Destruction
10 jours
Ça fait 10 jours qu'il n'est pas sortie de sa chambre.
Malgré le fait que c'est un monstre; son âme a tout de même besoin de se nourrir
Dès que Toriel entrait (qui portait maintenant la même robe mais en noire) elle ne voyait qu'un squelette à genoux.
Ses orbites était vides.
Il ne réagissait à rien même à Papyrus ou même quand une fois Undyne (pour le faire réagir) elle a insulté Papyrus
Rien
Juste le vide
Le désespoir
Il n'était plus là
Comme si son âme s'était autodétruite
Mais aujourd'hui il fallait qu'il bouge
Aujourd'hui un jour si morbide
L'enterrement de Frisk
D'ailleurs personne, à part Sans, ne savais que Chara était tout ce temps avec elle et qu'elle s'était aussi suicidé.
Toriel entra dans la pièce.
Toriel : Sans?
Seule le silence lui répondit.
Toriel: Sans écoute moi. Je sais que tu es triste mais il faut que tu viennes ! Pour Frisk !
Sans: Fr... Frisk
Toriel:Oui Frisk. C'est son enterrement
Sans: Je dois y aller...
Toriel: Attend ne te lève pas comme ça tu vas...
Sans: Aïe!
Toriel: Tomber... Je vais te chercher un repas et petit à petit tu reprendras des forces. Ensuite on ira là bas.
Sans: O... Ok
Toriel sortit soulager.
Pensée de Toriel :" Il allait se tuer si il avait continué. Mais pourquoi cette soudaine détermination à vouloir y aller."
Elle lui apporta son petit déjeuner avec des habits et le laissa s'habiller.
3 heurs plus tard, il était debout, droit comme un I. On n'aurait jamais dit, qu'il y a quelques temps, il était dans un état proche d'une momie. Malgré son semblant de forme physique, quelque chose était brisé en lui. Le regard sérieux, comme si il réfléchissait et pas une larme.
Rien!
D'après son frère c'est normal. La dernière fois, à la mort d'un des enfants du voisinage et amie de Papyrus; il n'avait pas bougé. Le moment de dire adieux à Frisk. Sans s'avança. Il déposa une couronne de fleur doré sur son cercueil.
Sans : Bonne nuit petite étoile. *murmure* On se revoit bientôt. *voix haute* Tu étais la petite étoile, l'espoir dans la nuit. Tu nous soutenais et tu prenais soin de nous. Malgré ton départ, tu resteras dans nos cœur.
Tous regardaient d'un œil bien vaillant Sans, ils pensaient que seule la perte de la personne qu'il aimait l'avait changé.
Mais ils se trompaient !
Le soir venue, après avoir mangé, Sans se coucha et se laissa emporté dans un autre monde.
Quand Sans ouvrit les yeux, il n'était plus dans son lit. Il était dans un monde noir. En face de lui se dressait des arbres aux feuilles grises au veinure doré créant une allée menant à un arc de triomphe fait d'onyx recouvert de belle arabesque doré. Derrière se dessine un gigantesque bâtiment fait de marbre blanc. Des scènes de couleur noire et doré recouvraient la façade du monument. Il en reconnu une parmi les autres : La mort d'Hercule, lorsqu'il brulait à cause de l'acide sur la serviette qu'avait donné par Héra, il y avait aussi le bûcher des sorcières et bien d'autres. Entre l'arc et le bâtiment, se balader des centaines de personnes devant lui tous habiller de manière riche. Alors qu'il admirait le paysage, un squelette de la même taille vêtu d'une tenue noire ample avec une capuche, s'était approché. Un cordon argenté lui en entourait la taille. Pour l'une des seules fois, son sourire disparu de son visage à la vue du squelette en face de lui. Il avait une faux à la main dont la lame était d'un bleu lumineux, illuminant sa mine sérieuse.
Sans : Bonjour Reaper. Tu es très serviable.
