Chapitre 1
Je me coiffe devant le miroir, quand j'ai fini, je mets mes chaussures et descends les escaliers. Mon frère Caleb m'attend, il est déjà près. Nous sortons de notre petite maison pour se diriger vers le lycée de notre ville. Il ne reste plus que notre ville sur la Terre. Le reste de la planète a été éradiquer par le nucléaire et il y a encore des radios activités autour de la zone où nous vivons et partout dans sur le reste de la Terre. Notre ville a été séparé en cinq factions. Il y a les Fraternelles habillées en rouge et en jaune, ils s'entraident toujours et ont toujours le sourire, ils ont des fermes et s'occupent de l'agriculture pour nourrir la ville. À l'inverse des Sincères qui eux ne mentent jamais, toujours habillé en blanc et en noir, ils font régner la justice au sein de notre ville. Du côté des Altruistes, ils s'occupent des autres et s'obligent à s'oublier, je les trouve très coincé et c'est parce qu'ils s'oublient qu'on leur a confié le gouvernement de la ville. Puis, il y a les Audacieux, ils gardent le mur et gère les bagarres entre les sans-factions, les autres factions disent qu'ils sont fous car ils aiment s'exposer aux dangers, moi, je les trouve formidable et leur faction que j'aimerais choisir avec Caleb. Nous, nous sommes dans la faction des Érudits, nous sommes s'eux qui débordent de connaissances et ce sont les érudits qui mènent des expériences. On nous reconnait facilement avec nos vêtements bleus. Il y a beaucoup de tensions entre notre faction et celle des Altruistes. Les Érudits pensent qu'on devrait partager le pouvoir, qu'il n'appartienne pas à une seule faction. Nous arrivons au lycée où nous avons nos dernières cours. À midi, se retrouve tous ceux de dernières années pour les tests d'aptitudes. Caleb est appelé dans le groupe suivant. Il marche d'un pas assuré vers la sortie. Je n'ai pas besoins de lui souhaiter bonne chance, ni de lui rappeler qu'il n'a pas à s'inquiéter.
??? : Érudits : Élodie Schneider.
Je me lève et me dirige vers la sortie. Derrière la cafétaria se trouve une rangée de dix salles. Je n'y suis jamais venue ; elles ne servent qu'aux tests d'aptitudes. Elles sont séparées non pas par des vitres, comme les autres salles du lycée, mais par des miroirs. Je rentre dans la salle 6, où m'attends une Audacieuse. Elle est de petite taille avec les cheveux noir, des petits yeux noirs, elle porte un jean et une veste noir.
??? : Je m'appel Tori, c'est moi qui te ferai passer le test. Assis toi là, dit-elle en me désignant un siège incliné à côté d'une machine.
Je m'avance vers le siège et je me mets à l'aise. À ma droite, Tori manipule la machine avant de me donner un gobelet remplie d'un étrange liquide.
Tori : Bois.
Je prends le gobelet avec l'étrange mixture et l'avale avant de fermer mes yeux. Lorsqu'ils s'ouvrent quelques secondes plus tard, je me retrouve dans la cafétaria. Il n'y a personne sur les bancs, sauf une fille se tenant devant deux paniers. Un avec du fromage et un autre avec un couteau.
Fille : Choisis.
Je prends instinctivement le couteau et la jeune fille disparait ainsi que les deux paniers. Mais j'entends un grognement derrière moi et je me retourne. Je me retrouve face à un chien enragé. Il commence à m'attaquer, je me défends avec le couteau que j'ai puis il disparait avec moi dans le sol. J'atterrie dans un bus, il n'y a plus de place et je suis debout accroché à une barre pour ne pas tomber quand le chauffeur de bus prend ses virages très serrés. Il y a un monsieur en face de moi qui lit un journal. Il redresse la tête, il porte des lunettes noires et me regarde.
Homme : Tu connais ces types, me demande-t-il ?
Je regarde sur le journal qu'il me montre, il y est écrit « un violent meurtrier enfin arrêter ». Sous le titre, je vois une photo d'un homme que je ne connais pas mais qui me dit quelque chose.
Homme : Alors ? Tu le connais ?
Il alaire d'être en colère, je baisse les yeux et ne lui répond pas. Il commence à s'énervé.
Homme : Alors répète-t-il ?
