Plaisirs


Bonjour tout le monde, bonne année et merci à vous tous de me suivre. Je voulais vous prévenir que ce OS est un lemon détaillé et est donc hautement déconseillé aux personnes sensibles ou trop jeunes. C'est aussi le premier que j'écris, il y a donc beaucoup de défauts, je vous prie d'être indulgents. Encore une fois, je ne veux pas choquer, donc, si vous savez que ce genre de texte ne vous convint pas pour une raison ou une autre, ne lisez pas, merci.



Ca y est, nous étions enfin seuls. Il ferma la porte à clé, d'un mouvement contrôlé et sûr, il se retourna dans ma direction. Ses yeux azur rencontrèrent les miens, émeraudes, ce que j'y vis me fis frémir : du désir à l'état brut. Je notai d'ailleurs que ces prunelles étaient plus foncées que d'habitude, c'était magnifique.

Il s'avança dans ma direction, d'une démarche féline, je déglutis péniblement, il en était presque intimidant. Lorsqu'il se retrouva face à moi, il me détailla longuement, tous les détails de mon visage y passèrent et je me sentis rougir. Finalement, il prit mon visage dans ses mains et posa ses lèvres sur les miennes. Elles étaient si douces et le contact si aérien que je le sentais à peine, c'était merveilleux. Il ne se détacha que trop tôt et enfuie son visage pâle dans ma chevelure. Il inspira longuement mon odeur et dit d'une voix suave :

-Tu n'es pas trop fatiguée, princesse ?

Je souris et ne réagis même pas devant l'énonciation de mon titre princier. Je répondis sur le même ton :

-Non, ne t'inquiètes pas pour moi, je tiens le coup.

Il gloussa dans mes cheveux et lança d'une voix aussi amusée que taquine :

-Tant mieux, parce que je n'ai pas l'intention de te laisser dormir cette nuit.

Ce fut à mon tour de rire, la nuit promettait d'être inoubliable. Ses mains se mêlaient avec ma tignasse noire, les caressant tantôt ou les enroulant. Je plaçai mes mains dans son dos et la massant doucement de long mouvements circulaires. Appréciant ce contact, cette étreinte, pourvu qu'il ne s'arrête jamais, c'était si bon.

A l'aide de sa main droite, il dégagea mon épaule de mes cheveux, d'un geste lent et mesuré. Il m'embrassa à la naissance de ma gorge, un endroit, hyper sensible qui m'envoya des décharges dans tout le corps. Involontairement, un grognement s'échappa d'entre mes lèvres. Je le sentis sourire contre ma peau, tandis qui déposait un deuxième baisé papillon un peu plus loin sur mon épaule. Puis, il me mordilla doucement, sans me faire mal, un contacte juste agréable, je frissonnai de plaisir.

Il remonta à la hauteur de mon visage, ses yeux magnifiques se plongèrent dans les miens, me remuant de l'intérieur. Ses lèvres se plaquèrent sur les miennes, se moulant sur elles, semblant être faites pour moi. Je sentis sa langue sur ma lèvre inférieure, me demandant l'entrée à ma bouche et je l'y autorisai immédiatement. Nos langues se rencontrèrent et se mélangèrent dans un long balais érotique. Quant nous furent tous deux à bout de souffle, nous nous séparèrent, la respiration erratique. Le front de mon chevalier se posa sur miens, nos nez se frôlant et les yeux dans les yeux.

Danaël déposa un rapide baisé sur mes lèvres, pour finalement, en parsemer un peu partout sur mon visage jusqu'à arriver à mon menton. Il descendit le long de mon cou et de ma clavicule, m'envoyant des décharges délicieuses partout. Son regard croisa le miens, comme s'il me demandait l'autorisation d'aller plus loin, j'hochai la tête, l'air serein. Il eut un grand sourire, comme soulagé, les choses sérieuses pouvaient commencer.

Doucement, il me poussa sur le lit. Mon corps atterrit, suivit de celui de mon amant. Il ne me laissa aucun répit, s'attaquant à mes lèvres en un baisé aussi aimant que sensuel. Son regard croisa le miens, brûlant de désir, je déglutis péniblement, mon bas-ventre se crispant délicieusement. Il entreprit de retirer la robe que je portais, un vêtement très simple, parfait pour le voyage. Les bretelles glissèrent de mes épaules dévoilant ma peau nue. Danaël posa sa main aux creux de mes reins afin de retirer mon vêtement. Enfin, je fus presque nue devant ses yeux, ceux-ci parcoururent mon corps et je sentis mes joues s'empourprer. Il ne me restait que mes sous-vêtements en dentelles vertes, très simple. Il demandit :

-Pourquoi as-tu honte ?

