Chapitre 2: la rebelle

Dans 236 ans Sur la Terre...

Kayna:



Bureau, oreillette, clavier virtuelle et esprit rebelle, j'étais prête pour mon cour de RAM. Je pris  une grande inspiration pour être prête à supporter ce lonnnngg cour d'une heure.

J'appuyais deux fois sur le gadget ornant mon oreille gauche et une personne qui était en l'occurrence ma prof apparu télévisuellement devant moi. 

-Bonjour à tous chère élèves pour ce cour de reconnaissance d'animaux mutants. c'était la même phrase avant chaque cour et j'avais beau être préparée ça m'énervais toujours autant.  C'était typique d'aujourd'hui, nous avions beau avoir du sang des os de la chaire on ressemblait tous à des robots dirigés par la nouvelle technologie. Enfin on était dirigé par l'Inconnu comme je m'amusais à l'appeler. C'était Cassien mon vieil ami ami qui m'avait appris son existence.  apparemment c'était lui qui nous dirigeait tous! mais personne ne l'avait jamais vu et rare était ceux qui était au courant de son existence.

-mademoiselle Kayna, je vous pris d'écouter. pouvez vous nous faire par de vos pensées qui semble vous accaparer?

-J'étais en train de me dire que les humain étaient devenu des robots dénué de conscience!

-Enfin ne tenais pas de tel propos! Elle rajoute après avoir replacé sa veste, et puis je ne vois pas pourquoi vous dîtes ça!

-Vous ne voyez pas?

-Non fit-elle après une hésitation

-Bonjour à tous chère élèves pour ce cour de Reconnaissance d'Animaux Mutants.  Ça ne vous dit rien? Moi je l'entend tous les mardis à très précisément 10:32, sauf quand je ne me connecte pas.

Elle essaya de paraitre blessé, mais les émotions n'avaient plus leur place dans ce monde, enfin pour bon nombre d'entre nous.  J'écoutais d'une oreilles distraite son cour sur les larpaud mi- lapin mi-crapaud, mais j'avais la tête ailleurs, comme d'habitude.

Je redescendit sur Terre quand j'entendis alors :

-merci à tous de votre écoute et à la semaine prochaine! Kayna pouvez-vous rester connecter si le vous plais?

-bien sûr Mme. Fit-je sarcastique avant de couper la connexion. Comme si j'allai rester une seconde de plus écouter cette prof me réciter un discoure moralisateur qu'elle avait sûrement dû apprendre par cœur. Si ça ne tenais qu'à moi je ne ferai même pas les cours, mais ma mère voulait vraiment que je m'instruise, qui aurait cru que j'écouterais qui que ce soit? Mais ma mère était devenu fragile après... Après l'accident.  Et je savais que c'était déjà assez dur d'avoir une fille qui se rebelle de tout tout le temps. Et puis ma rage avait doublé après l'accident. mais cette fois je n'irais quand même pas dans le cour d'histoire dans cinq minutes, je serais chez Cassien car j'avais plein de question à lui poser. Après mettre sèchement débarrassé de tout objet électronique, encore trop énervée, je franchit le seuil de la maison. 

je courais sur la surface mauve et souple ornant mon continent. Enfin évidemment j'étais la seul à le faire, tout le monde trouvait  ça plus simple de voler. Et oui il préférait claquer deux fois des doigts, ce qui faisait apparaître deux disques ce positionnant au dessus de la tête et en dessous des pieds ce qui les faisait voler. Oui ok c'était drôle et bien plus rapide! mais après tu nous regardai! La moitié de la population est en surpoids et jamais aucun des muscles de notre corps n'est visible! Un jour Cassien m'a parlé des compétitions sportives de l'époque, et tous ces sports qui existaient! Que depuis le fond des temps, tous les quatre ans ils organisaient des Jeux olympique, qui constituait plein d'épreuve de sport! et évidemment il avait fallu qu'on brise cette tradition! Mais maintenant les seuls compétitions qui existent sont virtuelles! Toute sans exception! J'aimerais tellement vivre dans le passé...

je me stoppais alors, je ne reconnaissais pas là où j'étais. Prise dans mes pensée j'avais du me tromper de chemin. Je cherchai des indications pour savoir où je me trouvais et aucune lettre pour me guider ne s'alluma sur le sol, ce quartier paraissait éteint et dénué de vie.

je voulut allumer ma bague, qui évidemment avait une autre fonction plan, elle pouvait tout simplement faire apparaître un plan de la ou j'étais, mais je me rappela que j'avais tout posé avant de venir énervé par le monde d'aujourd'hui. C'était la première fois que je regrettais de ne pas avoir un de mes gadgets sur moi. et j'espère que ce sera la dernière, je détestai me dire que tout ça était utile et qu'on ne pouvait vivre sans. C'est pourquoi j'avais pris la décision de me débrouiller, je me débrouillais toujours.  J'esquissai un demi-tour , si je rempruntais le même chemin qu'à l'allée, je retournerais chez moi. Je disais pour me rassurer et je le savais. Je savais aussi que je n'avais pas couru particulièrement longtemps par rapport à d'habitude, et je n'avais jamais vu la où j'étais. Jamais! Mais bon, qu'est ce que je pouvais faire d'autre? Rien j'avais laissé tout mes objets révolutionnaires chez moi.

tandis que ma marche s'accordait à mon humeur, nerveuse je réfléchissait, ou j'étais? Cette question tournai en boucle dans ma tête sans que la réponse n'ose pointer ne serait ce que le bout de son nez. De plus, malgré toute les ballades avec ma mère et ma curiosité, je n'avais jamais eu vent de ce lieu. Et ça me portais vraiment amalgame.

Je du marcher au moins une bonne heure sans que cela ne porte ses fruits, j'avais emprunté tout les chemins possible et il me ramené tous au même endroit, une espèce de grande place entourée par des maison et de nombreux chemin que j'avais eu la "chance" de visiter. A force je devenais vraiment une petite boule de nerfs et je n'allai pas tarder à exploser. J'avais vraiment besoin de me défouler. Et quoi de mieux que de défier l'autorité.  Il ne semblait y avoir personne ici, ils auront des surprises en rentrant chez eux. Je me souvenais ce qui me disais parfois ma mère ainsi que tout les hommes politiques passant à la télé. C'était deux des règles les plus importantes, et j'allai les briser avec plaisir! Les réseaux auront enfin quelque chose à raconter de ce petit monde parfait! Les deux règles étaient donc: "ne pénètre jamais chez autrui sans son autorisation" et "ne porte jamais la main sur bien d'autrui"

Je me dirigeais vers une maison aux hasard, ça n'avait pas d'importance, je jetai un coup d'œil  par la petite fenêtre ronde n'ayant étonnamment pas de filtre pour garder la chaleur ou inversement, pour vérifier qu'il n'y avait personne. Je cru déceler une petite chaise roulante frémirent, mais ça devait être le vent ou simplement mon imagination. Je revint à la porte et commença à assener de violent coup de pied sur le verrou, la seul partit dur de la porte. Tout le reste était fait d'une matière quasiment incassable sui se tordait autour de ce qui l'appuyais. Je crois qu'il faillai du feu extrêmement puissant et le laissé longtemps pour faire un trou dans la porte et dans le reste de la maison. Je continuer de la frapper avec mon pied, après un énième coup, je pris mes gants de cuivre épais qui me servait normalement pour les plantes, mais qui allai m'être bien utile! Une fois que mon dernier doigt fut rentré en contacte avec l'excellente matière formant ces même gants je me craqua les poignets, avant d'abattre mon poing avec colère sur la fermeture. Je recommença encore et encore, alternant à chaque coup de côtés, puis je repassé au pied, de nouveau au main jusqu'à ce que ce forme des fissures et que ma nervosité et ma rage se déversent en même temps. Puis je recommençais jusqu'à ce que des ampoules se forment sur mes mains. Satisfaite, j'allai chercher un objet pouvant mes servir de massue. 

Je revient environ 5 minutes plus tard avec une espèce de barre en métal qui était fine, dix centimètre plus loin large, puis  dix centimètre plus loin de nouveau fine et ainsi de suit six fois.  c'était pile ce qui me fallait.  je la leva haut au dessus de moi avant de l'abattre violemment ce qui finit d'achever le verrou qui lâcha avec  un bruit sourd étouffé par le bruit strident que provoqua le contacte de fer et métal. Surprise par la force du bruit mon premiers réflexe fut de m'enfuir en courant au lieu de quoi j'ouvris juste silencieusement la porte avent de me glisser à l'intérieure.

La pièce était sombre, étrangement, elle n'était pas aussi spacieuse que les maisons actuelles, et semblait aussi renfermé que le reste de cette étrange village.  Qui de nos jour voudrait habiter ici? Moi peut être, ça ne me dérangerais pas.  Je continuai rapidement la visite, hésitant encore entre à casser le reste de la maison, j'eus rapidement une réponse négative à ma propre question, j'avais pensée à faire ça dans un accès de rage et de stresse, de plus, les habitant de cette mais on ne semblait pas eux non plus ne pas adopter exactement le même mode de vie que le reste de notre planète, la Terre. Enfin bref, je ne fouillai même pas dans les placards, je repéra quelques fruits posés là récemment sûr une étagère m'affirment donc que quelqu'un habitait bien ici.  Alors que j'arpentais un nouveau coin de la pièce, j'aperçus après un petit couloir la chaise roulante que j'avais vu quelque dizaine de minutes auparavant. Je m'y rendis d'un pas décidé, mais une fois arrivé, je ne décela rien de particulier. A moins que... J'observai plus attentivement le mur croyant voire d'étrange fissure, j'essayai de faire le contour avec mon doigt même à distance, quand tout à coup, un léger bruit dans mon dos m'alerta, mais je n'eus le temps que de voir une mèche blonde avant qu'une masse ne s'abatte sur mon crâne. Je cru aussi entendre un petit cri alarmé, ainsi que de voir les fissures bouger. Tandis que je sombrais dans le Néant une accalmie reposant pris possession de mon esprit tandis que mon corps s'écroulait sur le sol.


Et voilà pour le chapitre 2!! J'espère qu'il vous à plu!

Le chapitre 3 risque d'être plus long à poster, car il est plus long, et que je n'ai pas encore finit d'écrire le brouillon.

Alors qu'elle est votre personnage fétiche?

A qu'elle monde accrochez-vous le plus?

A bientôt!

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