Reaper : Assez d'hypocrisie. Suis-moi.
Sans : Bien.
Reaper : Et ne te fais pas remarqué.
Son ton est tranchant, froid et direct. Il partie sur droite et s'enfonça dans la foret. Plus loin, on arriva à une clairière où elles les attendaient même si elles ignoraient avec qui Reaper arrivait. Une fois dans la clairière, les arbres bloquairent le passage. Ils s'agrandirent pour former un dôme de feuilles laissant quelque espace de lumière comme des étoiles. Sur un côté, une source coulait. Elle scintillait de mille feux et projetait des éclats bleutait sur tous le dôme. Frisk était assis au pied de la source et Chara, elle, était penchée sur elle, un bras autour de ses épaules, à genoux. Lorsqu'elles ont virent Reaper, leur visage s'illuminairent mais pour un court moment. Chara bondit vers lui, tel un chat.
Chara: Tu oses revenir après ce que tu lui as fait !
Son visage était déformé par la haine ! Reaper, lui, s'écarta.
Chara : Je vais te refaire le portrait ! Et je... Frisk qu'est ce que tu fais?
Frisk venait de s'avancer et de poser sa main sur le bras de sa partenaire. Chara finit par se reculer et Frisk, sur le devant de la scène, se retrouvait illuminée d'une douce lumière. On aurait dit un ange, sa tenue lui donnait un aire imposant. Ses cheveux volaient derrière elle. Après une courte inspiration, elle ouvrit ses deux yeux d'un doré profond. Dans ses yeux se mélangeaient une palette d'émotions. Il y avait de la détermination, de la peur, du dégoût mais surtout du désespoir. Malgré tout, elle semblait sereine.
Frisk: Que fais-tu ici?
Une simple phrase pouvait tout dire. Elle vibrait d'une autorité nouvelle. Dedans, il y avait aussi une froideur vicieuse. Elle entrait en toi avec douceur pour te glacer brutalement. D'une voix suppliante remplie pourtant d'un mélange arrogant de confiance et de tristesse.
Sans: Et bien, je suis venue voire Reaper et j'ai profité de l'occasion que j'avais...
Frisk: STOP!
Dans son ton abjecte on pouvait sentir tout son dégoût pour la personne en face d'elle. Pendant un instant le masque du comédien se fissura. Il reprit ses esprits rapidement mais pas assez vite que Frisk ne le remarque pas. D'une voix bien plus hésitante, il reprit.
Sans: Je voulais m'excuser. Je sais que ce que j'ai fait est horrible mais...
*
Frisk: TAIS-TOI !
Sans se redressa, surpris.
Sans: Mais, Frisk...
Frisk: LA FERME, J'AI DIT!
Le squelette baissa la tête, n'osant plus la défier.
Frisk : À ton avis, pourquoi ai-je fait des centaines de run? Pourquoi ai-je sombré dans la folie du génocide ? Pourquoi ai-je accepté touts tes reproches ?
Sans: Je... Je ne sais pas...
Frisk : Parce que je t'aimais !
Sans: Quoi...?
Chara: L'amour, ducon, tu sais, ce sentiment qui te ferait faire n'importe quoi pour ton âme sœur ?!
Sans frémi, ses pupilles se dilatent, légèrement.
Frisk: Tout ce que je voulais, c'était revoir cette lueur dans tes yeux la première fois que je t'ai vu... Cet éclat de vie, de bonheur ! Mais après cela, plus rien... Tu ne me regardais qu'avec des yeux méfiants, comme si je n'étais qu'une menace à exterminer, une bombe à retardement... Et c'est ce que je suis devenue... Par ta faute. C'est à cause de toi qu j'ai fait cette run génocide! Puisque la pacifique et la neutre ne te faisais aucun effet, autant toutes les tester et devenir une criminelle !
Elle soupire, reprenant son souffle, les larmes au yeux.
