Chapitre 3: Obsessions instentanné

-C est bon?
-Oui t inquiete!
-Tu a vu si des gardes ou le prince ta suivis ? Erika est assise sur un charillaux de foin.
-Le prince m a surpris! Pif Paf! Ah terre!
-Tu avais le visage cacher oumoin?
-Oui! Bon! On va aider quand les rebelles?
-Les gardes vont arriver de la forteresse. Ont fais comme d habitude!
-Ou est ton père?
-Au village, chercher des renforts.
Des bruits de course sur la route nous parviennent. La soeur se recrovillie dans le foin. Je me glisse serrure un gros chêne.
Les chevaux traversent à vives allure devant nous. La poussière qu' ils dégagent les caches mais j arrive a distinguer qui ils sont! Les soldats de l empreur Valtan!
-pssst! Sifflé Erika. La paille bouge, elle s elance sur un cavalier et le fais chavirer de sa monture. Personnes n a rien vu puisque il fais si sombre. J en profite pour sortir de ma cachette et découvrir le soldat. Il pue l alcool! Pas le temps de contempler se beau jeune homme! Je le hisse dans le tat de foin et pars en courant jusqu'au mine.

-BOUM!
Un premier bruits d explosion résonne à l entrée de la mine. Cacher accrocher a la poutre d un des enclos de l équiris je peux voir les gardes de la mine se précipiter au grande porte. C est la que Erika à cacher le premier toneaux a faire exploser. Pour faire diversion... Qu' elle aille évacué et aidé les ésclaves pendant que les gardes sont occuper à l entrée. Mon rôle? Facile! Surveillier les soldats de l empreur et les retenirs le temps que Marco reviennent avec les renfort.
-Rentrer la dedans!
Trois soldats deboule en dessous de ma cachette. Ils suivent deux gamins avec des chaînes en fer. Plus loin d autre esclaves sont attacher dans un charillaux de fer. Deux hommes surveilles se charillaux mais il me semble appercevoire un troisième sur un cheval dans l ombre.
Je saute derrière le dernier soldat. Mon bras enroulée contre sa gorge, je l étrangle. L homme sufoque, j en profite pour planté avec mon autre main le poigniard dans la poitrine. Le sang degouline sur mes doight.
Je laisse glisser le corps du soldat sans vie au sol.
-Hé! Toi! Appelle les deux autres soldats qui sont avec les prisonniers. Ils approchent! Heureusement que mon visage est cachée! Pas le temps de m enfuir...
J esuille mon poigniard sur ma chemise et sort deux autres petit sabre que je retourne dans mes doight. Les soldats approchent.
-Hé toi! Pause tes armes!
Je recule d un pas plus ils avancent.
-Pause tes armes ou je tire! Hurle un soldat en brandissant un arc.
D un coup de poigniet je lance les deux petits sabres. Ils sifflent dans l air avant de se loger dans la tete de chaqun des soldas. Leurs corps atterrit au sol avec fracas. Les prisonniers se précipitent pour s enfuir. L autre soldat que j avais sembler voir arrive au galots sur son cheval.
-Ne t avise pas a récupérer tes armes! Hurle t il en sautant du cheval pour me plaquer au sol.
Je l évite de justesse mais il me plaque au mur. Je peux voir son visagê. C est le prince Louïss! Ses mains agripent mes poigniets contre le mur. Si fort. Ses yeux percent et foncer plongue dans les miens. Ça me perturbe. J eseille de me dégager mais il sert plus fort.
-Tu nous veux quoi?
Je me débats.
-N eseille pas! C est toi qui m a fuis tout a l heure!
Je secoue la tête. Il m attrape le menton. Sa large main provoque un pivotement en me touchent.
-Pourquoi tu cache ton visage?
Ma main se pose sur son homoplate osseuse. Je la caresse. D un cou mon poigniard se plante dedans.
-BOUM!
Pile a l heure Erika! Le deusieme tonnaux est explosé! J en profite pour le dégager du prince et filer avec les esclaves libérés.

''-Nélio! Nélio! Attant moi. Murmure la voix de Louïss. Il est assis sur mon lit, son beau sourir en coin sur les lèvres. Les mains tendu pour m inviter à le rejoindre.
-Non Louïss tu est un monstre.
-Normale Nélio. Je suis vampire. Comme toi. Viens contre moi.
-Non...
-aller Nélio.
Louïss se lève. De sa large main il attrape mon beau visage et l attire près du sien. Ses lèvres vont rencontrer les miennes.''

