Chapitre 3 :« 10 ans plus tard et aucun changement ce coté »


J'étais dans mon bureau en train de lire un rapport quand j'entendis quelqu'un toquer à la porte.

Je levai les yeux de celui-ci et déclara à haute voix.

« - Entrez ! (Déclarai-je en criant).

- Monsieur, excusé moi de vous déranger mais vous venez de recevoir une lettre.

- Vraiment ? Et bien donné la moi.

Vous ne me dérangé jamais Kikyo voyons ! (Dit-il d'un ton doux).

- Monsieur est toujours très gentil avec tout le monde (répondit-elle dans un sourire)

Ah tenez votre lettre Mr (rajouta-t-elle en lui donnant la lettre qu'elle venait de recevoir).

- C'est dans mon caractère, mmh le Tetsuya's building ?

- Tout vas bien Mr ? Vous êtes blanc comme si vous veniez de voir un mort ! (demanda-t-elle d'une voix inquiète).

- Je vais bien ne vous en faite pas, en sortant veiller dire aux autres de ne me déranger sous aucun prétexte et penser à appeler Asena s'il vous plait (dit-il d'une voix qu'il espérait aussi normale que d'habitude).

- Bien Mr, c'est quelque chose de grave ?

- Je ne sais pas encore mais un vieux fantôme de mon passé va revenir me hanter (dit-il d'une voix triste).

- Merci, j'y vais ! (dit-elle dans un sourire en quittant la pièce). »

J'observais la lettre que je venais de recevoir, elle était beige et d'une taille standart mais le détail qui m'a le plus marquée c'est l'écriture qu'il y avait dessus.

Je pourrais reconnaître cette écrire parmi toutes sur terre.

S'était l'écriture d'Ayato. Il semblait bien qu'un fantôme de mon passé allait revenir me hanter malgré ces dix années qui venaient de passé.

Pris d'un étrange sentiment de courage et de tristesse j'ouvris l'enveloppe comme si c'était une lettre fragile.

A l'intérieur se trouvait un simple bout de papier.

Un papier ou était marqué « Misato, a tout de suite. » dessus.

Après la lecture de ce bout de papier, je compris que malgré tout cet espace que j'avais mit durant ces années que l'on ne pouvais pas échapper a son destin, je devais lui faire face bientôt.

Puis soudain des paroles me ramenèrent à la réalité.

J'entendais Kikyo parler d'un air paniqué.

« - Vous n'avez as le droit d'entrer ! Arrêté il a expressément demande qu'on ne le dérange pas ! (Dit-elle d'une voix paniqué comme pour faire comprendre que cela allait lui créer des problèmes). »

Je me leva de mon bureau et me dirige vers la porte, je l'ouvris et vis Kikyo essayé d'empêcher la personne que je voulais fuir le plus possible au monde d'accéder a la porte de mon bureau. Elle me regarda d'un air désolé et je la rassurai d'un hochement de tête.

Je regardais enfin ce fantôme de mon passé après dix longues années à souffrir de cet abandon. Le plus étonnant dans cette histoire c'est que même avec dix ans de plus je le reconnaissais.

Même avec un costume d'affaire il avait toujours cet air de personne naturelle qu'importe ce qu'elle portait.

Je regardai alors de nouveaux mon employé et d'un air entendu j'invitais l'homme dans mon bureau.

« - Je m'occupe de lui Kikyo, aller donc prendre une pause pour boire un bon café noir (dis-je d'une voix douce).

- Bien Mr, Mr Asena a dit qu'il ne tarderait pas a arriver (dit-elle en prenant sa veste de son fauteuil).

- Très bien merci et bonne pause (dis-je dans un sourire rassurant).

Elle me regarda et puis après un hochement de tête se dirigea vers l'ascenseur.

Kikyo partit de mon regard, je me retourna et regarda la scène qui se trouvait dans mon bureau.

Puis dans un fragile sentiment de confiance retourna dans celui-ci, ferma la porte et me dirigea vers mon fauteuil et m'assis dans celui-ci.

