Chapitre 8: La dague
Amuse toi et oublie! Amuse toi et oublie!
Ces mots resonnes dans ma tete.
Oublié? Je l'ai fais. Enfin je crois.... Louïss n'existe plus. Enfin... Il n'est plus qu'un souvenir.
J'ai suivis le conseil d'Erika. Oublié...
M'amusé? Je l'ai fais aussi.
L'année qui a suivis le couronement de ma soeur et Marco a été dur.
J'ai montré mon armée. Les entraînement. Chef de l'armée ce n'est pas reposant. Pas dutout même. Donc aucune aventure. L'oublie d'un amour est aussi dur qu aimé tout simplement.
Mais les années passerent et sont images s'efface peux a peux. Sont visage, sont odeur n'est plus qu une profonde douleur.
Je ne l'aime plus. Non. J'ai des femmes a mes genoux. J'ai repris les aventures nocturnes. Des femmes. Quelques hommes....
Deux siècles se sont écoulés. Marco et Erika se sont éloignés. Pour vivres chaqun dans leurs royaumes. Mais ils reste proches quand elle va le voir. Même si Marco ne prend plus la peine de rendre visite a sa fille.
Une tour entière m a été offerte par Marco dans sont château et une est dédier a mon armée que je forme. Si loin d'Erika. Que je vous quand elle viens. Elle me manque.
Erika. Elle domine. Avec justesse. C'est une reine accomplis.
Je suis justement entrain de monter les escaliers pour aller voir ma chere soeur.
Mais tout va changer aujourd'hui. Je dois lui annoncer la décision de sont père.
Elle est en réunion avec des conseillers.
-Sortez!
Tout les conseillers se depeches de sortir.
Elle se leve doucement en remettant sa robe.
-Nélio! Mon chère frère! Ça fais des siècles que tu n'est pas venus!
-Trois semaine Erika. Je sais que je suis indispensable dans ta vie!
-Oui tu l'es! Alors qu'elle vent te ramène de cher papa! C'est rare que tu vienne. Tu a des nouvelles?
-Oui. Une grande nouvelle.
-La quelle?
-Tu te rapelle de ce roi du royaume du Nord.
-Le roi plus puissans que nous?
-Oui.
-Et alors?
-Il veux s allier au royaume de ton père depuis toujours. Ton père a donc dessider de....
-Dessider quoi?
-Votre mariage est prevus dans trois mois.
-Mon mariage? Je connais même pas cet homme!
-Tu sera reine de deux royaumes!
-Nélio! Je ne veux pas me marier!
-Je sais sa. Tu crois que c est mon qui va te remplacer?
-Bah... Oui! Pourquoi pas!
-Me marier avec lui?
-Mais tu est stupide! Te marier avec une princesse!
-Je suis pas prince de sang. Désolé de ne pas avoir cet honneur!
-Ah oui c est vrai!
-Ont se dispute la?
Elle réfléchis quelque seconde. Je me retiens de ne pas rire .
-Euh... Oui..
-Erika. Je veux pas que tu te marie. Ce roi à l air tout simplement stupide. Mais... c'est le choix de ton père.
-Donc j obeirais.
-Oui.
-Triste vie.
-Comment ça tu sinon? Ton royaume va bien.
-Le royaume va extrêmement bien. Mais quelqu'un sais si leurs reine va bien?
Elle soupire en descendant les escaliers. Dans un froissement de robe.
-Ou va tu?
-Tu es venu voir ton armé. Je t accompagne.
Elle parle froidement. C'est étrange pour elle. Je revois la lueur de tristesse dans ses yeux.
-Erika... Si j'en aurais le pouvoir, j'empecherais se mariage d état. Si..
-Si.. Toujours si.. Nélio... Si je n avais pas rencontrer Serg, Golan ne serais jamais né. Si Golan ne serais pas né nous en serions pas ici. Si Golan ne serais pas mort je serais heureuse . Si... Tu vois. Toujours des si. Nélio. Vous m avez enfermer ici. Laisse moi être triste en silence. S'il te plais.
-Erika. Tu sais que quand tu a besoin je suis là.
-Tu est chez papa. A bientôt.
Elle me lance les clés du centre d'entrenement de sont armée. Elle remonte sans même un regard.
Quand j'entre dans le camps d entrenent, le général qui est mon second se précipite.
-Nélio! Heureusement que tu est ici! Des émeutes ont éclater déjà il y a trois jours.
-Des émeutes pour quoi?
-Nous avons trop d'hommes. Ils voudraient avoir une chambre à eux seuls.
-Hum. Je vais y réfléchir. Tout d'abord, les entrainenements.
Le lendemain je suis déjà à Ilaya. Quand j arrive. J'entend des cris et des rires dans une auberge.
Les cheveux de mes hommes sont placer devant cette chaumière. Que font t il la?
Me dites pas qu'ils ont encores provoquer une émeute!?
