Aveux
Je rentrais chez moi avec des bleus, je mettais encore battu contre la bande de Jack, cela m'arrivais tout le temps. Il faut dire que je ne peux pas les supporters et c'est sans doute réciproque. Je fais partie de la catégorie des filles qui savent se battre, pour moi c'est primordial il n'est pas question que je m'incline devant les autres c'est pourquoi j'ai appris à me défendre. Je vis un attroupement devant ma maison, je m'y précipita, était il arrivé quelques choses? Et puis pourquoi avait je l'impression que ma vie allait changer? Je bousculais les personnes qui me bloquait l'entrée, mais je n'allue pas plus loin que le seuil de la porte. Je mettais arrêté dès que je l'avais vu. Là mon père gisait par terre, le vieux Gil à ses côtés. J'étais pétrifié, je n'osais plus bouger.Il régnait un silence de mort. Mon père était mort. Je vis alors une lettre dans sa main. Je m'approchais lentement, puis me baissais pour prendre la lettre. Curieusement, je savais qu'elle m'étais destiné. Je l'ouvrit nerveusement, mes mains tremblaient. Je me mis à lire la lettre.
Inès,
si tu lis un jour ce message c'est que je n'aurais pas eu le courage de te le dire en face, ne m'en veut pas s'il te plaît.
J'aurais dû te le dire depuis longtemps mais je ne m'y résoluai pas, tout simplement parce que je ne voulais pas que tu partes. Je tiens à te le dire tu m'as vraiment rendu heureux. Tu sais quand tu étais petite tu m'avais demander pourquoi tu n'avais pas de maman, à ce moment là je ne t'ai pas répondu parce que j'avais un secret. Écoute en fait je ne suis pas ton père car en vérité tu as une mère et même un père. Il y a longtemps quand tu as eu 5 ans, je t'ai enlever à ta famille pour me venger de tes parents. Puis je t'ai élevé comme ma propre fille.
Tu dois être triste où en colère où peut être même les deux, mais sache que je t'ai vraiment aimé. En ce moment je regrette de t'avoir enlever alors que tu n'avais rien fait, et je m'en excuse sincèrement. Tu voudras sans doute rencontrer ta famille et vivre avec eux, ce qui est normal.
Je ne t'en empêcherait pas, quoi que tu choisice de faire je respecterait tes choix. J'espère juste que tu me considéra toujours comme ton père, pour moi tu seras à jamais ma fille.
Je t'aime Inès.
PS :je n'en veux plus à tes parents.
Des larmes se sont mise à couler sur mes joues,je ne sais plus quand ça a commencé.
Et moi maintenant qu'est ce que je vais devenir ?
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top