Regardant ce que je faisais avec silence Ayato semblait réfléchir à ce qu'il allait dire comme quand nous étions enfants quand il me mettait en colère.

Je le regarda d'un air froid et l'invita a s'assoir d'un geste de main, celui-ci s'assit.

Le silence et le malaise étaient présents dans la pièce.

Faisant comme s'il n'était pas là, je repris le rapport que j'avais délaissé pour lire sa lettre et recommença sa lecture.

Au bout de quelques minutes il se décida enfin à parler.

« - Euh salut... (Dit-il d'une voix non rassurée).

- Que fais tu ici Ayato ? (demandais-je en posant le rapport que j'avais dans les mains).

- Je viens te voir quelle question ! (répondit-il d'une voix détachée).

- ...

- Je voulais te voir s'est si mal que ça ? (demanda-t-il d'un air blessé).

- Tu devrais avoir comprit depuis le temps non ? Je ne veux plus te voir et si je l'avais voulu, je l'aurais fait depuis très longtemps déjà ! (lui répondis-je d'une voix pleine de colère).

- Je sais ça mais tu es mon frère...

- Vraiment ? (demandais-je d'une voix grave).

- Oui en tout cas c'est mon sentiment a moi. (répondit-il d'un air triste).

- Aux yeux de la loi nous ne sommes plus frère. Tu as été adopté par notre oncle.

- Notre père Misa...c'est notre père.

- Pour moi mon père c'est celui qui nous a élevé.

Et range moi ce regard de chien battu merci.

- Je ne comprend pas...même au bout de dix ans tu refuse de me parler.

Combien de fois l'on s'est vu à des dîner géant ces dernières années ?

- De loin merci de préciser ce détail que tu as oublié de dire.

- Papa m'avais parlé de ce cabinet mais je ne pensais pas qu'un jour nous nous rencontrerions dans un dîner commercial alors que je devrais représenter notre entreprise.

- Notre ? Ton entreprise tu veux dire Ayato !

J'ai besoin de ces dîners commerciaux pour faire connaître Tetsuya et Zoldycks.

Si je veux permettre à mes employés de pour pouvoirs vivre convenablement c'est le prix a payé en tant que directeur de cette firme d'y aller.

- Je sais, j'ai suivi son évolution de loin.

- Pourquoi es-tu là Ayato et je répète ma question pour la dernière fois (déclara-t-il d'un ton froid).

- Je...

- Tu ? (demanda-t-il d'une voix qui indiquait qu'il arrivait a sa limite de patiente).

- Je vais me marier !

- Très bien pour toi maintenant tu peux partir.

- Tu as toujours été têtu, ça ne va pas changer aujourd'hui je suppose.

Je veux faire la paix avec toi, tu sais j'aimerais que mon frère soit présent a mon mariage en tant que témoin (dit-il d'une voix douce).

- Pourquoi je ferrais ce geste ?

Dit moi est que en dix ans tu es allé au moins une fois les voir ?

- Non...

- Donc je répète ma question pourquoi je devrais être présent a ton mariage alors que toi tu n'es pas allé les voir une seule fois? (dit-il d'une voix brisée).

- Je n'avais pas le courage d'y aller seul...

- Pourquoi n'as-tu pas demandé à ton cher papa de t'accompagner dans ce cas ? (dit-il d'un ton ironique).

- Notre père, veux y aller avec ses deux fils et pas avec un seul.

- Notre père comme tu dis a-t-il essayé de m'aider pour leurs enterrements ? Non pas du tout.

Pareil pour leurs affaires j'ai du tout faire seul.

- Il...

- Il n'a rien tenté pour m'aider durant cette période, peut-être que s'il l'avait fait j'aurais accepté d'y aller avec vous mais pas dans le cas présent vois-tu.

- Il est comme toi, dans le fond il ne savait pas comment agir.

- J'ai agis comme j'ai agis pour me préserver et faire en sorte qu'ils soient en paix dans leurs tombes ! Tu peux comprendre ça au moins ? (demanda-t-il d'une voix triste).

- Non !

