, oui, non, enfin si. Ça va.
-Tant mieux. Je suis venue voir comment tu allais comme tu es seule et qu'il y as marqué sur ta carte d'identité que tu es française.
-Oh. D'accord.
-Tu veux que je reste avec toi jusqu'à ce que tu ailles mieux ?
-Si ça ne te dérange pas...
-Tu t'appelles ?
-Y/N

Comme promis, il est resté avec toi jusqu'à ce que tu ailles mieux.

Paul Pogba :

Tu étais française, mais ta mère était russe. Tu avais donc vécu presque toute ta vie en Russie malgré un français impeccable. Tu habitais à Kazan. Ce soir-là, un match avait eu lieu au Kazan Arena. Un match de coupe du monde opposant la France à l'Argentine. La France avait été victorieuse, et selon quelques rumeurs, ils étaient sortis fêter leur victoire en ville. Tu t'en moquais, le foot était loin d'être ta préoccupation principale.

En effet, ta mère avait sombré dans la folie et finit par en mourir te laissant avec ton père alcoolique, mort d'une overdose peu de temps après ta mère. Tu étais donc seule, à devoir t'occuper de ta petite sœur. Sans argent. Le jour, tu étais serveuse dans un restaurant, le soir, tu volais. C'était ton seul moyen pour subvenir à vos besoins. Ce soir-là, tu étais donc dans un bar, et alors que tu venais de voler le portefeuille de quelqu'un, ce dernier te retenu par le bras.

-Et si tu me rendais mon portefeuille ?
-Je- Je ne vois pas de quoi vous voulez parler.

Tu ne savais pas quoi faire, c'était la première fois que tu te faisais coincer.

-Je vais être clair. Tu n'as pas l'air de faire ça par plaisir. Rends-moi mon portefeuille et je te promets de t'aider.

Tu ignorais pourquoi, mais tu fis ce qu'il te demandait. Il t'inspirait confiance, pour une raison qui t'étais inconnue.

-Bien ! Maintenant tu vas t'asseoir à côté de moi et me dire ce qui ne va pas. Ah, et je m'appelle Paul.

Tu t'assis donc à ses côtés et vous passâmes une bonne partie de la soirée tout les deux.

Antoine Griezmann :

Tu étais déjà venue à Madrid, lors d'un voyage organisé par ton collège. Tu étais partie seulement une semaine, mais ce court laps de temps t'avais suffi à tomber amoureuse de la ville. Tu avais donc décider de t'y installer après tes études. Tu étais donc actuellement à la recherche de travail, en tant que photographe. Tu donnais tes photos un peu partout, mais tu ne t'attendais pas à ce que ce soit la mairie elle-même qui t'engage. Tu étais donc au Wanda Metropolitano, pour prendre des photos du club et des joueurs pour alimenter le site de la ville. Alors que tu prenais des photos, tu entendus quelqu'un crier.

-Atención !

Tu n'as même pas eu le temps de réagir avant de te prendre un ballon dans le genou droit. Le choc te fit tellement mal que ta jambe lâcha ce qui te fit tomber au sol. Alors que certains joueurs te regardaient ne sachant pas quoi faire, l'un d'eux vint t'aider à te relever et à t'asseoir sur un banc. Et ce n'était pas n'importe lequel. Antoine Griezmann.

-Estás bien ?
-Oui. Je crois. Je ne suis pas morte, c'est le principal...

Tu essayais de faire de l'humour, mais ton genou te faisait atrocement mal, et le joueur semblait l'avoir remarqué.

-Je vais appeler une ambulance, ton genou pourrait être cassé.
-Merci.

C'est donc ce qu'il fit, et comme ils venaient de finir leur entraînement lorsque les ambulanciers arrivèrent, il t'accompagna à l'hôpital.