Je me dépêche de descendre de mon étalon pour aller régler ca.
Effectivement. Deux groupes de personnes observent une baston entre une disaine de mes hommes et des inconnus.
-Stop!
Ma voix résonne une fois sans autorités.
-Stop!
La deuxième fois, mes hommes lèvent la tetes. Leurs adversaire me devisage dans compréention.
-De quoi tu te melle toi?
Un homme bourrin me reluque de la tête au pied.
-Ce sont mes hommes. Ceux de l armée du roi. Vous. En cheval ont a pas des siècles!
-Pfff
Un profond soupire de deception secoue la foule.
Mes hommes chevauchent leurs chevaux dehors. Je pose une bourse sur le bar de l'aubergiste.
-C est pas asser.
-Vient donc au château. Le roi te remboursera.
J'allais repartir mais une voix rauque m'appel.
-Et nous qui soigne nos hommes blaisser? Vos charmants rejetons qui savent même pas magnier une épée ?
Je me retourne lentement pour observer celui qui a parler.
L'homme est blond. Un blond que je connais. Un blond qui viens des anciens Férée.
-Comme l'aubergiste auriez vous l'obligence de venir au château demander un reppartit du toi.
-Hum.. Je ne pensse pas que votre roi accepte notre visite.
-Notre roi accepte tout le monde. Vous avez un drôle d'accent.
-Un accent d'une race que vous avez detruits.
Sur ses mots l'homme blond sort avec sont groupes.
J'en profite pour engeuler mes hommes.
-Ont rentres de suite! Entraînement intensifs! Vous pourrez resortit du château quand vous sauvez tenir une épée dans vos putins de mains de fillettes!
Nous rentrons donc silencieusement au château. Je laisse mes hommes dans la salle d entrainement.
-Vous devez réussir à tenir votre épée oumoin dix minutes! Je veux que se sois fais quand je reviens!
Sous mes ordres, la porte claque.
Je vais voir Marco qui est dans son burau.
-Marco, je dois absolument vous parler.
-Erika a accepter sont mariage?
-Oui elle etais enchanter.
-Il y a un message pour toi.
-Le quel?
-Des hommes veulent un livre sur un dague. Ils ont dit t attandre a l'auberge.
-D'accord mais à l'au...
-Que c est t il passer à l auberge?
-Une simple confrontation entre nos hommes et d autres hommes inconnus.
-Des étrangers?
-Oui... enfin je ne pensse pas.
-Pourquoi cela?
-Non rien... Ils demandent juste un remboursement des dégâts causés.
-Bien. Tâche de bien dresser nos hommes.
Il va finir sa phrase mais des pas presser envahissent le couloir.
-Nélio est ici?
-Oui Pourquoi? C est mon second de se château qui est essoufler.
-Ils veulent tuer deux hommes.
-Quoi?
Je dessens quatre a quatre les escaliers. A toute allure.
La j'entend hurler. Rire. Et un faible cris.
Un groupe de nos homme sont autour de deux jeunes gens recrovillier au sol.
-Eh! Laissez les!
Mes hommes rires de plus belles.
Je les poussent pour relever ceux qui etais au sol.
-Kayle? Occupte toi d'eux!
Je rammenne les deux jeunes hommes au yeux rouges de larmes.
Nous entrons dans une salle d entrainement.
-Pourquoi vous ont t'ils frapper?
L'homme le loin blesser repond au tac au tac.
-Lui la. Il aime les hommes. Ils les aiment comme nous ont aimes les femmes. Ca a pas plus au autre. Je l est défendu puisque ce mec est une mauviette qui sais pas se défendre seul.
-Hum. Tu a des blessure.
-Non.
-Bien retourné dehors. Je m occupe de lui.
Le brun sors.
Il reste le jeune homme.
Il est bléssé. Sont visage est rougis par des coups. Sa Tunisie de lin est meme déchirée.
Mais tout cela n'enlève rien à sa beauté qu il faut avouer.
Une chevelure blonde au reflet du blé des doux été. Un visage ni trop fin, ni trop poteler. Sont regard est fuyant, je ne peux louper se regard noirs cendrée...
-Ils vont plus rien te faire. Je vais te soignier et arranger les choses.
-C'est ce que vous dites... mais... maintenant qu' ils savent je suis une bête de foire...
-Dit pas de bêtise. Tu dois vivre ton choix dans le silence. Comme ça il te feront rien.
-Dans le silence... pfff... croyez vous une seconde que c est facile de vivre et d aimer mes hommes? Bah non vous pouvez pas savoir...
Il passe sa main dans sa chevlure et sors, la tête baisser. Le regard toujours fuiant.
-Si tu savais...
Cette haine et tristesse dans la voix... pourquoi ça m'a fais trembler?
Les hommes de l'auberge sont blond comme les Férrée. Comme Louïss. Et leurs accent. Sont accent.
Ils veulent le livre. Pourquoi? Encore cette dague.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top