- Je leurs avait fait une promesse et je l'ai tenu dans un sens.

A toi maintenant d'assumer fait que tu sois lâche d'aller voir nos parents seuls.

Maintenant va-t-en s'il te plait j'ai du travail a finir (dit-il d'une voix qui trahissait sa peine).

- Non je ne partirais pas, je ne t'abandonnerais pas, pas une seconde fois...

- Alors c'est moi qui recommencerais et autant de fois qu'il le faudra pour que tu comprennes. »

A ces mots Misato se leva et se dirigea vers la porte de son bureau, puis l'ayant atteint il se retourna et dit a son frère.

« - Quand je reviens je veux que tu sois parti de mon bureau et de mon entreprise c'est compris ? Sinon tu me verras plus en colère que tu ne m'as jamais vu ! »

Misato appuya alors sur la poignée de sa porte et parti en direction de l'ascenseur, a cet instant Kikyo sorti de celui-ci, elle se poussa de l'entrée de et laissa son patron entrer.

Quelques minutes après le départ de l'ascenseur et Misato, Ayato sortit du bureau de son frère à cet instant Asena arriva.

Ayato regarda l'homme qui venait d'arriver ? Il semblait être habitué à être présent ici, à parler aux employés et aux méthodes de Misato.

L'homme vint alors a sa rencontre avec un sourire narquois, cet homme était malicieux c'était a ne pas en douter.

« - Mr Asena ! Euh le directeur est parti.

- Je me doutais qu'il ne t'aurait pas dit de m'appeler sans raison Kikyo.

Asena !

Voila donc qui il était, il était l'associé de Misato !

L'homme qui l'avait aidé à construire ce mini empire.

Il regarda vers moi et me dit :

« - La politesse dit que l'on devrait se présenter en général quand on rencontre quelqu'un de nouveau il me semble (dit-il dans un sourire).

- Ah désolé, je suis Ayato Tetsuya ! (répondit-il en lui tendant sa main droite).

- Ah tu es donc le frère de Misa !

- Oui je suis son petit frère et toi tu es ?

- Asena Zoldycks, l'associé de Misato dans Tetsuya et Zoldycks ainsi que son meilleur ami (dit-il en luis serrant la main en signe de présentation).

A la suite de se serrage de main Kikyo partit dans un bureau pour discuter avec l'un de ces collègues.

« - Désolé pour ces manière mais Kikyo est flippante quand on ne respecte pas la politesse (dit-il a voix basse).

- ...

- Donc Misa est parti on ne sais ou c'est ça ? (demanda-t-il en reprenant une voix normale).

- Oui

- Bien on va pouvoir discuter alors. Kikyo ?

Kikyo sortit du bureau d'où elle venait de rentrer et regarda vers Asena.

- Oui Mr ?

- Voudrais tu faire du thé pour trois s'il te plait ?

- Bien sur (dit-elle en partant vers une pièce que je supposais être la cuisine).

- Ayato suis moi nous allons dans la salle de réunion se sera plus confortable de discuter là bas. »

Je suivais Asena vers ce qui devait être la salle de réunion, de dos il donnait l'effet d'un leader.

Sûrement l'était-il car quand il parlait on avait l'impression que tout ce qu'il disait était réfléchit et pesé avec justesse.

Quand nous nous installâmes Kikyo vint avec un plateau qu'elle posa sur la table.

Dans lequel se trouvait, trois tasses de thé, une théière ; du sucre et des cuillères a café.

« - Bien nous avons tout ce qui est nécessaire pour tenir lors d'une longue conversation il me semble.

- En effet Mr (approuva-t-elle).

- Je suppose que tu aimerais savoir pourquoi Misa est comme ça avec toi ? n'est ce pas Ayato (demanda Asena d'une vois posé et calme).

- Oui en effet

- Je vais résumer pour que Kikyo comprenne le contexte qui entoure toutes ses questions.

- Pas de problème !

- Bien, quand nous avions 14-15 ans il y a eu des nouveaux dans le lycée ou nous étudions. La rumeur c'est vite propagé dans le lycée de Shadowsprings.