Thomas Lemar :

Tu étais en Russie, à Istra. Tes parents et ton frère t'avaient traîné de force là-bas car, étant fan de football, ils voulaient absolument venir supporter leur équipe en Russie. Toi, le foot, tu t'en moquais. Tu ignorais tout des règles et aurais mille fois préféré rester en France, à profiter de tes vacances avec des amis plutôt que de venir t'enterrer au milieu de nulle part pour supporter une équipe dont tu ne connaissais pas un seul joueur. Ce jour-là, ta famille avait décidé d'assister à l'entraînement des bleus ouvert au public, et tu avais été contrainte de les accompagner. Tu étais donc dans les gradins, avec ton téléphone en main, entourée de supporters qui se sentaient obligés de se mettre à crier dès que leur star avait le ballon. L'entraînement s'acheva enfin et ton frère te traîna au bord du terrain pour obtenir des photos avec les joueurs. Mais tu ne t'attendais pas à ce que l'un d'eux vienne te parler avec un sourire moqueur.

-Est-ce que ça va ? Tu sembles perdue...
-Depuis quand les joueurs se moquent de leurs fans.
-Depuis que tu n'ai pas vraiment une fan.
-Pas faux.
-Et qu'est-ce que tu fais là ?
-J'accompagne ma famille. D'ailleurs où est passé mon frère ?
-Tu veux que je t'aide à le retrouver ?

Tu le regarda, sceptique.

-Pourquoi tu ferais ça ?
-Parce que je suis sympa ?

Il te fit un grand sourire niais et tu soupira.

-Je n'ai pas vraiment le choix...
-Thomas.
-Tu peux toujours rêver pour que je te dise comment je m'appelle.

Il rit et t'aida ensuite à retrouver ton frère tout en s'amusant à te faire peur. Tu te dis le soir que finalement, tu avais peut-être bien fait de venir en Russie.

Olivier Giroud :

Tu étais à Londres depuis quelques années. Tu avais décidé de t'installer là-bas à la fin de tes études car tu étais franco-anglaise et que tu avais envie de découvrir le côté anglais de tes origines. Tu travaillais aujourd'hui pour The Arsenal Armoury, la boutique officielle du club Arsenal. Tu travaillais là-bas depuis quelques années déjà et il arrivait parfois que des joueurs viennent à la boutique pour prendre des cadeaux à leurs enfants. Ce jour-là, tu devais faire la fermeture de la boutique et tu étais en train de tout ranger lorsque l'un des joueurs arriva.

-Excusez-moi, vous n'auriez pas vu un chiot ?
-Un chiot ? Non, mais les chiens sont interdits ici...
-Je sais, mais un ami est venu me voir et son chien s'est enfui...

Tu soupira. Ça faisait aussi partie de ton travail d'assister les joueurs mais faire des heures supplémentaires pour retrouver un chien n'était pas ce pourquoi tu avais accepter ce travail.

-Je vais vous aider-
-Merci !
-Mais ! À la condition que vous m'aidiez à finir de ranger avant.

Il te regarda surpris mais accepta de t'aider à ranger avant que vous ne vous mettiez à la recherche du chien de son ami.

-D'ailleurs, je m'appelle Olivier.
-Je sais. Je travaille ici après tout.

Tu redevins silencieuse après ça, laissant le mystère planer autour de ton nom.

Kylian Mbappé :

Tu étais en classe de première. Tu avais un frère, d'un an ton aîné, qui lui était en terminal. Tu préparais un bac L, et ton frère un bac STMG. Ton frère avait son permis moto donc il te ramenait tout les soirs. Tu étais, comme chaque soir, à l'attendre devant son bâtiment. Pourtant ce soir-là était différent. Ton frère avait du retard pour une raison que tu ignorais. Et ce n'était pas pour t'arranger, car, depuis le début de l'année, un groupe de garçons qui avait l'air malentionnés et qui te tournaient autour. Ils ne t'avaient jamais rien fais car ton frère était toujours là pour te protéger, mais le fait est qu'il n'était pas encore arrivé ce qui n'était pas le cas du groupe qui te voulait du mal. L'un d'eux, appelé Maxence, en quelque sorte leur leader, vint t'aborder.

-Alors ma jolie, toujours à attendre ton frère ? Je pourrais te ramener... En revanche, je ne te garantis pas que nous allions chez toi...
-Laisse-moi tranquille, Maxence. J'attends mon frère.
-Désolé, mais je ne te laisse pas vraiment le choix.

