épilogue 1/2 leur amour.
Dix mois étaient passés comme dix jours, j'essayais de se rendre utile à la hauteur de la fortune que Paul m'avait légué dont je ne méritai aucunement. Je voulais être responsable que je ne l'étais encore quelques mois plutôt, et pour ça j'avais le monopole de mon père. Ainsi qu'une guide indéfectible de Marcel dont la sympathie qu'il démontrait à mon égard depuis la disparition de Paul m'effrayait parfois, il était passé du Mr_j'espère_que tu_saisiras_cette_seconde_chance_pour_y_faire_bon_usage à Mr_je_suis_sûr_que_tu_en_ais_à_la hauteur, j'ai l'impression d'avoir affaire à un piège, mais ce ne sont que mes hallucinations.
Et la main de Rebecca m'a tenu durant tout ce temps, quand j'avais la boule au ventre, la gorge nouée, le coeur serré, les jambes tremblantes, quand j'avais ce sentiment de tout abandonné et d'aller me cacher dans une île au milieu des eaux perdues. Elle apparaissait comme par magie.
Tout commençait par la chaleur de sa peau qui me réchauffait, ses bras m'apportaient de la sécurité et sa voix toujours aussi mielleuse quand mes oreilles obsorbaient ses mots, et là je pourrai me relever avec un sourire aux lèvres, plus fort que jamais pour continuer ce à quoi je me suis lancé comme défis.
Retrouver Franco a été une lourde corvée jamais accomplie, j'ai marché plusieurs jours durant des heures interminables sous le soleil accablant, la sueur dégoulinait sur mon front. Tout ceci à sa recherche. Certaines nuits je les ai passées sous la belle étoile à espérer le retrouver, jusqu'à ce que je me suis rappelé que toute les fois, ce n'était pas moi qui le retrouvais mais c'était toujours lui, puis un bon jour, j'ai décidé d'arrêter de le chercher et commencer à réaliser ces rêves qui ne me laissaient plus dormir.
Un bon après midi, je suis arrivé au cabinet de service à Rebecca, on voulait aller déjeuner ensemble, je patientais vers le bureau de Denise, avec qui nous entamons quelques petites discusions le temps que Rebecca se joint à moi pour s'en aller.
Denise s'arrête aussitôt et pâlit en regardant vers la sortie, elle avait un drôle de regard, un mélange de la crainte et le dégoût. Je me suis permis de voir ce qu'elle regardait. Alors qu'elle a été l'immensité de ma joie. Franco était à l'entrée, cherchant comment passer le seuil en vitre, il tirait n'importe comment sur le poignet. Ouvrir la porte lui paraissait comme une équation du logarithme, le cour qui m'a apporté malheur à l'école, une note pour mon ironie s'il vous plait...xD
Mes lèvres s'étirent à un sourire pendant que je l'observais.
_ mais qui est ce gamin? Que fait-il là? Vous le regardez briser ma porte sans réagir ? S'écria Rebecca d'un air gravement consterné
Elle accourt vite vers la sortie, je me dépêche de la suivre à mon tour. Elle ouvre la porte et tombe nez à nez avec Franco.
Ils se lancent dans un minuscule défi du regard avant que Franco étire ses joues par un sourire en me revoyant.
_ hey poto, mes amis m'ont apprit que tu es devenu trés riche, je suis là pour que tu me donnes ma part, dit-il d'une allure frimeuse
_ c'est qui ce gamin Olivier ? S'interroge-t-elle les yeux grand comme des soucoupes
_ lui c'est Franco, mon ami, ai-je répondu fièrement
_ j'hallucine ! S'exclame a-t-elle d'unton grave. et ton ami Franco, hein Franco?! s'écria-t-elle d'un air de se réveiller en trombe. ne me dis pas que tu comptes te faire assister par lui pour gérer tes affaires !
_ je comptes le prendre pour assistant, oui!
_ attend ! attend ! Mon vieux assistant c'est quoi déjà ?? Me demande-t-il
Rebecca lève désespérément les yeux vers le ciel en soupirant bruyamment son ennuie. Sans dire un mot, elle m'attrape par la chemise et m'entraine à l'intérieur.
_ heo !! vous me laissez ici, que je fasse quoi ? S'interroge-t-il
_ ta gueule ! Ordonne Rebecca en m'emmenant vers son bureau
_ hé hé! Restes dehors! J'ai entendu Denise ordonné
C'était marrant, Rebecca m'a fait une long discours de conscience, elle ne voyait aucun avantage à laisser Franco m'assistait parce qu'il était visiblement pas instruit, et pour mes projets selon elle, il me fallait un assistant experte, cultivée et j'en passe. Je lui ai répondu que j'avais confiance aux capacités de Franco, et que tout le monde mérite d'être évalué par rapport aux actions qu'il pose et non à son apparence, ou son appartenance environnementale.
Malgré mes arguments, Rebecca est resté catégorique, mais je lui ai dit de me laisser s'occuper de ça personnellement, elle m'a boudé quelques secondes avant que mes baisers la ramollissent.
Lorsque nous sommes revenu à la réception, nous avons trouvé Franco sur le canapé, assit en croisant une jambe sur l'autre, son coude contre le bras du canapé et son point soutient son menton, le regard affrontant celui de Denise depuis son bureau qui fusile le pauvre Franco d'un regard méfiant, on dirait elle a affaire à une microbe.