Frisk : J'ai compris trop tard... Que, pour te rendre heureux, je devrais laisser les autres en paix... Ce que j'ai fait. Alors pourquoi t'es tu acharné sur moi?! J'avais respecté tes choix, j'avais renié ce foutu RESET et ces sauvegardes qui pouvait me sauver ! Je n'étais plus qu'un sac de chair qui subsistait, encore et encore. Ton punching-ball ! Ton défouloir. Alors que je tentais de me faire pardonner, tu enfonçais la lame, tu me faisais culpabiliser, tu t'en foutais! Seule importait ta petite personne, tu t'en foutais du mal que tu me faisais, tu t'en foutais de mon état, tu t'en doutais puisque rien ne t'atteins.
Ma mort t'a-t-elle réellement choqué ? Ou était-ce juste une prise de conscience de ta part? Je pense quand même sur tu devais t'y attendre un jour ou l'autre, non? Ça fait quoi de ne plus avoir de défouloir ?
Le squelette tombe à genoux devant elle, prononçant aucun mot, ne bougeant plus.
Frisk : Maintenant les rôles sont inversés, mon cher Sans.
*
Sa respiration était saccadé, elle avait les larmes aux yeux. Chara était abasourdi. Elle se rapprocha de Frisk pour finir par l'enlacer par derrière et l'attirer contre elle.
Chara : Tu devrais partir. Tu n'as plus rien à faire ici.
Le squelette, jusque là inactif, se releva, ses orbites étant devenus des océans de noirceur. D'un pas hésitant, il recula. Une voix se glissa dans sa tête. "Tu ne mérites pas d'être là où elle est." Il reconnut cette voix. C'était la sienne... Son être entier le déclarait coupable. Il tourna les talons et courru de toute ses forces comme si il essayait de fuire son pire cauchemar. Cependant son pire cauchemar, c'était lui!
Frisk : Chara...
Chara: T'inquiètes pas... Tout est réglée...
Elle la lâcha
Chara: ou presque...
Elle se retourna vers Reaper qui faisait l'innocent. C'était la seule parade qu'il est trouvé contre les accusations qui planait au-dessus de lui.
Chara: Alors tu t'explique maintenant et après tu dégage, ok ?
Reaper: Je lui devais un service, maintenant vous serrez tranquille pour l'éternité.
Chara: MAIS T'ES CON! TU SAIS QU'IL AURAI PÛ FAIRE FRISK ! IL...
Frisk : Laisse Chara c'est dans l'ordre des choses. Par contre, tu pourrais nous laisser.
Reaper : bien-sûr~
Pendant que le dieu partait, Frisk alla s'asseoir au pied de la source et invita Chara à la rejoindre.
Frisk: Chara... Je suis désolée. Tout ça ne te concernait pas et je t'ai obligé à quitter ta famille pour mon bonheur égoïste. C'est impardonnable de ma part de te priver de ta liberté et de ta joie. Comme tu l'as vu, j'étais enfaite capable de lui parlait. C'est pathétique de ma part de ne pas l'avoir fait de mon vivant. Je suis horrible! J'aurais dû te libérer depuis ma première run! J'aurais dû tout fait pour que tu sois heureuse ! Je...
Chara: Stop.
Elle le dit avec douceur. Frisk, surpris, se retourna vers elle et ce qu'elle vit l'étonna. Chara, un sourire doux et rêveur au lèvre, pleurait.
Chara: Tu n'as à être désolé. Tout ça me concernait peut être pas à la base mais j'ai choisi de m'en mêlait. Ce qui veut dire que j'ai choisi de partir pour ton bonheur. Ce n'est pas égoïste d'avoir accepté ma décision. Jamais on ne m'a privé de de ma liberté et de ma joie. Tu es la joie de mes journées. Certe tu as été capable de lui parler mais lui n'aurais était capable d'écouter si tu, si nous ne nous étions pas tué. Tu n'es pas pathétique. Tu es gentille, douce, généreuse et tu es tombée sur un sale type. Ça n'a plus d'importance de l'avoir maintenant ou avant. Tu n'es pas horrible. Et tu l'as fait.
