Chapitre 5 : ça chauffe pour le chaton

Quelques jours avaient passé, Draco ce portait mieux. Physiquement parlant, à part sa peau plus pâle que la normale, et sa maigreur, tout étaient redevenu normale. Le griffondore l'avait chouchouté pendant ces dernier jours. Lui préparant 3 repas dans la journée, l'obligeant à bien dormir la nuit.

Ces justement pendant c'est derrière que Harry rejoignait le blond, pour le réconforter. Car si physiquement tout était rentré dans l'ordre, mentalement, le serpent était toujours instable. Il avait peur du moindre bruit fort, du noir, de la solitude, mais aussi de dormir. Seul la présence réconfortante du brun lui permettait de se détendre.

Depuis 4 jours, tous les matins, le chaton se retrouvait la tête blottis dans le cou de Harry. Les bras du plus grand autour de sa taille, et leurs jambes entremêlées. La première fois, le sauveur était intervenu en plein cauchemar.

Flash-Back :

Draco venait de se coucher. Le lunetteux lui avait encore prêter son lit. S'installant confortablement il finit par s'endormir, touché par la fatigue qui l'avait gagné ces derniers temps.

(Rêves)

Le blond se retrouvait dans les cachots du dark lord. Celui-ci avait envoyer plusieurs de ses mangemorts « s'occuper de lui ».

Dans la pénombre, il reconnut difficilement les visages de Avery, Rosier, Nott sénior, Goyle, Crabbe, Les carreaux, et greyback.

Avery le regardait avec une lueur libidineuse dans les yeux, un grand sourire carnassier. Ce dernier s'approcha et lui souffla d'une voix fétide :

« Alors ma petite chienne, on est content de me revoir ? Aujourd'hui je finirais ce que j'ai commencé. »

Draco tremblait.

Greyback en gentil loup repris Avery qu'il avait entendu, lui précisant que le Maître avait dit de joué avec mais pas de trop l'abimer, et qu'au vu de l'état du Malfoy, celui-ci ne tiendrait pas un round. Surtout que si le mangemort pervers lui passait dessus, les autres voudraient en profiter également.

- GreyBack, cette chienne ne mérite pas de vivre, à croire que tu le défends par moment. Gronda Avery.

- Je ne le défends pas, je réfléchis au conséquence, contrairement à toi.

- Si je ne le baise pas, je peux au moins jouer avec non ? Demanda perversement le mangemort.

- Fait comme bon te semble, mais il doit rester vivant.

La discussion s'acheva à la plus grande horreur de Draco. Il vit le groupe de mangemort s'approcher de lui.

Avery, qui était en rage de c'être fait cracher dessus la dernière fois lui attrapa la mâchoire. Lui crachant au visage en retour. Il le força d'un sort à se mettre à quatre pattes.

Les autres mangemort, regardait la victime avec dégout, certain un sourire mal sains aux lèvres.

Le Jeune Malfoy convulsa de douleur à la rencontre d'un doloris de Rosier. Pendant ce moment Avery c'était posté devant lui, sexe en main, lui ordonnant de « faire son travail de chienne » comme disait-il.

Pris dans sa peur et sa douleur, Draco hurla.

Et c'est en hurlant qu'il réveilla Harry. Le brun était entré dans l'unique chambre en courant. Il avait vu le blond en pleure, hurlant à sans déchirer les cordes vocales.

Le rouge l'avait approché, pour de le calmé, en vain. Alors le Griffon monta sur le lit, pris le sang pur dans ses bras le berçant malgré son hystérie et lui chuchota à l'oreille :

- Chaton, c'est moi. C'est Harry... Réveille-toi petit chat...

- NON ! ARRETER !

Ça faisait de la peine au brun de le voir dans cet état-là. Il apposa des caresses apaisantes au plus petit, tout en continuant de lui parler. Et quand des yeux mercure papillonaire, ne longue minute plus tard, son cœur s'allégea. S'autorisant un Legé soupire, Harry sécha les larmes du blond de son pouce tout en apposant une caresse continue à la joue du concerné. Il lui embrassa le front. Et le tien proche de lui. Le rassurant.

- Tout va bien Draco. Ce n'était qu'un rêve. Tu n'es plus là bah, et tu ni retourneras plus jamais. Fais mois confiance chaton, tu n'as rien à craindre avec moi. Je te protègerais toujours.

Au fur et à mesure, le serpent se détendit. Il se laissa coulé contre le brun. Ce collant littéralement à lui. Le serrant comme si sa vie en dépendait. Ce n'ait qu'au petit matin, que lové contre le torse de son sauveur que le vert s'endormis, soulager de ne plus être seul.

Fin du flash-back

Le Malfoy était rassuré, et reprenait petit à petit confiance en lui car depuis le premier jour, jamais le brun ne s'était moqué de lui. Il l'avait toujours protégé, câliné, rassurer. Et mine de rien, cela lui hottait un poids des épaules.

