Pas d'espoir, pas de lumière.

Jake était perdu. La nuit semblait avoir débuté il y a une éternité. Et pourtant elle ne s'était écoulé seulement qu'à la moitié de son temps.

Se sont des machines après tout.

Il écarquillait les yeux. Il venait de penser comme l'intégralité de la population actuelle finalement... Cela montrait a quel point la peur pouvait influencer si radicalement nos manières de penser. Lui qui était si déterminé a en savoir plus sur la révolution de ces robots.

Non, il ne pouvait pas.

Il ne pouvait pas s'arrêter a ça.

Il devait aller plus loins.

Les seul figurants présents dans cette rue étaient lui-même ainsi que les centimètres de neige qui ne cessaient d'augmenter sur le sol. Des traces de pas, de sang, des voitures renversées, des armes, et des corps. Des corp mort évidemment, et pas la traces de la moindre forme de vie dans les parages.

Des coups de feu se faisaient entendre au loins. Au fur et à mesure que le garçon se rapprochait, le brouhaha lointain semblait s'intensifier. Comme si les grand immeuble masquaient les sons et que l'affrontement ne se passait pas si loins.

Il marchais lentement. Il savait qu'il voulais y aller. Mais dans la panique et étant donné qu'il avait pris cette initiative de manière très spontanée, il n'avait pas vraiment réfléchis à comment il voulait que cela se passe. Il y allait sans peur, mais le simple fait de réfléchir à se qu'il l'attendais derrière ces immeubles donnait un certain enjeu a ses idées.

Il accélèrerait alors le pas, bien décidé à laisser le libre arbitre au destin sans avoir anticipé ou prévu la moindre chose.

Tout le monde était barricadé chez soit, laissant au centre ville de Détroit des allures de ville abandonnée. Seul quelques courageux avaient laissé leur fenêtre ouverte. Probablement au cas où si il y avait quelque chose a voir en bas de cher eux.

Jake trouvais tout ça totalement coufu. La population manquait cruellement d'informations. C'est comme si l'humanité entière niai ses responsabilités. Justifiant leurs erreurs par une absurde excuse "d'erreur de programme".

Il trouvais que la situation était menaçante.

Mais était-il le seul a ne pas apercevoir la moindre menace venant d'un camp ou de l'autre ?

Juste de l'incompréhension,

Et de la peur.

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