Frisk: Co... Comment j'ai fait pour te rendre heureuse ?
Chara : Tu m'as accepté. Ça... Remplissait mon cœur de joie. Et tu sais pourquoi ?
Frisk: No... Non...
Chara: Parce que... Je t'aime. Hehehe
La gène de Chara était visible de loin. Le visage de Frisk prit des couleurs rapidement.
Chara: Je te laisse réfléchir...
Elle se leva et commença à partir.
Frisk: Chara!
Elle se leva précipitément, couru et glissa. Chara, qui s'était retourné au son de la voix de Frisk, la rattrapa de justesse.
Frisk : Je t'aime !
Sans lui laissait le temps de répondre. Elle l'embrassa. C'est à ce moment que dans une douce lumière, la robe de Frisk changea de couleur devenant un dégradé de blanc pour finir avec une fine bande noire sur la fin. Chara la prit dans ses bras et la fit virvoltait.
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Dans un autres lieu:
Il se réveilla en sursaut. Il trembla de tout son être pendant longtemps, très longtemps. Il resta dans cette état pendant des heures. Il garda la lettre contre lui. Le matin, en voyant qu'il ne descendait pas, Undyne monta. Lorsqu'elle le vit dans cette état, elle secoua sans résultat. Elle eu beau tout faire, elle ne le fit pas bouger. Attirer par le bruit, Toriel et Papyrus montèrent. Papyrus lui parla mais rien. Toriel essaya donc.
Toriel : Sans s'il te plaît, lève toi. Tu dois vivre pour nous et pour Frisk
Sans: Non...Je ne le mérite pas...
Papyrus : Mais que dis-tu, frangin ?
Undyne : C'est vrai ! C'est quoi ces salades ?! Bien sûr que tu le mérites.
Sans : Non. C'EST DE MA FAUTE SI ELLE EST MORTE !
Toriel : Mais que dis-tu ? Tu... (Sans en arrière-plan cris toujours)
Undyne : Laissez le fini, majesté. Il faut qu'il vide son sac.
Sans : JE LUI FAIS MAL ! JE LUI RENVOYAIS SES ERREURS DANS LA FIGURES ! JE L'AI BRISEE ! Je l'ai brisée... Je l'ai poussé au suicide... Tout est de ma faute...
A cette instant, la lueur dans les yeux d'Undyne vacilla et elle attrapa le squelette par le col pour finir par le plaquer au mur. Elle parla avec une voix si rauque qu'on dirait qu'elle venait des enfers.
Undyne : Regarde-moi bien dans les yeux et réponds moi... As-tu réellement quelque chose avoir avec la mort de la petite punk ?!
Toriel : Undyne ! Calme-toi ! Je suis sûre qu'il ne fait que psychoter.
Papyrus : Parfaitement ! La reine a raison ! Mon frère n'aurait jamais fait quelque chose d'aussi horrible !
Sans : Tu as raison Papyrus, ton frère n'aurait jamais fait une tel chose. Mais je ne suis pas ton frère. Je ne suis qu'un être sans cœur qui a enlevé la vie à une amie et une partenaire.