Il t'attrapa le bras et tenta de te forcer à venir avec lui.

-Arrête, tu me fais mal !

Il y avait pas mal de monde autour de vous, pourtant personne n'intervenait. Personne jusqu'à ce qu'il intervienne. C'était un ami à ton frère, un certain Kylian, il te semblait.

-Elle t'as dit de la lâcher.

Ils se fixèrent pendant quelques secondes qui te semblaient être des heures avant que Maxence ne daigne enfin me lâcher.

-Vous ne perdez rien pour attendre. Tous les deux.

Il s'éloigna pour rejoindre sa bande de pote, et Kylian se tourna vers toi.

-Est-ce que ça va ?
-Oui. Merci d'être intervenu.
-C'est normal.

Il resta ensuite avec toi jusqu'à ce que ton frère arrive, avec une bonne heure de retard.

Ousmane Dembélé :

Tu étais allé rendre visite à ta sœur à Barcelone, elle qui s'était installée là-bas après s'être mariée avec un barcelonais. Vous aviez prévu de passer la semaine ensemble. Mais ce jour-là, elle avait eu un problème à son travail et avait dû s'y rendre en urgence. Tu avais décidé de sortir et tu t'étais rendue dans un parc non loin de l'appartement de ta sœur où tu logeais. Tu te rendis donc au parc Pedralbes et alors que tu te promenais en regardant le ciel, tu percutas quelqu'un. Tu t'empressas de t'excuser.

-Je suis désolée ! Je ne regardais pas où j'allais...

Tu avais parlé français sous le coup de la surprise et tu fut étonnée qu'il te réponde à son tour en français.

-Ne t'excuse pas, je ne regardais pas non plus où j'allais. Tu ne t'es pas fais mal ?
-Non, merci.
-Et sinon... Qu'est-ce qu'une française fait ici ?
-Je suis venue rendre visite à ma sœur.

Il sembla étonné à ces mots.

-Mais... Tu es toute seule là...
-Elle a eu une urgence, donc je suis sortie me promener. Et toi ?
-Je travaille ici. Mais je ne travaille pas aujourd'hui donc... ça te dirais d'aller boire un café ?

Tu acceptas sa proposition et tu finis ensuite par passer la journée en sa compagnie.

Corentin Tolisso :

Tu étais née à Lyon et tu y habitais depuis toujours. Tu venais d'avoir ton bac et tu t'étais trouvé un travail pour l'été. Tu travaillais donc au McDonald's route de Jonage, non loin du Groupama Stadium. Tu avais entendu des rumeurs disant que certains joueurs de l'Olympique Lyonnais venaient parfois au McDo mais tu n'y avais jamais vraiment porté attention. À dire vrai, tu n'aimais pas les rumeurs, tu ne faisais confiance qu'à ce que tu voyais de tes propres yeux. Tu étais donc comme tous les jours depuis environ un mois et demi à ton poste. Tu finissais ta journée dans à peine une heure quand un groupe d'ami entra dans le fast-food. Tu ne leur prêta pas attention jusqu'à ce que l'un d'entre eux viennent te voir pour "faire connaissance".

-Bonjour !
-Bonjour. Que désirez vous ?
-Faire connaissance.

Tu le regardas et haussa les sourcils. Tu restas tout de même professionnelle.

-Je travaille.
-Mais tu finis dans moins d'une heure.
-Comment-

Tu ne finis pas ta phrase et compris comment il l'avait appris lorsque tu vis l'une de tes collègues te sourire avec les pouces en l'air.

-On pourrait se balader après ton service.
-Pourquoi est-ce que j'accepterais ?
-Parce que je suis gentil ?

Tu soupiras puis acceptas et après ton service, il t'amena même manger au restaurant.

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Voilà la première partie de la première préférence !
Qu'est-ce que vous en pensez ?

La deuxième partie arrivera bientôt, peut-être parce que ça prends quand même du temps d'écrire et de trouver une idée un minimum originale pour chacun des joueurs...

À demain pour deux nouveaux zodiacs !

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