Quelques jours après cette cérémonie ratée, Annabeth et Percy repartir continuer leur quête à New-York.

La routine repris doucement, mais cette fois, Chiron avait annoncé à toute la Colonie l'attaque imminente de Cronos et avait ordonné à tous d'intensifier les entraînements.

Tous savaient désormais que dans moins d'un moi ils devraient se battre pour protéger la Colonie.

Les forges des Héphaïstos tournaient à plein régime, fabriquant, pièges, armes, armures et pièges.

Les Ares entraînaient sans répit les Aphrodite, les Dionysos et tous ceux qui en avaient besoin, dont les satyres.

Les Apollon et les Hermès s'entraînaient sans relâche au tir à l'arc. Repérant dans la forêt les points stratégique, aidé des dryades.

Ils construisent avec les Héphaïstos des postes dans les arbres.

Les Athéna produisaient un nombre impressionnant de plan et de stratégie.

Ils avaient organisé des conseils de guerre où seul Clarisse et Chiron pouvaient assister.

Mon amie est une des seules Ares qui n'était pas considéré comme une brute sans cervelle.

Elle avait d'ailleurs organisé ses frères et sœurs comme une véritable armée grecque. Elle avait nommé deux lieutenants l'un charger de l'aider à gérer ses frère et sœur et l'autre de superviser l'entraînement dès autre demi-dieux.

Elle avait proposé d'utiliser la technique de la baie de Marathon. S'organiser en ligne et foncer vers l'armée ennemie, lancé en avant, enserrant totalement entre ses ailes de phalange leurs ennemis.

Mais les Athéna avaient rétorqué que la plupart de leur adversaire n'était pas humain et que la bataille avait coûté 192 soldats au grec.

Moins même, j'avais intensifié mon entraînement magique.

Je lisais et relisais des livres anciens de sorts, Chiron m'avait dit que c'était Hécate qui avait créé la Brume, et que par conséquent je devrais être capable de la contrôler plus facilement que les autre. Malheureusement, ça ne me servira à rien en pleine bataille.

Au bout d'une semaine, les Héphaïstos avaient presque terminé d'équiper tous les Héros. Chacun avait le droit à une armure complète d'hoplite*, une cuirasse en bronze, des cnémides, les jambières en métal souple des grec, une lance, un bouclier recouvert de bronze et une épée en bronze céleste.

Les Ares montraient à tous les techniques de combat les plus courantes chez les Spartiates.

Les Aphrodite refusèrent de porter "d'horribles pièce en métal, affreusement lourde", mais heureusement, Chiron leur proposèrent de porter une cuirasse faire de bande de lin qu'ils devaient par contre tresser eux même mais les obligèrent à porter une plaque de métal sur leur abdomen pour renforcer la cuirasse. Il dû batailler contre certain qui avait vu des gravures de peltaste** qu'ils trouvaient beaucoup plus attirant que les hoplites. Finalement seul certain d'entre eux, dont les capacités physiques étaient suffisantes pour se protéger.

Tous les soirs, les Ares entonnaient le Pléan, un chant que les grec chantaient avant chaque bataille, comme une prière aux dieux, et après lorsqu'ils étaient victorieux.

"

Allons, jeunes gens de Sparte, cité des hommes courageux,

Issus de pères citoyens et libres,

De la main gauche votre bouclier brandissez,

Votre lance fièrement agitez,

Sans craindre pour vos vies:

Ce n'est pas la tradition à Sparte.

Allez, jeunes gens armés de Sparte,

Vers les rythmes d'Arès.

Celui qui domine la Grèce bienheureuse,

Le général venu de Sparte au vaste territoire,

Chantons sa gloire, ô ié Péan!

"***

Quinze jours plus tard, nous avions presque fini de nous préparer pour la bataille.

Les Athéna avaient installé une tente de commandement dans la plaine, où devaient se dérouler le combat.

Clarisse et ses lieutenants géraient leurs phalanges, les Héphaïstos vérifiaient que tous les pièges et machines de guerre étaient bien installé et fonctionnel et les Hermès et Apollon était montaient sur les postes d'archers dans les arbres tandis que un des Ares tentait désespérément d'ordonner les satyres et les dryades en phalanges.

Les Athéna qui ne discutaient pas stratégie dans la tente, étaient organisées eux aussi en phalange tout aussi ordonné que les Ares.

Soudain, je vis Annabeth courir vers ses frères et sœurs. Ça y est ils sont enfin revenu.

Quelques minutes après le retour de Percy et des autres, l'entrée du Labyrinthe c'est ouverte, laissant sortir douze géants Lestrygons.

C'est parti !

Nous combattîmes plusieurs heures les vagues de monstre incessante avant que la fumée des combats se dissipe et que plus un monstre vivant se trouve dans les parages.

* photo1 en haut.
** photo2 en haut.
*** c'est de l'approximation... Malheureusement ce chant n'est pas en totalité sur Google...
~OoO~
Prochainement, le chapitre 25 - Trahison.