PDV d'Izuku.

Avec mon paternel on va rendre une petite visite à ma très chères moman.

Pour avoir plus d'infos sur comment se fait-il qu'il soit mon père. Alors qu'il s'est toujours protégé. Enfin selon ses propres propos, je n'ai pas tant confiance en lui. Après tout, il est un de ces « héros ». Je sais que Fuki m'a dit d'essayer les choses de l'intérieur. Mais c'est si dur. Je le fais bien parce que c'est toi Fuki. Mon senpai, celui que je peux considérer comme un membre de ma famille.

Je vais tous faire pour ne pas te décevoir. Toi le seul qui a cru en moi. Je ne suis plus le pathétique deku de mes débuts, grâce à toi, je vais pouvoir décoller hors de cette terre si impure.

Je rentre dans ma maison d'enfance. Ma mère que l'on ne peut pas dire qu'elle a été la plus sympa avec moi.

La tête qu'elle fait en voyant Présent Mic.

-Mic : Je me rappelle de toi maintenant. Tu es la fille plus âgée que moi qui m'a toujours suivi peu importe où j'allais.

-Inko : Je suis aussi la fille que tu as mis en cloque. Donc un minimum de respect.

Je ne sais plus trop où me mettre.

Je vais juste aller chercher quelques affaires comme des livres à moi.

Je rentre dans ma chambre. Il n'y a plus rien. Pourtant elle a dû apprendre que je n'étais pas mort. En plus qui se débarrasserait des affaires de son fils mort.

-Inko : J'ai tout vendu. Je n'ai plus le droit à diverses allocations familiales depuis que tu as été désigné comme un villain. En tout cas, j'espère que tu es content d'avoir retrouvé cet alter que je t'avais bloqué.

-Izuku : Pourquoi l'avoir bloqué ?

Elle me fait un sourire de psychopathes.

-Inko : Pour te faire souffrir bien sûr. Je n'ai pas d'autres raisons. Même si je ne l'avouerais jamais. Je voulais que tu haisses les héros pour faire de toi mon arme contre Hizashi Yamada mais cela a raté.

Présent Mic se tient derrière elle.

-Mic : Je vais t'arrêter tu le sais.

Elle fait un drôle de sourire.

Un couteau vole jusqu'à ses mains.

-Mic : Allons bon tu sais que tu ne sais pas m'empêcher de t'arrêter...

Elle s'ouvre la gorge devant nous.

Je suis en état de choc.

Note de l'auteur : Je crois que je vais devoir le faire passer en adulte là.