Moi : Je ne le connais pas, dis-je d'un ton simple.
Je ne sais pas très bien mentir. Il se lève et s'approche de moi. Il se penche, son haleine sens le tabac.
Homme : Tu mens !
Moi : Non, je ne mens pas.
Homme : Si, tu mens, tu mens.
Mais il a craqué ou quoi ?
Moi : Eh bien je ne le connais pas.
Je me réveil d'un coup, je tourne la tête et je remarque que je suis toujours dans la salle de test d'aptitude. Tori, trafique sur sa machine avant de se tourner vers moi.
Tori : Le test est concluant, tu es une Audacieuse.
Moi : Ah bon ? dis-je perplexe.
Tori : Tu as tout d'abord choisi couteau au fromage, ce qui a éliminé les Fraternelles. Puis, tu t'es battue face au chien, ce qui a éliminé les Altruistes et les Érudits qui eux se seraient enfui. Et dans le bus, tu as menti face à l'homme, mais il n'y a que les Sincères qui disent la vérité. Il ne reste plus que les Audacieux.
Je lui dis aurevoir avant de partir rejoindre mon frère dans la cafétaria. Nous finissons notre journée avant de rentrer chez nous. Je fais le dîner et j'appelle à table. Caleb arrive et s'installe en face de moi. Il a été toujours là pour moi depuis nos 5 ans quand nos parents nous abandonnés, je n'ai aucun souvenir avant mes quatre ans. Il m'a toujours protégé et on s'entend très bien.
Caleb : Alors, comment c'est passé ton test me demande-t-il ?
Moi : Très bien, le résultat a donné Audacieuse et toi ?
Caleb : Pareil, notre technique a fonctionné.
Moi : Oui.
Nous débarrassons et nous montons nous coucher car demain sera une grosse journée, demain sera la cérémonie des choix !
Je me réveille et m'habille d'un pull bleu et un pantalon bleu avec un élastique bleu qui tient mes cheveux blonds en queux de cheval. Je descends pour enfiler mes chaussures avant de rejoindre mon frère. On prend la direction de la « ruche », c'est la plus grande tour de la ville et c'est la que travail les Altruistes pour diriger la ville. Cette année, c'est chez eux que nous faisons la cérémonie du choix. Nous entrons et prenons l'ascenseur pour nous diriger vers la salle où se tiendra l'évènement. On croise Jeannine, notre leader des Érudits, on lui serre la main avant de partir nous assoir parmi d'autres érudits. Nous écoutons le discoure du leader des Altruistes, Marcus.
Marcus : En œuvrant ensemble, les cinq factions vivent en paix depuis de nombreuses années, chacune apportant sa contribution à un aspect de la société. Les Altruistes répondent à notre besoin en responsable politique dévoués. Les Sincères nous fournissent des responsables juridiques honnêtes et digne de confiances. Les Érudits nous donnent des renseignements et des chercheurs de haut niveau. Les Fraternelles nous procurent des conseillers et des soignants compréhensifs. Et les Audacieux nous protègent des menaces intérieures comme extérieur. Mais la mission des factions ne s'arrête pas là. Elle nous apporte à chacun bien plus que de simples mots peuvent exprimer. Hors des factions, il n'y a pas de survie. Ce jour marque donc une heureuse occasion ; celle de recevoir de nouveaux novices, qui s'emploieront avec nous à créer une société et un monde meilleur.
Tout le monde applaudis quand Marcus finit son discoure, puis ils commencent à appeler les futurs novices.
Marcus : Caleb Schneider.
Mon frère se lève et marche jusqu'à l'estrade où il monte et se dirige vers Marcus qui lui tend le couteau. Il se coupe et peu de la main et se dirige vers la coupe des Audacieux. Il laisse le sang coulé sur les charbons.
Marcus : Audacieux.
Les Audacieux applaudissent quand il descend l'estrade et quand il se dirige vers eux, certain lui sert la main et lui s'aide leur place.
Marcus : Élodie Schneider.
Je me lève, je me dirige à mon tour vers l'estrade. Je monte les quelques marches et me place devant Marcus. Il me tend le couteau, je le prends et m'avance vers les cinq coupes. Je me coupe un peu la main et laisse couler mon sang dans la coupe des Audacieux.
Marcus : Audacieux.
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