Chapitre 15
Mon mari est parti au près de sa famile durant une semaine et après deux ans de mariage mon ancienne belle soeur est devenue majeur, autrement dit elle a l'âge de gouverner. Après lui avoir promulgué de nombreux conseils au fil de ses deux années elle est prête.
Aujourd'hui je vais la sacrée reine à l'insu du roi.
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- Promettez vous d'être juste et bon?
- Je le promets.
- Promettez vous de toujours servir les intérêts de Plysias?
- Je le promets.
- Promettez vous d'apporter richesse et prostérité à votre peuple?
- Je le promets
Je plonge mes doigts dans le bol à côté de moi. Je dessine sur le front de Caroline un symbole à l'argile
- Par les pouvoirs de la vrai famille royale et au nom du peuple, je te nomme Caroline Mérédith Thérèse de Vallès, reine. Caroline II notre reine!
-Caroline II notre reine!
Je souris et prend sur un coussin de soie la couronne et la dépose sur la nouvelle reine agenouillée face à moi.
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Mathis est revenu, le couronnement s'est déroulé en petit comité, peu de gens savent qu'il n'est plus roi encore moins lui.
J'ai serré dans mes bras la reine, en lui demandant de suivre l'exemple de son frère et lui donnant ma dernière volonté puis j'ai embrassé une dernière fois mon fils, l'union sauveuse de notre royaume.
Je suis dans la suite royale attendant mon époux, le faux et le vrai.
- Pardonne moi Tristan... j'espère avoir été à la hauteur de tes espérances, je vais bientôt te rejoindre, je lève mon visage vers le ciel et souris avec tendresse.
Quelques minutes plus tard il entre.
- Comment s'est passé ta visite chez ta famille?
Il répond par un grognement. Peu importe tout est bientôt fini.
Je lui tends les bras comme pour une étreinte. Il me prend dans ses bras, certain que sa femme est gentille.
Je sors la dague dissimuler dans les plis de ma jupe et la plante dans son dos. Il se raidit et me regarde avec étonnement et indignation. Le sang s'écoule à une vitesse impressionante, il tombe, mort.
- Désolé, je resterai toujours fidèle au vrai roi et à mon vrai mari.
Il n'y a pas de caméra dans les chambres, ainsi la République de Frènes ne saura jamais qui est l'assassin, en prévention j'ai mis des gants pour ne pas laisser d'empreintes, est pour éviter des soupçons...
Je pose calmement la dague contre mon cœur, m'éloigne du cadavre encore chaud et plante la lame au milieu de ma poitrine.
Pour le royaume, je t'aime Tristan, ai-je le temps de penser.
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