Avant toute chose, je tiens à préciser que mes premiers chapitres sont inspirés des fanfictions de   

Pdv Gellert Grindelwald :

Gellert rentra enfin chez lui et se laissa tomber dans son fauteuil épuisé par la course-poursuite à laquelle il a dû faire face.

- Il s'en est fallu de peu... Soupira le mage noir. Encore un peu et j'étais bon pour retourner à la prison du Macusa...

Il reprit son souffle avant de se lever et d'aller devant sa fenêtre en faisant léviter son pacte de sang devant lui. Sa cage thoracique se comprima un peu lorsqu'il repensa à cette personne. La seule personne qu'il n'ait jamais aimée. Lorsqu'il repensa à Albus Dumbledore. Il se mit à penser.

"Est-ce qu'il m'aime encore lui aussi..? Ça m'étonnerait... Pas après tout ce que je lui ai fait... Il a beaucoup trop souffert à cause de moi..."

Il remit le pacte dans sa poche en observant les paysages blancs par sa fenêtre. On était le soir de Noël... Et une fois de plus, Gellert Grindelwald allait le passer totalement seul dans son grand château de Nurmengard. Il alla s'asseoir à son bureau face au feu et se servit un grand verre de whisky qu'il but.
Le lendemain, quand il se leva, il n'avait aucuns souvenirs de la nuit précédente.

- Ma tête... Dit-il en grognant et en se massant les tempes.

Il se redressa et remarqua qu'il avait bavé sur tout son bureau et vidé la bouteille d'alcool ce qui devait expliquer son état.

"La grande classe..." Pensa-t-il en nettoyant le meuble. Lorsqu'il alla se changer, il vit qu'il avait du papier collant sur tous ses vêtements et un morceau de papier cadeau sur la joue.

- Mais qu'ai-je bien pu faire...?

Il retourna au bureau et constata qu'il y avait des brouillons de lettre avec des déchets d'emballages partout dans la pièce. Il prit une des feuilles et la lut.

Pdv Albus Dumbledore :

Dumbledore venait de terminer ses cours et entrait dans son bureau. Il se fit un thé et s'assit devant le feu en regardant sa main marquée à vie par le serment qu'il a fait avec Grindelwald lors de leur adolescence.

Il songea : "Dommage qu'il ait si mal tourné... On ne peut plus se voir... Et pourtant, malgré tout ce qu'il a fait, je l'aime encore..."

Il fut interrompu dans ses pensées par les coups de bec d'un hibou sur sa fenêtre. Le professeur se leva et alla ouvrir à l'animal qui entra et déposa un cadeau sur le bureau avant de repartir. Albus n'eut pas le temps de se poser la moindre question qu'il reçut d'autres paquets. Tellement que le meuble était bientôt rempli. Une dernière chouette entra et lui donna un papier. Le rapace se posa sur son épaule et Albus sourit doucement en ouvrant le mot que l'animal tenait entre ses serres et le lut.

"Mon Cher Bubus,
J'ai remarqué que c'était Noël et je me suis dit que pour une fois cette année, j'allais changer mes habitudes et t'envoyer quelques présents. J'espère qu'ils te feront plaisir et que je te connais toujours aussi bien. Tu me manques beaucoup... Pas un seul jour ne passe sans que je pense à toi...
Je t'aime fort et t'embrasse
Ton Gillou.
PS : je viens de t'imaginer nu avec les chaussettes comme tu avais l'habitude de l'être quand on était ensemble. Ce n'est pas désagréable comme image."

Albus sourit encore plus en lisant le message. Il se doutait que le mage noir était ivre puisque l'écriture en patte de mouche était loin d'être celle bien soignée de Gellert. De plus, s'il avait été sobre, il n'aurait jamais écrit le post-scriptum.
Le professeur posa le mot sur la table et se dit qu'il allait renvoyer l'appareil au blond. Il ouvrit un tiroir dans lequel il avait entassé plein de chose qui lui faisaient penser au sorcier et il les lui envoya par hibou.
Une fois la chose faite, il déballa ses cadeaux. Le mage noir le connaissait vraiment par cœur tous les cadeaux ont beaucoup touché le professeur, mais le meilleur cadeau, selon lui, c'étaient les aiguilles pour tricoter. Cependant, il ne comprenait pas comment Gellert avait fait pour le savoir, car il n'en avait jamais parlé à personne. Même pas à lui. Il écrivit un nouveau mot qu'il donna à la chouette. L'animal partit et il alla se coucher.