L'un d'eux était Misato et l'autre était Ayato.

Misa était en première, car il avait sauté une classe et Ayato en seconde.

Nous ne savions pas que ces deux là était des jumeau mais nous l'avons su au bout de deux mois et demie de cours.

- Pourquoi ? (demanda Kikyo).

- Il est arrivé quelque chose qui a fait que j'ai cassé ce secret qu'était notre relation fraternelle (dit Ayato).

- Deux mois et demie après l'arrivé de Misato et Ayato, leurs parents ont morts.

- Oh mon dieu ! (s'exclama-t-elle choquée).

Hey Mina !

Un petit résumé de la phrase qui va suivre pour tout expliquer simplement !

- Mitsuru Tetsuya a adopté Misato et Ayato.

Il les a élevé comme ses fils même s'ils sont en fait ses neveux les fils de son frère : Ame Tetsuya qui est leur véritable père.

Et voila j'espère que c'est plus clair pour certains d'entre vous ^^

- Quand nous l'avons appris, nous avons aussi apprit que l'homme que nous croyions notre père ne l'était pas, c'était notre oncle Mitsuru Tetsuya.

Notre père était en faite l'homme que nous croyions être notre oncle, Ame Tetsuya.

Ils étaient jumeaux.

Notre vrai père a voulu nous prendre chez lui, moi j'ai accepté mais pas Misato, il m'a laissé avec notre père et est partit je ne sais ou après (dit-il d'une voix triste).

- Je peux répondre à tes questions dans cette partie-ci.

Après être partit du lycée te laissant avec votre père il est venu chez moi.

Je ne sais pas quand mais je sais que quand je suis rentré du cinéma que j'avais fait avec mes parents je l'ai trouve contre un des murs de ma maison et c'était assez tard.

Je sais que dès que je l'ai vu je me suis précipité pour aller le voir, et qu'il était effondré dans mes bras.

Il était frigorifié, fatigué et il était en larmes...

- Je ne le savais pas...

- Je m'en doute bien tu sais, en deux mois et demi j'ai vite compris que Misa et sa logique dépassait le commun des mortels normal comme nous.

- C'est-à-dire Mr ? (demanda Kikyo).

- Il ne veut pas montrer ses faiblesses aux autres, et ne s'exprime que rarement sur ce qui le tracasse.

- Je ne savais pas cela de Mr le directeur.

- Oh il y a beaucoup de chose que l'on ne sait pas de Misato que je sais

- Et après que tu l'ai trouvé devant chez toi Asena que c'est-il passé ? (demanda-t-il tendu).

- J'aimerais parler de ce qui c'est passé avant moi.

- Avant ? (demanda-t-il surprit).

- Est-ce que pendant la discussion avec votre père une information t'a parut importante ou pas ?

- Euh oui maintenant que tu le dis a un moment mon père a dit que un docteur avait téléphone a mon frère pour lui annoncé la nouvelle.

- Quelle moment tu sais ? (demanda-t-il avec intérêt).

- En début d'après-midi je croix pourquoi ?

- En début d'après-midi il y a dix ans j'ai vu Misa blanc comme un linge dans le couloir devant la salle, il a prétexté avoir vu une araignée dans le couloir et avoir eu peur...

- Misato n'a pas peur des araignée (dit-il en regardant Asena fixement).

- Je sais je l'ai appris après que Misato est soit venu vivre chez nous.

Il avait une grosse araignée des champs dans la cuisine, ma mère est arachnophobe.

Et Misa l'a tue comme ça sans avoir peur, du coup je lui est demande si ça allait et il m'a répondu « bah oui je n'ai peur des araignée As pourquoi ça irait pas ? »

Alors que quelques semaines plus tôt il m'avait affirmé l'inverse.

- Il t'avais menti mais pourquoi ?

- Maintenant je pense que s'il m'a mentit c'était pour cacher le fait qu'il ailles mal.

S'était sûrement le médecin qu'il avait au téléphone, et il a dut lui annoncer la mort de vos parents.

- Mais pourquoi il en ai arrivé à être aussi froid avec moi ?

