Chapitre Deux

Andrew

L'espace d'un instant, je croyais rêver et pourtant, lorsque j'ai ouvert les yeux j'étais vraiment dans un village, c'était étrange, nous n'étions pas beaucoup moins d'une centaine et je ne connaissais vraiment personne. Il n'y avait pas âme qui vive, vraiment, les boutiques étaient toutes fermées et les maisons étaient close. Rien ne laissait transparaître qu'il pourrait y avoir quelqu'un d'autre dans cet endroit qui devenait de plus en plus lugubre à mon avis.

La panique envahissait les regards des quelque personnes présente et je sentais qu'elle ne tarderait plus à me rendre visite, pourtant je décide de prendre sur moi, de marcher quelque pas avant de soupirer. Je me rendais compte que ma tache serait des plus compliqué et que je ne risquais pas d'être aidé par ses personnes. J'essayais de garder toute mon assurance, une personne de plus qui panique n'aiderais pas beaucoup.

Alors que je passais ma main droit dans ma chevelure je fus étonné de voir une tête brune courir vers moi. Je ne mis pas longtemps à la reconnaître, pendant un instant elle avait été toute ma vie. Je n'avais dieu que pour elle et ses sentiments, pour son passé et son avenir et pourtant je n'avais pas fait attention à son mal être quant elle était partie et cela m'avait fait vraiment mal. Je ressens encore quelque fois la douleur de son départ. Sa voix fluette et tendre de jeune femme me fit sourire, je m'approcha alors d'elle et la prit dans mes bras. Je pu la soulevais de quelque centimètre au dessus du sol avant de la reposer sous ses supplications.

« Comment es tu arrivé la ! Je suis trop heureuse de te voir ! Tu m'as véritablement manquer ! »

Elle n'avait pas changé d'un pouce à mes yeux, j'avais l'impression de voir la jeune femme que j'avais quitter pour rejoindre la Faq de médecine. Je souris doucement et vint posé une main dans ses cheveux pour qu'elle se calme un peu, elle ressemblait à une sauterelle s''était toujours aussi mignon. Tandis que la jeune femme se calmé, je pu enfin m'exprimer sur ce que je pensais, je n'avais pas encore remarqué le garçon qui se trouvais derrière elle à ce moment là.

« Je ne sais pas vraiment ce qui se passe, je me suis réveillé là, comme tout le monde je pense, mais je n'arrive pas à comprendre pourquoi.. je suis encore embrouillé.

- Comme nous tous »

Fit une voix que je reconnu entre tous, elle n'était pas très forte, elle ne l'avait jamais été timide et peu sûre et pourtant il y avait un petit tremblement dans cette voix, comme si elle n'avait jamais été soigné d'une maladie de la gorge, j'ai toujours trouvé ça incroyablement captivante. Ainsi, une fois que j'eu discerné la voix d'homme qui venait de me parler. Je pu lever les yeux et découvrir le visage que je n'avais pas vu depuis quelque mois. Christopher Welson, des trait du visage fin, que toute dessinateur aurait pu dessiner sans aucun problème de détails, des cheveux d'un noir pure et toujours coiffé de la même façon, légèrement rasé sur les côté et relevé sur le dessus dans une structure qui manquerait de s'écrouler à tout moment. Et je ne pouvais faire l'impasse sur son regard bleuté presque irréel, je n'avais jamais croisé de personne avec un regard aussi bleuté que le siens. Cela pouvait effrayé mais moi, j'ai toujours aimé le côté étrange et mystérieux du jeune homme. C'était toujours captivant. Passons... je ne vais pas m'attarder sur lui... surtout que cela pouvait être véritablement étrange pour lui, surtout quant on sait de quelle manière nous nous étions quitté la dernière fois.

« Salut Christopher.

- Salut. »

Outch... c'est froid, et distant. Il semble à des années lumière de nous, toujours loin. Je passe une main dans mes cheveux avant de voir arrivé à côté de lui et en face de moi, son ami de toujours Harry, lui je ne pouvais pas le rater, je me rappel pas mal de chose avec lui mais je ne sais pas pourquoi nous n'étions pas plus proche que ça.. en faite..si je sais. Le regard que lui jeté Aradia me le rappela assez rapidement, elle avait toujours eu un faible pour lui, et pourtant il n'avait pas toujours était agréable avec la jeune femme, bien au contraire. Des fois, il était méchant. Je n'ai jamais essayer de comprendre leur relation à tout les deux, et pourtant elle m'avait expliqué mille et une fois d'où venait le problème.

Quand ce dernier ouvrit enfin la bouche se fut pour me saluer rapidement, me demandait ce que je faisais là et ce fut la même réponse que tout le monde. Aucune idée.

« Franchement, je me pose des questions, qu'est-ce que nous foutons ici et pourquoi nous ? Je veux dire, on a rien d'extraordinaire. Fit Harry

- Je ne sais pas, et puis parle pour toi, qui sait ce qu'on a ''d'extraordinaire'' pour être ici ! Fis-je interpeller par ce qu'il disait.

