On se dirigeait rapidement dans les sous - terrains vers le " cartier général " des Érudits. On devait arrêter ce massacre et ... Aller prendre mon frère.

Plus en plus on marchais, plus en plus que j'y pensais. Est ce qu'on peut vraiment faire confiance à Eric? Je l'aime vraiment beaucoup, je dirai jamais autrement mais... Il déteste les Divergent et Tobias m'avait dit de faire attention en sa présence.

Faire attention en sa présence....  Je devais faire comme si rien était! Je dessidai d'aller me placer près de lui et il mit son bras sur mon épaule avant de m'embrasser le front.

- Ne t'en fais pas, on vas le retrouver.

Je lui sourit et après quelques minutes on arriva devant une grande porte en acier.

- Oh non, Dis-je.

Elle ne pouvait s'ouvrir que par une empreinte de doigt.

Mon père s'avança vers celle ci et mot son doigt la où il le devait et immédiatement la porte s'ouvrit.

- Les chefs y ont l'accès, dit il avant même que je ne puisse lui demander.

On entra et on vit une grande salle avec plusieurs écrans ou on voyait tout les Audacieux qui ce fesaient contrôler et... Tobias sur une chaise avec plusieurs fils accroché à ses tempes.

Tris avait la main sur sa bouche et on aurait dit qu'elle pleurait. Je me dirigea vers elle et lui pris la main.

- On y vas , dis-je .

On se dirigea rapidement vers Tobias qui fixait le vide et on lui retira les fils.

- Et... Fini, s'exclama Jeannine des que nous avions terminé de retirer le tout.

On sursauta puis je dis durement :

- Terminer quoi?

C'est immédiatement que Tobias s'attaqua à moi.

- To... Bi... As...

Tris s'en allait pour attaqué Tobias à son tour mais un garde la pris ainsi que ses parents et Marcus.

- Tobias c'est moi.

Il était par dessus moi et j'étais tombée par terre.

- Tobias....

Quelqu'un lui avait lancé un fusil qu'il avait rapidement pris et qu'il avait mis sur ma tempe. J'avais mes deux mains sur chacuns des côtés de son visage et je l'obligeait à me regarder.

- Je ne t'abandonerai pas. Tue moi si tu veux. Je t'aime Toto.

Il me fixait quelques minutes puis je le voyais de plus en plus reprendre les esprits. Il avait le fusil entre les main et le pointa rapidement vers les gardes qu'il tira les uns après les autre.

Je pris mon couteaux que j'avais caché dans ma botte et l'envoya en direction de la main de Jeannine qui avait activitée un bouton d'urgence.

- Merde, dit elle.

-Annulez le massacre, dis-je en m'approchant d'elle.

Elle me regardait en riant histériquement.

- ANNULEZ LE MASSACRE!

- Awn, ma grande, c'est si mignon que tu crois que tu peux me faire annuler ce qui devait arriver.

Elle s'arrête de parler quelques secondes et après repris.

- Je ne sais pas ce qui est le plus mignon... Que tu crois que je peux revenir sur ce qui est arrivé ou le fait que tu crois avoir gagné.

Je regarda autour de moi et vis mon père, Tris et ses parents couché par terre, inerte. Je ne voyais plus mon frère et Éric.

Je me retourna vers Jeannine les larmes aux yeux. Puis je sentis quelques chose en arrière de ma tête.

Elle se mis à rire de plus belle.

~ Prochain chapitre... La fin ~