Undyne le lâcha d'un coup mais la seconde d'après, un poing vient s'écraser sur son crâne. Il releva la tête pour croiser le regard empli de larmes et de rage d'Undyne. Derrière elle se tenait Toriel, les mains sur sa bouche, le regard plein d'effroi presque brisé. Après la perte de son enfant, elle devait supporter la responsabilité de son ami. Le pauvre Papyrus ne reconnaissait plus son frère, si l'être devant lui l'était bien. Il eut peur, peur de tous ces secrets, de ce qui cachait derrière ces faux sourires, peur ne plus le reconnaître, ne tous ces mensonges qui s'exposaient tous à ses orbites. Il ne connait pas son frère, l'être qui vit avec lui depuis tout ce temps, il ne l'a jamais connu et personne l'avait jamais réellement connu. Sans était une énigme, puzzle, qu'il essaye de résoudre à l'aveuglette depuis des années sans s'en rendre compte. Et il avait décidé d'abandonner ce puzzle... Ce sera la première et la dernière chose qu'il abandonnera. La première partie sombre de son existence. Undyne enfonça son poing dans le mur en pleurant à grosse goutes. Elle n'avait rien vu... Rien... Elle encrât son regard plein de haine dans les pupilles du petit squelette.
Undyne : Tu as tué Frisk ...! Et tu oses te tenir devant nous ! Sale traitre ! Tu...
Papyrus : Tu as raison. Tu n'es pas mon frère. Je n'ai pas de frère... Allons-nous-en.
La femme poisson le plaqua au mur une dernière et un craquement sinistre se fit entendre.
Undyne : Tu ne mérites pas de vivre...
Les trois monstres sortirent de la chambre. Le squelette se leva et laissa envahir et ranger la pièce. Son visage n'exprimait plus rien. Ensuite, il sortit un fichier de feuilles, une clé, une énorme boite à photo, un cadeau caché sous le lit, ses vêtements, plusieurs vieux carnets vierges, de quoi écrire, de l'argent et un couteau suisse. D'un tour de magie, il se rendit dans un magasin et acheta plusieurs besaces, de la corde, deux couvertures et une gourde. Une fois rentré, il remplit ses besaces et les mis dans son inventaire qui contenait une énorme pile de vieux bouquins. Il prit du papier et écrivit. Il posa le papier au côté du fichier, de la clé et de la boite après en avoir extrait trois photos. Il y avait dans ces trois : celles du laboratoire derrière chez lui avec Gaster, une de Chara, Asriel et lui enfant et une copie de leur photo de sortit de l'Underground. Et il partit. Sans un au revoir, sans se retourner et sans un bruit.
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Plus tard, lorsqu'un Asgore fou de colère rentra dans la chambre, il la trouva vie de tout signe de vie, comme si personne n'y avait jamais habité. Les seules preuves de son existence résidaient dans les objets laissaient là. Asgore redescendit avec dans les bras les dernières affaires de Sans. D'une voix faible, il prononça ses mots.
Asgore : Il est parti... Et il nous a laissé ça.
Il tendit le paquet de feuille et la clé à Alphys.
Asgore : C'est écrit que c'est pour vous. Ce sont ses recherches, les dernières traces du précédent scientifique royal oublié et la clé du laboratoire derrière chez lui. Il dit aussi que la boite contient tous les clichés qu'il avait ou qu'il a pu prendre. Et le cadeau était pour ton anniversaire Papyrus donc pour toi.
Le squelette pris le paquet d'une main tremblante, l'ouvrit et y découvrit un collier avec un médaillon en forme d'étoile au bout. Le pendentif d'environ cinq centimètres, s'ouvrit sur une photo réduite prise au dernier anniversaire de Sans. Toriel prit la boite à photo et plaça des photos sur la table. Petit à petit, les larmes commencèrent à couler sur toutes les joues. Ensemble ils chuchotèrent un « Adieu Sans »
Devant la belle tombe blanche, un petit squelette s'agenouilla. Il fit ensuite apparaître son âme. Et il fit lentement un sort qui allait changer sa vie. Il verrouilla sa magie à jamais et se rendit immortel. Il se leva et partit en direction d'une forêt aussi dangereuse qu'inconnu.
Sans : Comme cela je ne pourrais jamais partager et troubler l'endroit où tu séjournes. Je consignerais le monde et le temps pour toi. Car au fond, my little Frisk, je t'ai toujours aimé.
Entre les * c'est la partie écrite par Blattye
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