Nous traverserons alors d'autres mondes

Cette vie n'a pas de fin

Telles de douces colombes

S'envolant vers un avenir lointain

Sur le chemin, terres et océans

Qui d'une pensée à tes cotés

Disparaitront dans le vent

Comment ne pas convoiter cette harmonie du passé ?

Seul désir est de te revoir

Peu en importe le coût dispendieux

Se referment sur moi, les portes du désespoir

Aimes-tu me voir mourir à petits feux ?

À la chaine de ces maintes vies

Ton esprit, je rejoindrai

Que nous recouvre le jour ou la nuit

Toujours, je te retrouverai

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Quelques explications

Durant tout le texte, il s'agit d'un homme qui s'adresse à la nature ou du moins ce qu'il en reste. Nous sommes, en quelque sorte, dans un monde futuriste.

« Aimes-tu me voir mourir à petit feu ? »

L'homme se plaint, encore, même si il est la cause de ce cahot.

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Ça faisait un bail que je n'avais pas écris de poème, cela m'avait manqué...