_ en vrai, l'excès de courage de ce gamin m'impressionne ! S'exclame la big bosse.
Toute cette histoire font partie des souvenirs d'il y a quelques mois passés, aujourd'hui Franco est à l'intérieur dans un centre militaire où il passe ses épreuves pour devenir officier, c'est ça son rêve et je ne cesserai d'admirer le courage qu'il a dans ses veines.
Je venais de lui envoyer un courriel par écrit avec un ordinateur portable neuf comme cadeau de Noël. J'ai envoyé à mon père ving-cinq paires de vaches et je lui ai payé la concession à côté de la tienne.
J'ai offert une voiture à Denise, et une autre à Falonne.
•••
J'ai passé quelques heures dans la journée à s'envoyer des textos avec Rebecca. Et ce soir j'ai une surprise pour elle.
Je suis allé au salon de coiffure pour me faire une jolie tête, qu'on recadre ma barbe et passe un coup de ciseau sur mes cheveux. J'ai ensuite enfilé une belle chemise bleu foncé que Rebecca m'a offert le jour de mon anniversaire quelques mois plutôt, j'ai enfilé sous un pantalon noir en tissu bien repassé avec mes air-nike blanc aux pieds, j'assaisonne mon look par deux-trois petits accessoires; un colier au cou, une bague sur mon auriculaire et un rolex au poignet. Je me pulverise de l'eau parfumée. Je décroche la boite qui contient mon cadeau pour Rebecca et m'engage pour chez elle. Actuellement je vis dans la maison de Paul avec Marcel.
J'arrive devant son immeuble, je vois depuis l'extérieur les ampoules allumées dans son appartement, je souris en pensant à comment cette soirée va terminer.
J'arrive devant sa maison, je frappe trois légers coups secs dont le second est moin sonorisant que le premier et le dernier. J'entends ses pas se rapprocher, la serrure tourner et la porte s'ouvrir. Elle ouvre ses yeux de surprise en me voyant, elle se fait avaler dans un gros pantalon de pyjama et un débardeur bleu, des gros babouches aux pieds ainsi qu'un bonnet de nuit à la tête, une canette de soda à la main.
_ Oli? S'exclame-t-elle en utilisant le pseudo dont elle seule a le droit d'utilisation. que fais-tu ici ?
_ je suis venu t'arracher de ta solitude légendaire pour aller dîner au restaurant, dis-je en lui offrant une tige de rose naturelle que j'ai payé avant d'arriver chez elle.
Elle le prend avec sourire, inhale son odeur avec gourmandise.
_ merci, mais tu m'as dit que tu étais épuisé pour sortir ce soir !?
_ c'était un petit mensonge pour ne pas gâcher la surprise, ai-je avoué en lui remettant la boîte que j'avais préparé comme cadeau pour elle. j'aimerai perdre mes yeux toute la soirée quand je te regarderai dans cette robe.
Elle m'invite à entrer à l'intérieur, je reste sur le canapé à l'attendre devant une émission musicale américaine, elle va s'apprêter pour partir.
Vingt minutes plus tard, j'entends le son de ses talons claquer contre le parquet en carreaux de son couloir avant que la porte s'ouvre, je lève mon regard vers elle et je souris en voyant ma pierre de rubis dans toute sa magnificence. Je m'approche d'elle, j'atarde mon regard depuis ses louboutins transparent dont quelques perles argentes ornent la surface en avant, et laisse à découvert ses orteils teintés du blanc. Je remonte mon regard doucement sur ses pieds, ses genoux, je balaie d'un regard ferme ses cuisses nues. Sa robe évasée retrace parfaitement ses courbes, et sa silhouette fine se dessine amplement dans le rouge jusqu'à sa poitrine rebondissant, le col gras carré dévoile sa peau depuis le coup jusqu'au crepuscule de sa poitrine moyennement renfermée.
Je lui fais signe de faire un volte-face dont elle obtempère docilement, le dos-nu aux fils de ceintures fine croisés dévoile majestueusement sa peau du dos soignée, c'est magnifique.
_ regarde-moi ! Ai-je ordonné d'une voix enroué et à la fois douce.
Elle se retourne pour me faire face, les joues empourprées d'une émotion dont j'interprèterai du désir, je glisse un sourire pour récompense à sa conduite docile.
Sa mise en beauté est provocante avec ses lèvres rouges que j'ai envie de dévorer sur le champs. Ses cheveux sont tous rapatriés dans un chignon ouvert, dont les restes de cheveux sont roulés sur les autres avec quelques perles blanches pour embellir le résultat. Son visage ovale et ses coins carrés sont fidèles aménager. Je vole quelques mèches soigneusement dans ce modèle pour les laisser se rebeller sur son visage de deux côtés.
_ j'aime quand tes cheveux s'alignent devant ton regard, elle me sourit comme réponse. tu es magnifique comme jamais !
_ merci mon amour! Me répond-elle
_ allons-y vite avant que je change d'avis et que je te croque comme une pomme rouge dans toutes les pièces de cette maison.
Elle geint comme une gamine avant de glousser sous sa main couvrant sa bouche.
•••
Je me suis souvenue qu'il restait le épilogue pour conclure cette histoire, entant donné que c'est long, j'ai décidé de le diviser à deux.
Alors qu'est-ce que vous en pensez?
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Allez, bisou 😘
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