- Tel que je le connais il a dut s'en vouloir de ne pas pouvoir te protéger lui et puis s'il y a bien une chose de sure c'est qu'il ne s'est toujours pas remis de la mort de vos parents.

- Je sais je l'ai remarqué en parlant avec lui, que malgré ces dix année il ne s'était toujours pas remis de leurs morts.

- ...Il n'est plus lui-même depuis ce jour (dit-il d'une triste voix en se levant et en allant regarder par la fenêtre).

Il n'est plus que l'ombre de lui-même, le Misato que nous avons connu n'existe plus aujourd'hui.

Celui qui avec ce sourire si chaleureux remontait le moral de tout le monde, qui m'a sauvé de la rue et d'une vie de misère n'est plus... (Rajouta-il d'une voix au bord des larmes).

- Asena... (dit-il d'une voix qui reflétait de la peine).

- Mr Asena...

- Je pensais que s'il te rencontrait ou te parlait cela le ferait réagir sur son état actuel.

Etre seul et ne rien exprimé n'est pas bon pour lui.

- C'est pour ça que tu n'étais jamais au dîners commerciaux tu espérais qu'il viendrais me parle.

- Oui j'espérais que ça le changerait de te voir.

Mais il est trop têtu pour se rendre compte que cela l'isole et le détruit petit à petit.

- Tu as veillé sur lui depuis tout ce temps

- Bien sur, je n'accepte pas le fait qu'il se détruise lui-même, même s'il nie faire ça je le vois bien, je ne suis pas aveugle.

Tant qu'il n'acceptera pas la mort de vos parents nous ne retrouveront pas le Misa que l'on adore tous les deux Ayato.

- C'est vrai

- Mr il est 16h30 il ne va pas tarder a revenir de sa promenade.

- Oui Kikyo tu as raison. Et bien Ayato se n'est pas que je veux te mettre à la porte mais tu ferais bien d'être parti avant son retour.

- Oui de toute manière j'ai rendez-vous dans 20 minutes au magasin de robe de marier donc je ferais mieux d'y être à l'heure.

- Ah oui tu vas te marier c'est vrai

- Comment tu as sut je n'ai rien dit encore

- Voyons tu croix qu'une certaines personne ne surveille pas ce que tu fais de temps a autre ?

Il a sut que tu devais te marier avant les média eux-mêmes.

(Dit-il dans un sourire narquois).

- Pourquoi il n'a rien dit alors

- Ce cher Misa, têtu comme il est il attendait que tu lui dises toi.

Il a beau dire que vous n'êtes plus frère, il pense le contraire mais ne veux pas l'admettre.

- Ouais, il faut savoir ce qu'il faut comprendre de ses paroles alors.

- La petite bête ne mort pas la grosse Ayato (dit-il dans un rire).

- La petite bête n'es pas commode parfois (répondit-il a sa remarque en se levant de sa chaise).

Asena, merci d'avoir répondu a mes questions (dit-il en lui tendant une main).

- Mais de rien, même si ce n'est qu'a moitié que j'ai pu te répondre (lui répondit-il en serrant sa main).

- Je vous souhaite une bonne journée à tous les deux (dit en dirigeant vers la porte de la salle de réunion).

- De même Mr Tetsuya

Asena me raccompagna jusqu'à l'ascenseur et attendit avec moi jusqu'à que celui-ci arrive.

Je voyais à son comportement qu'il s'inquiétait pour Misato si sincèrement que cela me peina pour lui de devoir faire ce qui devrait être mon travail en tant que frère.

L'ascenseur arriva et après un regard entendu les deux hommes se séparèrent.

En montant dans celui-ci Ayato se retourna et vit qu'Asena le regardait.

Ayato, dans une parole sans bruit fit une promesse avec Asena. Une promesse qui reliait les deux hommes tant que l'objectif qu'ils s'étaient lancés n'était pas atteint.

30 minutes après le départ d'Ayato, Misato revint de sa promenade.

Quand il fut sorti de l'ascenseur Misato regarda dans le hall et vit Asena discuter avec Kikyo.

