Chapitre Premier
Harry
Je ne me souviens pas de tout, juste quelque sensation pas toute agréable. La première chose fut une douleur atroce au niveau de l'avant bras suivit de quelque chose de vraiment froid et peu agréable. De l'eau ? Sûrement. Il n'y avait jamais rien de sure car je n'avais pas les yeux ouvert, mais lorsque je tendais l'oreille j'entendais de nombreuse voix, je n'ai pas compris tout ce que les personnes disaient car il y avait beaucoup trop de monde pour que je me concentre correctement. Je pense, qu'il y avait une femme, elle avait la voix triste et douce à la fois mais elle savait se faire comprendre puis ce fut le troue noir.
Lorsque je repris connaissance, je n'étais plus dans quelque chose de froid mais sur quelque chose de dure, je ne sentais plus rien à part cette légère douleur au niveau de l'avant bras, il semblait que quelque chose y avait été mit mais lorsque je touchais du bous des doigts il n'y avait rien. Un rêve. Quand je me suis décidé à ouvrir les yeux je compris où je me trouvais, mais pas pourquoi ni comment j'étais arrivé là. Un regard en biais me fit comprendre que je n'étais pas seul. Il y avait comme moi, des garçons et des filles allongeaient sur le sol, d'autres étaient assis la tête entre les jambes.
Je réussis à supporter mon corps à bout de bras, les mains à plat sur le sol dur et sableux de cet endroit. Mes yeux avait mit un petit instant avant de s'adapter réellement à la lumière du jour, comme si j'avais été enfermé pendant des jours dans un endroit clos.
Une fois debout, j'eus la tête qui tournais pendant quelques secondes, peu d'assurance dans mes pas avant de reprendre normalement mes appuis. Je commençais à donner un regard circulaire sur le lieux que je commençais à connaître à vus d'œil ; une forêt simple et de plus loin, il y avait un espèce de village, de ville, je ne sais pas comment déterminer cela. C'était juste étrange. Je repassa brièvement une main dans mes cheveux, cette fois je regardais les personnes autours de moi, un peu plus loin je cru reconnaître une masse au cheveux noir, en m'approchant d'un peu plus prêt je fus véritablement surpris de reconnaître la façon de se tenir la tête qu'avait ce garçon, ses vêtement aussi et tout en lui me rappelais quelqu'un de cher.
« Chris ? » C'était le petit surnom que je lui donnais toujours, qu'il avait prit comme prénom aussi, il n'aimait pas qu'on le nomme autrement.
Il me fit comprendre que je devais me taire. Assis en tailleurs le jeune homme se massait les tempes et releva ses yeux bleu, je l'ai aurais reconnu partout. C'était bien mon Christopher. Je souris grandement et me mis à genoux devant lui pour le harceler de question.
« Comment es-tu arrivé ici ? Est-ce que tu vas bien ?
- Je vais ben, ne t'en fait pas. Murmura ce dernier. »
Il n'a pas répondu à ma question, il n'ai pas dans l'intention de répondre je crois, peut-être qu'il ne sais pas. Comme moi, je pense. Je l'aide à se relever, pose une main dans son dos et le regarde droit dans les yeux. Il n'a pas vraiment changé, je sais qu'on se voit souvent mais il y a un mois j'ai perdu contacte avec lui, après une dispute stupide. Il ne s'était pas senti bien et était parti chez lui. Je recoiffais rapidement ses cheveux noir et le regarde en me mordant la lèvre inférieur. Il me tape sur les mains en grognant légèrement, il n'aime pas vraiment qu'on le touche mais je m'en fiche je continue avant de venir embrasser sa joue.
Je n'arrête pas de cogiter sur ce que se passe, je comprend pas comment nous somme arriver ici, je ne comprend rien en vérité. Christopher s'était levé et tenait à peu près bien sur ses jambes, il n'a pas besoin de moi, pour une fois. Je pensais que tout était calme et qu'on pourrait enfin comprendre ce qui se passe mais une bombe brune nous sauta dessus, Ne tenant déjà pas très bien sur mes jambes je finis sur les fesses et de gémir légèrement. Je ferma les yeux...
« Putain.. Mais ça va pas ! »
Quand la brune releva la tête, je reconnu c'est grand yeux, sa peau mate et sa façon de s'habiller. Je fronce les sourcils en la poussant légèrement et serrant légèrement les dents.
« Aradia.. Grognais-je.
- Harry ! Je suis trop heureuse de te revoir ! »
Elle se tourna ensuite vers Christopher et lui sauta à son cou, il ouvrit de grand yeux et la regarda, il fronça les sourcils quelque seconde avant de passer une main dans ses propre cheveux, d'une façon calme et un peu perdu aussi. Il croisa ensuite les bras en regardant la jeune brunette et parla.
« Aradia laisse moi, j'ai horreur quand tu fais ça. »
Aradia, c'est une belle jeune femme, elle est la plus jeune de nous trois, elle avait un ans de moins que nous, elle a toujours eu un an de moins que moi et Christopher. Avant qu'elle nous laisse tomber, elle est partie du jours au lendemain sans nous dire quoi que se soit et la voir maintenant est totalement déstabilisant, je ne sais pas quoi dire par contre je les regarde tous les deux, elle s'amuse à lui défaire les cheveux, et embrasser ses joues comme elle avait toujours fait et d'ailleurs, il a toujours horreur de ça. Quand elle le lâcha enfin, la jeune femme se leva, épousseta ses vêtements et me regarda, elle avait toujours eu ce regard, à la fois charmeur et étincelant. Elle avait toujours ce don chez moi de me faire perdre mes moyens.