Plusieurs changements étaient également intervenus. A présent il ne se promenait plus en t-shirt trop grand, ni en caleçon tombant sur ses hanches. A force de persuasion, le petit serpent avait réussi à convaincre sa Némésis de lui racheter des vêtements. Le rouge avait pouffé et avait réclamer les mesures, de façons à ce qu'il puisse prendre le nécessaire dans le monde MOLDU. En insistant bien sur ce terme car c'était là qu'il irait ne voulant pas s'encombrer chez les sorciers. Finalement il était parti dans la journée, et était revenu en fin d'après-midi, des sacs pleins de vêtement. Heureusement au gout du prince vert.

Sans faire de fautes de gout il avait pris des pantalons en soi, en jean, en tissus, doit et des chemises. Pour ce qui était du pyjama, il avait laissé le choix du t-shirt trop grand au blond, qui l'avait adopté, mais ne précisa pas que c'était pour garder l'odeur rassurante du brun sur lui en permanence. Bien sûr Draco avait été gêné quand le rouge lui avait montré les sous-vêtements qu'il lui avait choisis dans la boutique. Et étonnamment comme tout le reste des habits, tout était de la qualité. Finalement de son coter Harry ne regretta pas d'avoir acheté ce que voulait le blond. Car même si cela l'empêchait d'avoir une magnifique vue de ce que le serpentard avait pour jambe, il avait pu constater un sourire non négligeable qui était apparu sur ses lèvres, et une évolution dans sa confiance. Néanmoins il adorait voir son petit chat au réveille, les cheveux décoiffés, le visage endormis, une moue au lèvres et le tous magnifiquement mis dans un de ses (à Harry) t-shirt avec un de ses caleçons. Le petit serpent était toujours attendrissant et adorablement mignon le matin. C'était la raison de sa bonne humeur constante ses jours-ci. Tous les matins, le brun était content d'avoir sauvé son chaton. Il avait beaux avoir énormément pesté contre cette petite teigne, finalement, même avec son tempérament agressif il était apetissant.

A présent, comme d'habitude depuis que la routine c'était installées le griffon faisait le repas. Draco avait demandé, poliment en plus, s'il pouvait faire du lapin-chaudron au légume avec une tarte à la mélasse. C'est alors sans hésité que Harry avait acquiescé.

D'ailleurs, ils allaient passer à table, quand un hibou toqua à la fenêtre. C'est en poussant un soupire que le lunetteux alla ouvrir pour prendre la lettre que tenais le hibou. Elle était d'un rouge vif. Une beuglante.

L'enveloppe se posta devant moi. S'ouvris. Et hurla.

- STUPIDE GRIFFONDOR DE MES DEUX ! HARRY OU ES TU ? TOUS LE MONDE TE CHERCHE ! TU NE DEVAIS PAS QUITTER TA FAMILLE POUR TA PROTECTION ! QUE CE PASSERAIT-IL SI VOLDEMORT TE TROUVAIT ! REFLECHIT UN PEUX IDIOT DE SUCIDAIRE !

QUAND TU RENTRERAS, ET TU AS INTERET A LE FAIRE RAPIDEMENT, JE PEUX TE JURER QUE TU GOUTERAS DE MES SORTS !

REVIENS TOUT DE SUITE AU QG ! OU SINON TA SANTENCE SERA ENCORE PIRE.

Il y eu un moment de silence, avant que la lettre ne parle d'une voix plus douce :

- Bon, maintenant que j'ai hurlé, je voudrais savoir comment tu vas ? comment se passe t'es vacances ? tu as commencé à réviser ?

Je voudrais te parler plus longtemps, mais à cause d'un stupide griffon suicidaire, tout le monde part à sa recherche. Au revoir Harry.

Harry poussa un soupire à s'en fendre l'âme. Hermione ne changerait jamais. Elle allait même jusqu'à prendre l'initiative de l'engueler par lettre.

Le brun allait continuer à se morfondre l'âme, quand un rire, chaud, le sortit de ses pensées.

Draco le regardait et riait tellement qu'il devait se tenir le ventre.

Le rouge allait lui demander la raison de son hilarité, quand il se fit couper par son chaton.

- Un idiot suicidaire....

Dit il entre deux rire.

- Tu vois Potter, il n'y a pas que moi qui le pense...

D'humeur taquine, le rouge se positionna en face de lui. Il l'attrapa par les hanches pour le rapprocher de son torse.

- Chaton, fait attention. Hermione peut me traiter de stupide griffon, idiot suicidaire et autres, mais toi, si tu le fais je devrais te punir.

Il accentua les derniers mots.

Le Malfoy rougie jusqu'à la racine des cheveux. Il avala bruyamment sa salive avant de lever les yeux déterminés, vers sa Némésis.

- Et de quel façon, S-T-U-P-I-D-E G-R-I-F-F-O-N ?

