Chapitre n°25
J'enleva mes cheveux qui étaient devant mon visage et regarda la personne que je venais de renverser, il avait des cheveux bruns, courts, la peau métisse et des yeux foncés.
- Je suis désolé, je t'ai fais mal, s'excusa-t-il.
- Ne t'inquiète pas, je n'ai rien et c'est plutôt de ma faute je ne regardais pas où j'allais, lui souriais-je.
Il me tendit la main pour m'aider à me relever.
- Je m'appelle Liam.
- Et moi Soma, disais-je en lui prenant la main.
- Enchanté mais je vais devoir te laisser j'ai des affaires à réglé, me sourit-il à son tour.
- Ok.
A peine, j'eu prononcé ses paroles qu'il avait déjà franchit la porte.
Six heures et oui cela fait bien six heures que j'attends que le temps passe entre quatre murs. La soif commençait à monté et le soleil me manqué surtout sa chaleur car je ne sais pas pourquoi mais j'avais entendu dire que les vampires ne ressentaient ni le froid, ni la chaleur alors que moi, là, j'avais froid. C'était vrai que, j'aurais pu me chauffer grâce à mes pouvoirs mais malheureusement je n'en avais pas fais usage depuis ma transformation. Quelqu'un toqua deux fois à la porte.
- Entré, répondis-je.
- Salut, me lança Casi.
La voyant m'approcher, je me leva du lit et recula à cause de la soif que je ressentais.
- N'ai pas peur, j'ai apporter quelques petite chose pour toi.
Elle sortit de son sac, une poche de sang et me l'envoya.
- Tien.
- Qui ta dit que je suis devenu un vampire ?
- Koga, tout le groupe le sais maintenant.
Je m'avança vers le lit et m'y assit en tenant la poche dans mes mains, la regardant d'un regard fixe.
- Tu sait que sa ne me dérange pas que tu le boive devant moi.
- Je n'arrive pas encore à accepter de boire du sang.
- Tant que j'y pense, Koga m'a dit qu'il y aurait un sortilège qui te permettrait de sortir au soleil.
- Koga est sous l'emprise d'un sortilège ?
- Pas exactement, disons que c'est assez compliqué. Il ne sait pas qui ni quoi lui permet d'y aller mais il sait juste que c'est un sortilège. Et j'en ai entendu parler dans ma famille.
- Mais comment tu pourrais procédé vue que tu n'as jamais fait se sortilège.
- Il y a un grimoire qui se passait dans ma famille mais le problèmes c'est que je ne sait pas exactement ou il peut se trouver.
- Mais alors il pourrais être où ?
- Dans la maison de ma famille mais sa fait des lustres que je n'y suis pas retourné et elle a été brulé.
- J'irai le cherché avec toi, s'il le faut.
- Il ne vaut mieux pas si tu ne veux pas finir en cendre et il faut que tu saches que ce que je viens de te dire n'est pas sure. Le grimoire n'existe peut être pas et le sortilège non plus.
- Je sais mais je garde espoir.
- C'est pas pour rien qu'on te surnomme l'Espoir, rigola-t-elle.
On avait continuer à parler quelques minutes, jusqu'à ce qu'elle du partir. En plus de la poche de sang que je tenait entre mes mains, elle m'en avait apporté quatre autres. Je m'approcha de mon bureau pour attraper le verre qui s'y trouvait. J'ouvris la poche et la renversa dans le verre. Une fois fini je lança la poche vide vers la poubelle et pris le verre que je mis à mes lèvres. Sa faisait du bien. Un fois que j'eu fini de boire le verre je le regarda mais surtout la goute qui perlé sur le rebord de ce dernier.
Je posa le verre pris une éguille et m'avança vers la porte dans le mur. Je porta l'éguille sur le bout de mon doigt et appuya. Je pris mon doigt et le posa sur le mur et le tacha de rouge. La porte apparut Je l'ouvrit et rentra.
La pièce était plonger dans le noir complet, malgré ma peur, je fit apparaître une flemme dans la paume de ma mains. La pièce était assez ancienne, les couleurs commençaient à perdre de vie, des toiles d'araignées se dessinaient sur les murs. Aucun doute cet endroit était belle et bien abandonné. Sur un mur, un arbre avec des fleur de cerisiers japonais s'y dessinaient. Je m'approcha plus près. A certain endroit, on pouvait y distinguer des portraits avec un nom, certain était barré, d'autre n'avais rien ou était délavé avec le temps. La plus part des noms et des portrait qui peuplaient l'arbre étaient ceux de filles. Sur les dernières branches de l'arbre, on y trouvait trois jeunes femmes qui ne devaient pas avoir plus de vingt-cinq ans et sur le bous de leurs branches des filles et des garçons qui, eux, avaient une douzaine d'années. Je m'approcha plus prés pour voir les prénoms qui se trouvé au milieux de se fouillis : Soma Flower et Layala Flower, je ne compris pas tout de suite qu'il s'agissait de moi. On aurait dit des jumelles malgré quelques différences. Je porta un doigt vers mon portrait et le toucha.
Un souvenir de mon enfant m'apparue comme un flache. Dès qu'il fut fini, je retira mon doigt avec vitesse et partit en courant vers la sortit le ferma la porte. Je me laissa glisser le long de la porte et m'endormit.
- Soma réveille toi, prononça la voix d'un fille.
Malheureusement, je suis trop faible pour pouvoir lui répondre et même pour bouger ne seraisse qu'un doigt.
- Quand tu es partit tu as mis où les poches de sang, s'exclame la voix d'une autre personne qui devait être un garçons.
- Dans le sac, là-bas, me forçais-je à répondre.
J'entendis le bruit d'un verre que je sentis sur mes lèvres. Je but le liquide qui s'y trouvé et ouvra les yeux découvrant Casi et Evan. J'étais en train de recouvrir me force.
- Qu'est-ce-qui c'est passé, questionnais-je.
- Tu as du dormir trop longtemps et tu t'es désidraté, m'annonce Evan.
- Mais je vais t'annoncer une bonne nouvelle ! J'ai trouvé le grimoire ainsi que le sortilège qui te permettrait de sortir au soleil, sourit-elle de joie.
- Tu pourra le lançais quand ?
- Bé, vue que je suis venu, un peu, pour sa alors c'est quand tu veux.
- Le plus tôt sera le mieux car j'ai vraiment besoin de me dégourdir les jambes.
- Alors maintenant ?
- Oui !
Elle s'assit en tailleur pris mes mains et prononça des mots dans une langue qui devait être sois du latin sois du grec. Mon corp fut parcourut de petit frisons, de quelques petites décharges électriques et des bouffés de chaud et de froid. Quand elle finit de prononcer la formules, j'ouvrit un œil puis l'autre. Je me sentais ... bien, comme normale.
- Tu as terminer, m'inquiétais-je.
- Oui, mais je ne t'ai pas fais mal, s'inquiéta-t-elle à sont tour.
- Pas du tout.
- Et tu te sens comment, demanda Evan.
- Bien, enfaite j'ai pas l'impression qu'il y ai eu un changement.
Je me releva et pris Casi dans mes bras.
- Merci, la remerciais-je.
- Ce n'est rien entre meilleur amie on ce sert les coudes.
Ces mots me firent chaud au cœur car je venais de savoir que je pouvais compté sur quelqu'un.
- Mais une dernière chose. Sache que même si tu es un vampire, tu seras toujours la bienvenue ici et dans mon cœur tu ne changeras pas de place.
Cette fois si je pris Evan dans mes bras dans une longue étreinte amicale.
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