PDV Soma

Quand, nous fumes dehors, il me pris la main, geste inhabituelle et nous partîmes main dans la main vers un endroit inconnu ...

- La prochaine fois que nous serons tout les deux, j'aimerais t'emmener là bas.

- Où, dis-je en regardant les étoiles. 

- Sur une autre Dimension que j'ai découverte il n'y a pas si longtemps que ça. 

- Et elle ressemble à quoi ? 

Je détache mon regard des étoiles pour le poser sur lui. 

- Tu verras quand tu y sera, me sourit-il. 

On resta dans un long silence avant que je redémarre la conversation :

- Pourquoi Chronos tient-il à te parler ? 

En le regardant, je compris qu'il ne s'attendait pas à cette question et qu'il avait encore moins réfléchit à la réponse. Mais tout de même, il me répondit rapidement :

- C'est compliquer. 

- Dit et j'en jugerais si cette histoire et compliquée ou non. 

- Soma, tu n'as vraiment pas besoin de savoir. Comme je te l'ai dit c'est compliqué. 

- Ok, je change de sujet. Tu étais où pendant tout se temps où tu n'es pas venu me voir ? 

Il  resta un moment dans le silence, cherchant ses mots. Depuis que je l'avais revu, je le trouvais cachotier et en retrait. Tout ce que je savais, c'était qu'il tenait à cacher quelque chose derrière sa carapace et que moi je tenais à la briser pour savoir ce qu'il se cachait à l'intérieur. Pourquoi tant de secret et d'incertitude ? Mais il me répondit quand même avec une réponse assez convenable. 

- Je voyageais entre les dimensions et j'avais pas mal de rendez-vous. 

- Ce ne serait pas à Chronos de s'occuper des rendez-vous.

- Non, c'est moi qui m'en charge vu qu'il ne veut pas y allez.

Je l'écoutais d'un oreille attentive mais mes yeux ne le regardais pas, ils étaient perdu dans le vide. En vérité, j'étais fatigué et il commençait à faire froids ce qui me m'arracha un violent frisson que ne manqua pas de remarquer Emmerik. 

- Tu as froids ?, me demande-t-il. 

- Un peu mais je pense que je vais rentré, je suis fatiguer. 

- Je vais t'accompagner. 

- Non, t'inquiète sa ira. 

Je me leva sans encombre mais quand j'essaya de faire un pas je commença à tanguer pour finir dans les bras d'Emmerik. 

- Je pense qu'il serai plus préférable que je te raccompagne. 

Il se détacha de moi le temps de retirer son blouson en cuir noir et de me le poser sur les épaules. Une fois cela fait, nous partîmes en direction du palais. Pendant que l'on marchait aucune parole ne sortait de ma bouche ainsi que de sa bouche. Je regardais le paysage. 

Emillion était une dimension qui vivait le jour et moins la nuit, bon c'est vrai qu'il devait être plus de deux heures du matin mais plus on avançaient plus je remarquais que il n'y avait pas un chat, personne. Durant tout le chemin, il n'y avait que les lampadaires pour éclairer notre route.

Nous rentrâmes parle même endroit que celui par le quel on était rentré. Emmerik ferma la fenêtre et me laissa me coucher dans mon lit. Quand, je le fus, il vint vers moi et s'assit au bord de mon lit non loin de moi. Il me regarda en me remettant une mèche derrière mon oreille. 

- Je t'aime. 

Deux ou trois mois qui me firent frissonner et me ramener à la réalité. 

- Emmerik ..., parvenais-je à dire. 

Mais il me coupa préférant me laisser dans le silence. 

Mes paupières commeçairent à ce faire lourde et à ce fermait pour se reouvrire tout desuite après. Je ne voulais pas céder à la tentation de dormir. Je voulais être là avec lui, qu'il reste avec moi. 

- Reste, s'il te plait, murmurais-je. 

- Tu sais très bien que je ne peux pas. 

- Alors promet moi que tu reviendra bientôt. 

- Oui, dort maintenant. 

Il se baissa et m'embrassa sur le front, quand, il se retira je ferma les yeux et me laissa céder à la fatigue. 

PDV Emmerik

Cela m'apaisé de la regarder dormir. Elle avait l'air si paisible. Mais pendant les une heure où je resta au près d'elle ne m'empêchèrent pas de repenser à toute les choses que j'avais fait contre elle mais aussi au gens de la population de Anacron, Emillion et d'autres dimensions. J'avais était un monstre car j'avais étais altruiste et manipulé et je comptais bien changé ça. 

En la regardant, je n'espérais qu'une chose : qu'elle se réveille et qu'elle me dise qu'elle avait fait son choix. Car cela devait bien faire quatre mois que j'attendais qu'elle nous dise sa réponse. Cependant, je n'avais pas fait qu'attendre sa réponse car j'avais aussi envisagé la possibilité qu'elle choisisse Koga et pas moi. Oui, j'aurais été déçu et énervé mais Koga n'avait-il pas fait pire que moi dans son passé ? A mon avis, je devais déjà commencer à l'oublier mais comment ? 

Avant de me lever, je lui caressa le visage et puis pour la première fois depuis longtemps je déposa mes lèvres sur les sienne. Je les retira, me leva puis rouvrit la fenêtre pour sortir. Avant de fermer cette dernière, je me retourna la regarda, ferma la porte puis disparus dans un nuage de fumé noir. 

Quand, je réapparut sur le sol noircit d'Anacron, je souffla un bon coup et parti affronté mon frère ...

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Bonjour à tous,

Comme prévue le chapitre et sortit assez vite 😁.

N'oublier pas qu'une réécriture sera bientôt faite.

N'hésitez pas si vous avez aimez cette partie à voter.

N'hésitez pas si quelque chose ne vous plait pas ou qui vous plait ou que vous avez des suggestions à me faire de le dire par messages privée ou public.

La suite sera sans doute posté avant la fin du week-end.

Bon journée.

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