Je déglutis difficilement, gêné, ne sachant pas quoi répondre. Le chevalier poursuivit :

-Tu as un très beau corps, princesse.

-Tu vas me mettre mal à l'aise, chevalier.

Il sourit et je me dis qu'il était vraiment beau et encore plus lorsqu'il me regardait avec cette expression et ce sourire. Je me sentais très excité, bien qu'aussi un peu effrayé. Je décidai de prendre les devants et de lui retirer son haut bleu qui allait si bien avec ses prunelles océans. Je me débattis quelques secondes avec les boutons avant que le vêtement laisse dévoiler le corps pâle et musculeux de mon amant. Je retirai complètement le tissus qui tomba un peu plus loin et dévisagea le torse que j'avais devant les yeux. Les entrainements des faucons d'argents l'avaient forgé de la plus délicieuse des manières. Je me rinçai l'œil encore quelques instants, avant de me tirer moi-même de me contemplation, pour m'attaquer à son pantalon. Il s'était redressé pour me facilité la tâche et son bas, ses chaussures et chaussettes eurent vite-fait de rejoindre les autres habits éparpillés sur le sol.

Voilà, nous étions à égalité, j'étais satisfaite. Mes yeux s'attardèrent sur la bosse proéminente bien visible à travers son boxer. Je déglutis difficilement, tentant de caché mon malaise avec un petit sourire maladroit. Nous étions assis face à face, il se pencha vers moi, ses lèvres justes en dessous de mon oreille. Il embrassa ma peau sensible, la léchas et la mordilla, pour finalement murmurer :

-Est-ce que ça va ?

-Ca va très bien !

Ma réponse spontanée ne cacha pas les trémolos de ma voix, il les remarqua et bégaya :

-Tu es ... Est-ce que c'est ...

Je sentis mon cœur se serrer, la question délicate. J'inspirai profondément et répondis d'une voix que je voulais calme et sûr de moi :

-Ma première fois ? La réponse est oui.

Il déglutit avec difficulté, se recula, perdu. Il semblait inquiet, incertain, aux proies à un combat intérieur. Je paniquai. Je ne voulais pas qu'il renonce, j'en avais tellement envie.

-Je ... Je ne savais pas ...

-Non ! S'il te plait, ne me dit pas que tu ne me veux plus ! J'en ai envie, je te le jure, je t'en prie Danaël !

Je le suppliai à présent, au désespoir. J'avais les larmes aux yeux, pantelante de ses caresses. J'étais pathétique, je le savais, mais à cet instant, je n'en n'avais rien à faire. Ses yeux rencontrèrent les miens et j'y lu la peur, l'angoisse, l'inquiétude mais aussi l'envie et le désir, toujours présent. Il dit, aussi désespéré que moi :

-Jadina ... Je ne veux pas te faire de mal ... Je ...

Je m'approchai, entortillant sa chevelure blonde autour de mes doigts et dis :

-S'il te plaît Danaël. Je suis certaine que tout se que tu feras sera parfait. Je t'en prie, ne me laisse pas comme ça, j'en ais trop envie ...

Il se mordit l'intérieur de la bouche, incertain. Au bout de quelques minutes qui semblèrent durer des heures, il reprit possession de mes lèvres, montrant ainsi son accord. Je gémis contre ses lèvres tandis que nos langues se liaient et se déliaient. Je l'entendis grogner lorsque nous nous séparèrent de quelques centimètres à peine nos nez se touchant. Il murmurant :

-Je veux que tu m'arrête si tu as le moindre doute ou quoique ce soit, d'accord, princesse ?

J'hochai la tête presque timidement, heureuse comme jamais. Danaël embrassa ma gorge, descendant jusqu'à mes seins, me faisant frémir. Il dégrafa mon soutien-gorge d'un mouvement fluide et je le retirai prestement, pressée de connaître la suite. Je le vis déglutir à la vue de ma poitrine dénudée, il se mordit les lèvres, il ferma les paupières très fort quelques instants avant de les rouvrir, ses prunelles n'étaient que luxure. Sa bouche fit le tour de mon sein gauche jusqu'au mamelon qu'il prit aspira. Je gémis sourdement, c'était si bon. Il le suçota quelques instants tandis que sa main tournait autour de mon deuxième sein, il pinça légèrement le mamelon. Je me tortillai sur le lit sous la douce torture du chevalier.