Misato n'était pas dupe il savait que son ami en avait profité pour essayé de comprendre pourquoi la relation entre Ayato et lui s'était détérioré.

Misato était heureux que son ami soit venu mais se soudain rapprochement entre lui et Kikyo ne lui plaisait pas.

Asena avait remarqué que l'on l'observait, il regarda qui était la personne qui le fixait.

Il fut surpris de voir Misato le regarder d'un air dérangés, lui et Kikyo a la suite.

Il sourit de son habituel rictus narquois et appela son ami.

« - De retour on dirait

- Oui parfois une bonne promenade ça change les idées Asena

- Tu ne penses pas que tu aurais aussi pu régler le problème pour de bon ?

- Non, pas cette fois en tout cas.

- C'est mieux que l'on parle de ça dans ton bureau (dit Asena d'une voix neutre).

- Si il a besoin d'en parler

- Misa écoute je n'en parlerais pas ici devant tout le monde, donc c'est ou dans ton bureau ou je repars chez moi (dit-il d'une voix qui exprimait une obligation).

- D'accord comme tu veux allons parler dans mon bureau alors dit-il d'une ton obligé).

Les deux amis rentrèrent dans le bureau et se regardèrent.

- Donc que c'est-il passé ? (demanda Asena d'une voix tremblante).

- Ah ton avis, il est venu comme un touriste et je n'ai pas eu le choix que de lui parler.

- Pourquoi es-tu parti ?

- Je ne sais pas As, j'avais peur de lui faire face sûrement.

- Misa je ne comprend pas pourquoi tu te mens a toi-même

- C'est-à-dire me mentir a moi-même ? Explique moi ta pensée !

- Pourquoi avoir fui ? Pourquoi tu continues de te faire du mal comme ça ?

- Ce que je fais ne conserne que moi Asena

- Tu ne comprends pas que je veille sur toi depuis dix années déjà ? Que ça me ait du mal de te voit comme ça (demanda-t-il d'une voix brisée).

Notre amitié compte si peu pour toi, pour que tu ne te rendes donc pas compte que ton comportement nous fait du tort ? (Rajouta-t-il d'une voix blessé).

- Je sais ce que tu fais As, pas besoin de me le rappeler.

Bien su que notre amitié compte...

- Alors pourquoi tu agis comme si tu étais seul ? (demanda-t-il avec colère).

- Je...

- Tu quoi Misato dit moi, parle moi bon sang ! (dit-il en éclatant de colère).

Je crois que je venais de recevoir un éléctro-choque a cet instant précis.

Voir Asena dans cet état montrait bien qu'il s'inquiétait pour moi.

Que cela le blessait de me voir dans cet état, il avait l'air au bord des larmes.

Je ne pouvais oublier mes sentiments mais je savais aussi que notre amitié avait une place importante en moi aussi.

Alors j'ai décidé pour au moins une fois dans ma vie de dévoiler une partie de mes sentiments car s'était le seul moyen de ne pas le perdre pour de bon.

« - Je ne savais pas comment agir...

- Et donc c'est pour que tu as fui c'est ça ?

- As je ne pouvais pas lui faire face, cet instant est arrivé trop tôt.

Je suis désolé si je ne m'exprime pas assez (dit-il d'un ton désolé).

- Il faudra bien qu'un jour tu fasses face Misa, ça arrive a tout le monde de devoir se dévoilé au moins une fois.

- Je sais oui, je ne veux pas te blessé tu sais tu compte énormément pour moi.

- Tu change Misato, je ne sais pas si c'est en bien ou ne mal mais il faut que tu fasses attention a ce qui t'entoure sinon tu risques plus que de me perdre pour de bon.

- Oui je ferais des efforts...merci pour la seconde chance

- Je t'en pris, bon excuse moi mais je vais faire un tour du boulot fait comme cela tu pourras enfin finir le rapport sur THE INDUSTRIES (dit Asena d'un ton pardonnant)

- D'accord. »

Asena sortit de mon bureau et je me remis à lire ledit rapport.

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