- Sérieusement ? »

Il ne pu s'empêcher de rire et moi de me trouver un peu bête sur le moment. Je passe une main dans ma nuque avant d'observer Christopher écraser le pieds de Harry. Nous nous mettons à rire. Cela faisait tellement de temps que nous n'avions pas rit comme ça, ensemble. Je passe une main dans ma nuque un peu gêner avant de regarder Christopher,d'étirer mes lèvres pour un sourire franc et large. Le jeune homme me sourit en retours et ce fut un peu plus agréable pour moi, je passa une mains dans ma nuque, un vieux tic que je n'arrivait pas vraiment à me retirer.

Nous avions décidé de trouver un endroit ou dormir. J'étais vraiment fatigué et je commençais à ressentir un manque, le manque de quelque chose. La dernière fois que j'avais ressentit ce manque.. c'était quand je n'avais pas eu ma dose de drogue. Je me sentais vraiment pas bien et regarda un peu partout. Je soupir doucement en baissant les yeux sur mes pieds. Nous regardions les maison que nous pourrions prendre, Harry était en tête avec Aradia et à côté de moi se trouvé Christopher qui ne voulait pas me parler pour le moment.

Je soupir un peu et passe une main dans ma nuque, je n'aimais pas le silence de cette endroit, et ses caméras dont nous avez parlé Harry me rendait vraiment mal à l'aise, je ne sais pas pourquoi, le fait d'être observé ne m'aide pas. J'avais besoin de mon intimité, d'avoir une vie personnel et de réfléchir calmement au problème de ma vie, pouvoir avoir des moments ou je me sens mal et ou je peux me demander ce que je fais encore dans ce monde. Mais ici, je n'avais pas le droit à cet dose d'intimité, je n'ai pas le droit de prendre ma dose de drogue pour me calmer et dormir beaucoup mieux la nuit. Je soupir fortement et je sens le regard de Aradia sur moi, un regard empli de tristesse et de compréhension en même temps. Il semblerait que Harry ne lui parle pas plus que moi à Christopher.

« On devrait s'arrête et aller se poser dans une maison pour passer la nuit. On réfléchira à tous ça demain non ?

- Oui, tu as raison. Fit Christopher. Il nous faut le temps de comprendre tout ça.

- Depuis quand tu es de son côté toi ?

- Oh Harry.. Arrête. Fit la jeune brunette à côté de lui.

- Toi, tait toi la petit espionnes. »

Il semblait vraiment remonté, comment je dois faire moi ? Pour que tout soit calme et qu'on ne parle plus de ça. Aradia semble franchement blesser mais elle ne le montre pas. Elle marcha tout simplement, plus rapidement, enfonçant ses mains dans ses poches. Elle ne voulait pas se prendre la tête avec Harry.

Je m'approche d'elle, j'avais un peu couru pour la rattrapé puis je passa mes bras autours de ses épaules en souriant doucement et embrassa sa joue.

« Ne fait pas attention à ce qu'il dit, il est idiot et perdu.

- Comme nous tous. Fit la jeune femme. Ce n'est pas une raison pour être un vrais Connard.

- Je sais.. mais tu sais il a toujours été comme ça. Ne t'en fait pas. »

Je vois très bien qu'elle a envie de pleurer, alors nous continuons de marcher dans l'étendu verte qu'était cette forêt. Au début on pensait pouvoir se trouver une maison et rester tranquille mais Harry à voulu qu'on trouve un moyen de sortir de cette endroit. On était tombé sur des grilles qui semblait électrifié, personne n'a tenter le diable et nous somme retourner au poins de départ. C'était vraiment fatiguant. La journée était vraiment horrible et rien ne semblait s'arranger avec les minutes. Je m'occupais de la jeune femme tout en jetant des regards aux garçons qui restait derrière nous. Ces retrouvailles étaient vraiment lourde.

Nous n'avons pas essayé de nous réconcilier, d'un corps un accord on avait décidé de rester tout les quatre, juste parce que nous nous connaissions depuis l'école primaire, c'est à dire depuis mes 6 ans et eux 5 ans, Aradia était arrivé plus tard à l'école primaire et nous avions décidé de la prendre sous notre aille. Elle semblait tellement fragile et tellement douce à la fois. Elle était vraiment adorable. Parfaite. Puis les année son passé et elle est partie comme elle était arrivé, par magie. Au lycée personne n'avait compris, et nous étions tous très surpris et perdu. Même si je n'y étais plus depuis un petit moment, je continuais d'aller la voir et retrouver la maison de la jeune femme vide m'avait beaucoup surpris à l'époque mais plus maintenant. Elle était devenu une femme forte en dehors, mais pour moi elle resterait la jeune femme que j'ai trouvé entrain de pleurer pour un petit chat.

Après s'être concerté, nous avions tous décidé d'aller ce coucher, que tout sera plus clair le lendemain. Je n'en étais pas aussi certain que les autres mais je n'avais pas vraiment le choix, et la majorité avait tranché en faveur du sommeil. Nous avions trouvé une maison, avec quatre petite chambre et une grande, ce qui semblait être une ancienne maison familial tout simplement.

Demain sera un autre jours. 

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top

Tags: