Alors ce serait genre un monde où tout le monde s'apprécie. La haine n'existe pas parce que tout le monde à le même genre de goûts, et même quand deux personnages n'aimes pas les mêmes choses, elles ont forcément un point commun qui les rapproche, donc au final : il n'existe aucun conflit, et les mots tel que détester, ennemis ou haine sont inexistants. Et puis, les choses comme la mauvaise humeur aussi : personne n'est désagréable pour les autres. Ils sont toujours aimables est rentrer dans la société, les insultes ont disparut du langage. La violence physique aussi est in-envisageable. En gros, tout le monde s'entend, tout le monde est ami, et tout le monde est gentil et aimable.

Donc l'héroïne vit dans ce monde, elle y est très bien.

Sauf qu'un jour en rentrant de l'école, une personne lui rentre dedans violemment. Elle a le genre de comportement habituelle, elle s'excuse, et l'aide à ramasser ses affaires, mais lui ne se comporte pas de la même manière, il l'a repousse l'insulte reprend ses affaires rageusement et ne fait rien pour elle.

Elle se retrouve toute seul sur le trottoir avec ses affaires disséminées par terre, un peu choquée. C'est la première fois de sa vie qu'elle rencontre quelqu'un avec un comportement désagréable.

Elle rentre finalement chez elle, et se dit que décidément, ce type était bizarre et qu'elle n'a pas envie de le revoir.

Sauf que un mois plus tard quand elle l'avait oublié, elle le retrouve : dans un magasin, il est au rayon conserve, et essaie de voler des trucs.
Elle se retrouve dans une situation extrêmement problématique pour elle : soit le dénoncer et paraître désagréable et méchante à ses yeux, soit le laisser faire, mais ainsi être complice d'une mauvaise action.
Elle décide de tenter de le dissuader, mais c'est limite si il l'insulte pas et elle finit par lui prendre de force son sac et lui payer ses conserves. Déjà elle est étonné de sa propre action, pas d'avoir acheté un truc pour lui, ça c'est normal, c'est d'avoir arraché le sac qui la choque.

Ensuite...
En gros il est odieux avec elle, mais elle veut l'empêcher de voler où de faire des trois illégaux, donc elle le colle. Il finit par fuir son quartier, mais elle le retrouve très facilement.
Il l'agresse toujours très violemment, il l'a gifle même une fois ou des trucs du genre, mais brefs elle est très éprouvée mais s'accroche avec détermination.

Et bon, au bout d'un moment, elle apprend qu'on le choppe en train de piquer un paquet de chips où autre chose, parce qu'il l'appelle au téléphone. C'est la première fois qu'il demande sa présence jusque là il l'a chassait.

Elle vient le chercher et embrouille les mecs en racontant qu'il avait publié son porte-monnaie et qu'il est un peu simple d'esprit.

Après pour faire simple, ils se rapproche un peu, et c'est là que une sorte d'organisation essaie de le kidnapper.

Les révélations tombent : le mec sort d'un institue qui cherche à parfaire le lavage de cerveaux pour créer un peuple unis par les mêmes goûts, les mêmes idéaux, les mêmes pensées : en gros créé une société sans différences, une sorte de "tout" où les individus n'existe plus pour céder place à une unité. Et pour ça, il étudie des spécimens déficients qui sont "asociaux" comme le mec.

Il y a quelques mois, l'héroïne aurait approuvé avec force ce projet mais là, elle trouve ça malsain et elle aide le type à s'enfuir.

La suite est totalement libre. Ils peuvent s'enfuir, changer de pays et trouver des résistants des cultivateurs de différences, ça peut se finir mal avec la mort de l'un d'entre eux ou les deux, ils peuvent infiltrer l'institut pour saboter le projet, bref, il y a le choix.

^^ voilà mon idée, malléable à vos préférences.