PDV Momo :

La panique pouvait facilement se lire dans le regard de la blonde. Mon cœur battait a tout rompre, voulant apparemment me transpercer la cage-thoracique.

- T-toga, regarde moi, je suis la.

Ma voix ne parvient pas jusqu'à ses oreilles. Elle devait sûrement faire une petite crise d'angoisse.

Une voix roque résonna dans toute la piece, me fesant au passage frissonner.

- Alors Shigaraki, y a t-il du nouveau ?

Un homme avec une peaux horriblement pâle et abîmé, semblable à celle d'une momie répondit au premier homme capuchonner.

- N'eyez crainte mon roi, j'ai une magnifique pièce à vous présentez aujourd'hui !

Mon roi ?! Mais alors... Je fus couper par le grincement de la porte de ma cellule. Mon cœur se serra.

"Non ! Partez ! N'approchez pas !" Voilà se que j'aurais voulue leur crier à gorge déployer, mais mes cordes vocales étaient durement nouées entre elles.

L'homme dont le visage n'était pas visible, m'agripa avec force le menton et m'examina ne détaille. Il avait une sacrée poingne. Je ne pouvais malheureusement que prendre mon mal en patiente.

- Umh... Elle est correcte...

La femme qui était resté en retrait durant tout ce temps, se pencha vers moi en abaissant la capuche de sa veste.

Elle était ravissante. Ses cheveux argentés descendaient jusqu'à ses épaules et ses yeux gris petillaient comme des diamants.

- Bonjour jeune fille, tu es ravissante. Je souhaiterais te donner un toit et de la nourriture en échange et tes services chez nous. Cela te convient-il ?

J'encra min regard dans le sien. Sa voix est angélique, j'en perds mes mots. De plus, je ne sais pas comment, mais je sais qu'elle ne me veux aucun mal. J'aucha vivement ma tête de haut ne bas, en guise de réponse.

- Parfait ! Enji, elle me plaît énormément. On la prend ?

- Comme tu voudras, mais dépêche toi !

Elle déposa plusieurs pièces d'or dans la main du vendeur. Mon regard se porta sur Toga et je réalisa. Je ne pouvais pas la laisser ici ! Je m'adressa donc à la femme riche.

- Ma reine ?

Je posa mes deux genoux au sol. Mon front et mes paumes de mains ne tardèrent pas à les rejoindre. Je devais à tout prix faire en sorte que ma nouvelle amie vienne avec moi.

- J'implore votre clémence. Par pitié, mon amie a ma gauche est douée, délicate et patiente. Ne la laisse pas groupir en ces lieux. S'il vous plaît...

Je me mordis la lèvre inférieur, pourvu qu'elle accepte. Je pouvais sentir le regard de la blonde me transpercer le dos. Une main rassurante vient se poser sur mon épaule et je releva la tête.

- Comme cela est demander avec tant de gentillesse, je ne peux refuser ta requête.

Toga sourit gaiement à la dame, avant d'à son tour se prosterner en guise de remerciements.

- Merci...

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Alors qu'on était dans le carrosse en direction de la demeure du couplé marié, la femme nous demanda intriguer.

- Puis-je savoir vos noms ?

- Je m'appelle Toga madame !

- Momo votre altesse.

La belle femme me fixa quelques instants, dubitative. Je répliqua rapidement, gênée et sachant déjà pertinemment ses pensées.

- Ce n'est qu'une simple coïncidence...

Elle me sourit, se redressa et s'adressa de nouveau à nous deux avec une voix enjoué.

- Deux magnifiques prénoms ! Oh tient Jr ne me suis même pas présenté, qu'elle impolitesse. Je me nome Rei Todoroki, reine du royaume d'Hertia.

Mes yeux s'ecarquillèrent tellement le choque fut intense. La famille Todoroki, une famille ennemi et j'allais à présent travailler pour eux !

C'est de la pure trahison envers ma famille, mon royaume, mon peuple...

Je déglutis avec difficultés, alors que les yeux de Toga étaient remplis d'étoiles. Elle est si heureuse... La reine nous expliqua d'un têtard plus sérieux.

- Une fois arriver dans le château, Jr vous ferez apporter deux uniforme et ma femme de chambre personnelle vous montrera vos chambres. Vous commencerez à travailler demain aux aurores.

On anches toute les deux positivement la tête. Je reconsentra mon regard sur le paysage qui défilait à travers la fenêtre.

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Nous sommes enfin arrivés au château après deux heures de route. Sa fesait longtemps que je n'avais pas quitter l'enceinte du château de mes parents. Comme le monde est grand et beau...

À suivre...