Pour toute réponse, Harry lui donna une légère tape sur le derrière. Draco couina en sursautant. Toujours aussi rouge, si ce n'est plus, il ressentit quand même un léger besoin de pousser un peux plus loin la provocation.

- Même pas peur. Idiot suicidaire.

- Fais attention chaton, tu vas t'en mordre les doigts, si tu continues je ne répondrais plus de rien.

- Stupi...

Mais le Serpent se fit couper par un baiser. Le baiser était Dominateur, exigent, mais incroyablement doux. Comme si Harry ne voulait pas le blesser.

Les mains du brun n'étaient pas en reste. Elles vaguaient à leurs occupations. L'une caressant doucement la chute de reins du blond, l'autre, à la base de la nuque se perdant dans la chevelure. Le vert était perdu dans les sensations. Il avait toujours peur, à cause de son rêve, de son agression. Cependant, il savait qu'il pouvait avoir confiance en Harry. Le rouge ne lui ferait pas le moindre mal. Le baiser rendait fou les deux protagonistes. Le sang pur, se laissait prendre aux sensation, bougeant inconsciemment contre le torse dure du lunetteux. Gémissant entre leurs lèvres jointe. Il était totalement enivré par ce baiser. Le Sauveur lui, ce contrôlait temps bien que mal. Depuis plusieurs jours déjà, il appréciait avoir sa Némésis contre lui. Mais devoir le voir au réveil, si mignon après une nuit en commun, était difficile pour le contrôle de sa libido. Alors sous le prétexte d'une punition, il en avait honteusement profité.

Et à présent pas le moins du monde il ne regrettait. Son chaton se laissait totalement faire. Il était parti dans un autre monde. Infiniment perdu dans les sensations. Rompant leurs baiser, Harry savourait la vision du plus petit, les cheveux décoiffés, les yeux dans le vague, les lèvre rouges et gonflées, entièrement affalé contre son torse, le souffle haletant, ronronnant de bonheur.

- Alors chaton, tu as aimé la punition ?

Pour toute réponse, le blond poussa un gémissement, ressemblant à si m'éprendre à un miaulement. Et se cola encore plus contre lui, cachant sa tête dans le coup du brun.

Le rouge rigola doucement avant de lui caresser les cheveux et le dos. Il décida de s'assoir avec son petit serpent sur les genoux.

Sans bouger son chaton, il fit venir une plume et un parchemin à lui d'un simple accio.

Puis il commença à écrire une réponse à Hermione.

Chère Mione,

Je voudrais te dire que t'as lettre n'avait pas lieux d'être. Je suis majeur, je fais ce que bon me semble. De plus je reconnais que j'aurais dû vous envoyer une lettre pour prévenir que j'allais bien. Cependant c'est dernier jours ont été riche en émotion, et je n'ai pas eu le temps d'écrire.

J'écrirais quand j'aurais le temps, et régulièrement afin de ne pas trop vous inquiéter.

Mais il est hors de question pour moi de revenir au QG.

J'ai trouvé un chaton abandonné, blessé, et qui a peur.

Je veux, et je dois m'en occuper.

Je reviendrais au rentré, avec mon chaton s'il va mieux. Et ne t'inquiète pas Mione. Tu peux également dire aux autres que je me porte bien. J'ai un foyer chaleureux et sécuriser. Et je ne suis pas seul.

En revanche je n'ai pas encore commencé les révisions, mon petit chat à besoins de moi.

A la rentrée.

Ps : si tu ne crois pas que cette lettre vient de moi, demande SNIFLE.

Harry

Une fois sa lettre écrite, le brun appela le hibou qui l'avait déposé et la lui donna avec comme consigne de l'apporter à Hermione.

Si l'ordre organisait des recherches comme l'avait suggéré son amie, il était dangereux de sortir. Pour le moment il ne manquait de rien.

- A quoi tu penses ? demanda timidement Draco.

- A la beuglante de ma meilleure amie.

- Tu vas retourner avec l'ordre... ?

- Non, tu n'as pas à avoir peur. Je reste avec toi. Je t'ai dit que je ne te laisserais pas. Puis j'ai une dent contre Dumbledore actuellement.

- Vrai ?

- Ou en vrai. Je te l'ai promis. Mais j'y pense. Comment ferras-tu pour la rentrée ? Il est hors de question que tu ailles avec les serpentards, et il n'est pas question que je te laisse seul.

- On verra sur le moment.

Draco avait réfléchi, pendant qu'Harry écrivait. Il avait aimé se baiser. Il ne savait pas encore ce que ça pouvait signifier. Mais, il savait une chose, il ne voulait pas quitter le brun. Ce callant mieux et embrassant la gorge du rouge il regarda le hibou sortir par la fenêtre pour volé au loin.

à suivre...

Alors qu'en avez vous pensé ? Désolé s'il est un peux court mais j'étaie impatiente.

à bientôt.

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