Chapitre 38
PDV de Fukitoru.
Je viens d'arriver aux urgences. Katsuki devrait s'en sortir dans son malheur, il a eu de la chance. Le coup étant nette, les médecins ont pu facilement le traité pour qu'il n'y ait pas de soucis avec une potentiel hémorragie.
Beast Jeanist arrive à l'hôpital. J'ai appelé les flics avec les autres occupants du bus qui devaient nous conduire jusqu'à l'agence de notre très chers n°4 du classement des héros.
Les policiers ont déjà pris ma déposition de même que celle des autres membres du bus. J'ai pris l'autorisation d'arrêter le villain dans un espace clos. Je ne sais pas si j'aurais des ennuis.
-Jeanist : Tu n'auras aucun souci. Tu as agi rapidement pour protéger quelqu'un, tu ne pouvais pas appeler les pros donc tu n'auras aucune sanction. En plus tu as très bien agi et tu ne t'étais pas laissé entrainer par ta colère ni par ta peur. Alors que ta vie était en danger de mort, c'est vraiment admirable.
-Fuki : Merci pour tous ses compliments mais je ne pense pas les mériter.
Je suis un peu confus et un peu gêné devant autant d'éloge à mon égard.
-Jeanist : Ils ne pourront pas lui remettre son bras. Enfin normalement non.
-Fuki : Il y a bien une solution.
Beast Jeanist me fait signe qu'il n'en sait rien.
Je suis obligé de laisser seul Katsuki Bakugo à l'hôpital.
L'entrainement commença.
Je m'entraine et je fais des patrouilles avec les membres de l'agence de Beast Jeanist.
Katsuki ne pourra même pas profiter de son stage. Même si ce n'est pas le plus grave.
La perte de son bras est horrible.
Mon temps libre, je le passe à réconforter Katsuki et à chercher une solution. Je me suis beaucoup rapproché de Katsuki. Il faut dire que les évènements sont en train de bien m'aider.
Le fait d'implanter une prothèse à Katsuki est viable mais Katsuki ne pourra jamais plus utiliser son alter de cette main là. Alors que faire.
Je trouve un article qui dit que l'on peut changer la structure d'un bras pour une autre personne en mélangeant leur adn et en enlevant le bras de la personne donneuse. Bien sûr rien n'est simple. Je ne le sais que trop bien.
Je regarde mon bras, ma décision est prise. Je peux m'en passer si j'ai un auto-mail à la place.
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