Se chapitre sera donc pour Leoniderdiedas. Je préviens c'est mon premier essai dans les histoire d'amour, j'ai pas l'habitude de faire des histoire de ce style. Merci de votre compréhension.

Et encore un de terminé, je n'arrêtais pas, je ne pouvais pas m'empêcher de la peindre, la dessiner. Dés que je dessinais c'était pour la dessiner elle, une jeune femme asiatique aux cheveux noir et aux yeux verts, elle était magnifique. Je ne saurai dire pourquoi elle occupait tant mes pensées, je ne connaissais personne ressemblant à ça, et pourtant elle continuait de hanter mon esprit. Je regarda autour de moi, plus aucune toile sur laquelle peindre, je devais aller en acheter.

J'avais entendu parler d'un vendeur dont les toiles seraient d'une qualité phénoménale. J'allais donc le voir dans son magasin et en regardant autour de moi je ne vis que ça, du matériel de dessin, de peinture, et des toiles partout. J'essayais de me départager, choisir la toile parfaite, quand d'un coup j'en vis une qui sortit du lot, une qui me tapa dans l'oeil. C'était une immense toile faite d'une matière que je n'avais jamais vu auparavant. Je demanda plus de renseignement au vendeur à propos de cette toile, il me répondit juste "cette toile peut être votre plus grand bonheur comme votre pire cauchemar". Je ne compris pas tout de se que me dit se vieil homme mais la texture de cette toile était incroyable, et malgré son prix élevé je l'acheta tout de même.

Une fois rentré chez moi je pris mon pinceau et me mis à peindre. Cela me pris toute la journée mais je la peignis à taille humaine. Une fois mon travail terminé j'admira mon oeuvre, épuisé, avant de m'endormir. Le lendemain, quand je me réveilla, je resta bouche bée. La peinture n'était plus là, il ne restait plus qu'une immense toile vierge. J'essaya de comprendre et ma surprise ne fit que croitre quand je vis, en me retournant, la femme que j'avais peint tant de fois. En la voyant aucun mot ne sortit de ma bouche, je ne comprenais plus rien mais elle était si belle. Je la vis s'approcher doucement, elle parlait d'une voix magnifique mais je n'arrivais a distinguer aucune paroles tant elle m'hypnotisait. Elle approcha son visage du mien, et dit des mots qui furent les seuls que j'eu compris: "viens avec moi". Elle joignit ses lèvres aux miennes, me tirant en arrière, plongeant avec moi dans la toile qui nous absorba. À présent dans mon salon se tenait une unique toile d'un homme embrassant une jeune femme asiatique.

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