Lorsqu'il relâcha ma poitrine au bout de longues minutes délicieuses, je grognai de mécontentement. Je posai mes mains contre son torse bien dessiné, traçant doucement la ligne de ses pectoraux, il bloqua sa respiration. Je descendais doucement, arrivant bientôt à son bas-ventre. J'eus un regard vers l'homme blond que j'aimais tant, il intervint :

-Tu n'es pas obligée !

Je souris et retirai son boxer, dévoilant son sexe érigé. Je ne l'imaginai pas aussi gros. Je me sentis rougir, mais je ne me laissais pas démonter et je le caressai doucement, étonnée de sa douceur. Il grogna, la tête rejetée en arrière, ça semblait lui plaire. Je commençai un léger mouvement, encouragée par les réactions du chevalier. Il m'arrêta pourtant en embrassant ma peau juste au dessus de mon nombril. Je lâchai son sexe et frissonnai. Sa langue descendit le long de mon ventre, laissant une longue trainée brulante. Sa main souleva mes hanches afin d'enlever la seule barrière qui restait entre nous deux. Il embrassa ma toison foncée, je me tortillai encore d'avantage.

Il m'incita à écarter les cuisses, se que je fis volontiers. J'avais soudain très chaud et je sentais mon entre-jambe déjà très humide. Nos respirations étaient bien plus rapides que la normale. Je perdis toute ma raison lorsqu'il écarta mes lèvres et que sa bouche se posa entre. Je ne gémissais trop forts, je faisais un bruit impossible. Lorsque sa langue trouva mon clitoris, je perdis complètement la tête, rien d'autres n'existait à part mon plaisir et cet homme que j'aimais plus que tout. Je gémissais son nom ainsi qu'autres paroles sans aucuns sens, n'étant plus capable d'aligner deux mots. Lorsque sa bouche me quitta, je chougnai cette perte insupportable. Heureusement, elle fut bien vite remplacée par un doigt qui s'enfonça facilement en moi. Un deuxième, puis un troisième le suivirent, caressant doucement mes parois vaginales, je crus devenir folle. Mon entre-jambe était dégoulinant et ne cessait de s'humidifier encore. Je ne savais pas qu'un tel plaisir était possible.

Beaucoup trop tôt à mon goût, il retira ses doigts. Je relevai mon visage vers lui et nos yeux se rencontrèrent, les siens semblaient demander l'autorisation et je m'empressais de la lui donner.

-Jadina ...

-Non, s'il te plait, vient !

Dans ses prunelles, je vis qu'il ne pouvait plus lutter, un abandon total et j'étais heureuse d'en être la cause. Je sentis son sexe contre le miens, nous eûmes un dernier regard l'un pour l'autre et il me pénétra doucement. Les dents serrées, couvert de sueur, le visage crispé dans sa concentration, il m'offrait un spectacle superbe. Je sentis mon vagin s'étirer afin de le recevoir et finalement, que son pénis butta contre mon hymen. Je grimaçai et n'eut pas le temps de me poser de question, qu'il donna un coup de rein violent. La douleur me transperça, des larmes coulaient le long de mes joues. Danaël les embrassa une à une, me rassurant à mi-voix :

-Ca va allez, la douleur ne va pas durer ...

Je déglutis difficilement et l'invitai à bouger, se qu'il fit, toujours le plus doucement possible. Finalement, la douleur disparue au bout d'un temps, remplacé par le plaisir qui montait en moi. Le chevalier, accélérait ses mouvements, jusqu'à me pilonner sauvagement en grognant d'extase. Je me joignais à lui criant son nom ou autres chose sans queue ni tête. Nous atteignîmes le paradis ensemble, hurlant notre jouissance à cieux. Danaël se retira et s'allongea à mes côtés, la respiration sifflante et des étoiles pleins les yeux. Je ne mettais jamais sentis aussi bien de mon existence, c'était merveilleux, la vie ne pouvait pas être plus belle. Lorsque nous nous fûmes calmés, mon amant se pencha sur moi et chuchota, la voix roc :

-Je t'aime, ma princesse ...

Je répondis, tout sourire, les larmes aux yeux :

-Moi aussi, mon chevalier !

Ilcaptura mes lèvres comme pour signerl'accord de nous aimer jusqu'à la fin des temps

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