-Ahhhhh!
-Nélio! Bellisimo! Come va?
La femme qui dormais près de moi c est réveillée en sursaut a coter de moi. Elle s approche pour m embrasser. Je la pousse violement.
- Ma no! Non è posso più !
Elle remet sa robe et pars en claquant la porte de ma chambre. Deux secondes plus tard, Erika entre et a assois à côté de moi.
-Encore un cauchemar?
-...
-Nélio...  tu peux m en parler tu sais.
-te parler de quoi Erika?
-tes cauchemars.... que tu fréquente de moin en moin les prostituées...
-et alors?
-Nélio! Je sais se que c est de faire des cauchemars... tu peux m en parler... Après se qu' il m est arriver...j en fesais...
-Erika! Rammenne pas tout à toi! Je veux dormir!
-très bien.
Elle claque la porte à sont tour.
Me laissant dans ma chambre sombre. Louïss! Pourquoi je  pensse a lui! Sa m ennerve! Je sourie comme un con des que je revois son visage dans mes souvenirs! Pfff.... Il est mon ennemis! J avoue qu' il est beau mais de la a rêver de lui et pensser a lui quand je suis au lit avec des femmes!
-Nélio tu m ennerve! Je soupire en m etalent dans mon lit. Que faire? Je vais pas me rendormir parseque je vais encore rêver de lui... tsss sa m ennerve.
Je commence à fixer mon mur. Ses pierres sont facinentes.... pff...
TOC TOC
-Hum?
Marco entre un parchemin à la main. Son visage est grave.
-Tu t est encore disputé avec Érika?
-Marco! J ai pas franchement d en parler.
-Vous reglerez sa un autre jour, prépare toi. L empreur nous invite tout de suite à un bal masqué.
-En pleine nuit?
-Nélio tu sais très bien que nous devons obéir! Rejoins Érika au ecurie.
J ai pas le temps de répondre que Marco ressors déjà en lisant un parchemain.
Un bal masqué! Quel bonne idée! Ont pourras enquêter pendant se temps! J enfile une chemise beige, mon armure au signe de la famille, une cape noir et un pantalon marrons. J accroche un  masque de fer et de soie bleue acompagner d une plume blanche dans mes cheveux.
Mon épée à la ceinture, un poigniard de rapprochement au cas-ou au poigniet je peux enfin aller chercher Érika.
Je traverse le couloir pour aller toquer a la chambre de ma soeur.
-TOC TOC
Aucune réponse, j ouvre la porte. Érika n est pas la. Pfff... elle fais la tête. Tempis , je vais au écurie.
Mon étalon noir est déjà prêt.
-Je suis là. Bouge toi Serg va encore s en prendre a moi.
Erika est sur son étalon beige, elle pars déjà au galots suivre son père. Je les ratrape.
-Erika ! Tu monte à cru avec ta robe de bal?
-Oui et alors papa?
-Tu ne changera jamais ma chérie.
-J aime pas mettre une celle et je suis plus libre.
-Si sa te fais plaisir. Fais attantion ta robe est fragile et cher.
-Papa! Je suis plus une enfant!
-Mais oui chérie. Marco tire sa langue à Érika.
*Une heure plus tard*
-Marco! Erika et Nélius vous voilà enfin!
Serg le prince cadet nous attant avec son sourire sadique devant les portes de l immence salle de bal. Il nous attant? Il attant plutôt Érika... Appeine elle enleve sa cape qu il veut l embrasser. Ma soeur recule la tête mais Serg l oblige à l embrasser. Son rire sadique résonne. Érika ne dit rien. Comme toujours. Nous avons appris à rien dire. Même si je meurs d envi d arracher les entrailles de se connard de Serg! Il fais soufrir Érika. Un monstre pareil! Tsss...
Marco me lance un regard de détresse. Lui aussi sa m ennerve se que Serg fais à Érika. Pas le temps de parler, les portes du bal s ouvre. Le crieur annonce.
-Le prince Serg deuxième héritier de l empir. Accompagné par ses invités, le duc Marco d Ilaya, ses deux enfants, Érika et Nélio.
Nous entrons dans l immence salle. Comme toujours nous nous agenouillions devant l empreur.
-Ah vous voilà donc. Serg occupe toi de tes invités. Ordonné l empreur qui se concentre plus sur sa maîtresse. Serg emmène Érika dans ses appartement et Marco va danser avec des femmes.
Je préfère rester dans le fond de la salle. Prêt d un grand tableau de la famille impériale. Un verre d alcool de sang à la main j opserve les vampires qui danses. Soudain un grand homme richement habillier, des cheveux blonds onduler tombant sur l épaisse veste et un masque gris et or marquer d un visage angélique me prend mon verre qu' il laisse tomber au sol.
-Nélio. Que direz vous de se parler seul a seul.
-Qui êtes vous?
-Nélio... mon doux ami...
L homme se rapproche de moi, il passe sa large main dans mon dos. Il déclenche un bouton derrière moi. Le tableau glisse. Laissant un passage. Je me retrouve plaquer au sol, l homme sur moi. Le tableau se referme.  L homme enleve son masque.
-Louïss!
Je le pousse et me relève. Nous sommes dans une vaste chambre bleue. Louïss pose sont masque sur le lit.
-Pourquoi vous m avez emmener la?
-Nélio...j ai a te parler.
Il se rapproche dangereusement de moi. Sa main effleure la mienne.
-regarde se qu' on m a fais...
Il saisit ma main et la pose sous sa chemise, une plaie dans l ommoplatte.
-et?
-Peut tu retrouver ce traître qui ose s en prendre a moi, ton prince...
Sa voix est grave mais envoûtante. Il lâche ma main mais monte la sienne sur mon avant bras.
-À quoi sa va me servir?
( même si c est moi qui t est fais sa Louïss!)
-Tu sera bien récompenser....je sais que tu est le meilleur pour enquêter mon doux Nélio...
Sa main caresse mon epaule, mon omoplate...
-D accord.. mais recompensser comment?
-Oh ...comme sa mon doux...
Louïss me pousse contre les parois du lit. Il attrape mon menton et l embrasse, puis la bouche. Son autre main dessens doucement sur mon torse. La chemise deboutonner . Ses doight carresse mes tetons. ... c est si bon! Ses lèvres dévore les miennes. Pourquoi je ressens une telle chaleur? Je vibre quand il carresse a nouveau les tetons et dessens dans mes hanches. La chaleur m envaie. Je le sert contre moi. Son souffle dans mon cou. C est si bon... si chaud... Louïss..

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