Prologue

Miss Hirondelle volait, six particuliers la suivaient, ils étaient poursuivis par une foule de villageois armés de faux, de fourches, de couteaux et même un avait dans les mains une corde.

L'Ombrune par un quelconque miracle avait réussit à faire fuir dix de ses pupilles, ils n'en restaient plus que six. Qu'étaient-ils devenus des autres, à cette pensée la miss retourna la tête pour apercevoir Ex toucher par une flèche hypodermique puis tombé à terre.

Elle tourna pour éviter trois projectiles et fit un signe aux cinq derniers, qui la suivirent en courant. Ils étaient fatigués mais abandonner lui était impossible, les autres Ombrunes et particuliers comptait sur elle.

Elle se posa sur le sol avec grâce et commença à se reprendre sa forme humaine. En plein processus, leurs poursuivants qui trainaient le corps salement amoché d'Ex déboulèrent dans la clairière. Miss Hirondelle eu à peine le temps de reprendre sa forme d'oiseau, que déjà les hommes brutaliser les cinq particuliers sans apercevoir que l'Ombrune n'était plus là.

Des larmes coulèrent sur ces plumes, elle avait échouée, en réfléchissant une deuxième fois à la grossière erreur qu'elle venait de commettre, elle n'avait pas tout à fait raté sa mission car elle était encor libre.

Il y avait dans les parages de nombreuses grottes souvent inexplorées par les hommes donc de possible cachette pour attendre. Elle battit plus rapidement des ailes pour arrivée avant la nuit dans les montagnes et s'installer dans une des cavernes.

Un faucon se mit à faire des cercles autour d'elle, il l'avait repairer. Elle jalousait les Ombrunes dont leurs formes d'oiseaux étaient des prédateurs car elles n'ont pas peur. Ce faucon était un prétexte assez mauvais, mais acceptable pour reprendre une forme humaine.

Enfin, elle reprit ça forme humaine, ces jambes qui la faisait souffrirent, elle se mit à les bouger lentement pour calmer la douleur. Elle passa une main sur ses long cheveux grisonnants puis dans un soupire, elle se retransforma en oiseau car le faucon avait disparue de son champ de vision.

Elle se remit à battre les ailés, elle trouva vite un courant qu'il aiderait à atteindre rapidement les montagnes. Il y avait dans son champ de vision une épaisse fumée qui était poussée par les vents.

Un village humain de moins, mais en y repensant, ce  ne pouvait être ça, un ghetto particuliers qui venait d'être la cible des Hommes terrifiaient par eux, l'inconnue et inexplicablement.  Combien d'Ombrunes et de particuliers venaient de partir dans flamme, elle tenta en-vain d'aller voir le brasier.

Se fut sans irréfléchi, elle avait changé de chemin sans le remarquer. Elle se retrouva bien vite au dessus des restes fumants d'un ghetto particuliers. Elle vu quelque survivants tentés de fuir le brasier, elle y reconnue deux Ombrunes aux colliers qu'elles portaient aux cous qu'il leur empêchait de prendre leur forme d'oiseau.

Il n'y avait pas d'être humains en vue, elle pique ver le peu de survivants. Elle se posa près d'une des Miss celle qui avait le plus de chance de s'en sortir et se mit à picorait le collier de son bèque. La deuxième poussa un dernier soupir, Miss Hirondelle avait vu juste sur celle qui était morte. L'Ombrune dont elle tentait de la libérer la regarder sans rien comprendre.

Enfin, le collier se brisa, la femme se transforma en balbuzard. Miss Hirondelle la convia à la suivre d'un mouvement de la tête. Maintenant, elles étaient deux. Elles volèrent environ trois heurs.

Enfin, elles atteignirent les montagnes. Elles se posèrent dans la première grotte venu. Elles avaient évité les villages car un prédateur volant avec un de ses mets favoris étaient assez étranges.

Les quelques fois où elles avaient du passé au dessus de villages soient une pars une, ou faire croire aux habitants qu'un balbuzard coursait une hirondelle. Miss Hirondelle se pose en premier et va en sautillant se cacher dans le noir pour reprendre sa forme humaine.

Le balbuzard fait de même, laissant place à une jeune Ombrune effrayait et intriguait. Miss Hirondelle se présente à sa compagne et la salue "Miss Hirondelle, et vous m'a chère ?

- Miss Pandion haliaetus, celle-ci lui sourit, elle semblait apaiser.

- le voyage c'est-il bien, passait ?

- extrêmement bien, je vous remercie de m'avoir sauver sinon je ne sais où je serais à cette heure.

- très loin... Que vous est-il arrivé, ma chère ?

- oh, pas grand chose en somme mais voyez vous. Les hommes en colères sont plus dangereux que la peste elle même.

- je le sais, ma chère. Reposons-nous."

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