Lorsque je me rendit compte que je la fixais et qu'elle aussi s'était mit à me fixer avec ce petit regard interrogateur sur le visage, je me mis à croiser les bras d'une façon que je voulais « vexé » et je regardais ailleurs en réfléchissant.
« Comment tu es arrivé là toi aussi ?
- Je ne sais pas, je dormais tranquillement et en me réveillant je me suis retrouvé ici.. et je pensais être seule et en vérité il semblerait qu'on soit une centaine, c'est là que je vous ai vue tous les deux. Elle se mit a rire.
- D'accord.. donc nous ne sommes pas plus avancé que ça quoi.. »
La jeune femme mit ses mains sur ses hanches, elle regarda deux seconde le sol, habillé comme ça on pourrait croire qu'elle sort d'un film d'action. En plus, elle avait des armes, je pouvais distingué des armes, un flingue sur sa hanche gauche, un couteau dans sa botte et sûrement un canif accrochait à sa ceinture. Elle était vraiment belle. Je me rend compte que je la regarde de nouveau et la détaille du regard, mais vraiment faut vraiment que j'arrête ça !
« Y a une ville là bas.
- Ouais, je l'ai remarqué aussi. Fit la jeune brune en replaçant ses cheveux en arrière.
- Vous pensez que quelqu'un y vie ? Demanda Chris en se posant à côté de moi.
- Je ne pense pas, il n'y a aucune lumière d'allumée. On devrait aller voir. »
Sur le moment, ça me semblait être une bonne idée mais quelque chose me gênais dans cette histoire. Que faisait Aradia, elle qui avait disparu depuis maintenant 4 ans, nous n'avions pas de signe de vie d'elle. Christopher était plus vers moi depuis un mois et encore, j'étais un peu occupé pour compter vraiment les jours ou les mois que nous n'avons pas passé l'un avec l'autre. Pourtant j'avais l'impression de ne jamais les avoir laissé, d'être toujours rester avec eux depuis notre enfance, nous avions toujours été tous les trois ensemble, jusqu'au plus loin que je me souvienne.. enfin nous trois, nous n'étions pas trois mais beaucoup plus, il y avait une inconnue manquante dans notre équation parfaite. Andrew était de un ans et demi notre aîné, toujours en avance par rapport à nous on se demandait ce qu'il était devenu, on ne l'avait pas encore vue et si j'en crois la petite voix dans ma tête, il devait forcement trouver dans cet endroit lui aussi. C'était obligé. Enfin.. c'est ce que je me disais dans mon fond intérieur. Je me vois dans l'obligation de respirer quelque seconde, je passe une main dans mes cheveux, tout ça était vraiment trop étrange pour moi.
Alors que nous marchions en direction de cette ville, je me permettait de flâner et de regarder tout notre nouvelle environnement, les questions de l'ordre de la panique me viendrons une autre fois. Devant moi, Aradia et Christopher parlait, il semblerait que tout soit remit dans l'ordre entre eux pour le moment, il a sans doute oublié la façon qu'a une cette femme de nous laisser tombé comme des chiens au lycée. J'avais envie de m'agacer contre elle, de lui crier ma haine à la figure pourtant je gardais le contrôle de moi même et prenait le temps de bien faire le plan dans ma tête. D'essayer de me rappeler ce que je faisais hier avant de finir ici mais s'était le vrais trou noir. Je n'avais aucun souvenir de tout ça.
Nous avions mit au moins dix bonne minutes à rejoindre le village tout simplement parce que Aradia avait décidé de ramasser quelque plante sur la route, j'ai des doute sur ses vraies intention mais quand nous furent enfin arrivé à destination je vis au loin qu'il n'y avait pas que nous, les cents premières personnes que j'ai vu non, il y en avait déjà une bonne cinquantaine qui était déjà là, assis en tailleur à parler ensemble. Je pense qu'il se pose les mêmes questions que nous. Je décide de m'approcher tout en observant les lieux.
Il y avait des maisons de campagne, toute plus ou moins grande, elle pouvait accueillir des groupe de 3 ou de 4 je pense. Enfin je ne voyais pas de problème mais je n'avais pas non plus dans l'intention de restez ici. C'était vraiment étrange, dans les coins de rues, en haut des lampadaires il y a avait des petite caméra, on pouvait voir le point rouge clignoter. Nous étions donc surveillés. Je regardais à droite puis à gauche et en ne voyant plus mes deux compagnons de voyage je décidais de me mettre à leur recherche. Ce ne fut pas très long, la voix personne et criarde de Aradia me parvint rapidement au oreille. Quand je l'ai retrouve enfin, je découvre une personne plus grande qu'elle et que Christopher, ce dernier semblait d'ailleurs bien embêter face au garçon qui se trouvait prêt de lui et pour être comme ça, je commence à comprendre qui est cette personne. Andrew Rasmussen. Grand,enfin nous faisons la même taille, les cheveux brun, un air de bad boy à revoir et surtout un tendance à trop protéger la brunette qui se trouvait en face de lui. Je soupir un peu, et arrive à leur distance tout en disant, assez fort pour qu'il m'entende :
« Alors toi aussi tu es coincé ici.
-Il semblerait. »
Fut son unique réponse à ma question, ce qui en ajouta aux autres. Nous étions tout les quatre dans un endroit que nous ne connaissons pas, entourés d'individu de notre âges que nous ne connaissions pas.
Que voulait-on de nous ?
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