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Ça faisait deux jours depuis que je m'étais faite renvoyé. avec l'argent que j'avais reçu de la part de Rebecca, je m'étais mit à vendre des bouteilles d'eaux en ambulant dans les rues populaires, au marché, etc... Parfois je déambulai autour des reunions mortuaires, souvent là où il y a concentration de la population.

Le soir en rentrant, le gérant de l'hôtel m'a informé que je devrais quitter car mon séjour était fini. Je lui ai proposé de renouveler le contrat, mais il m'a dit qu'il n'y avait plus de place, ma chambre a été donnée à une autre personne. Il avait déjà entasser mes affaires dans un sac à plastique pour me les donner à mon arrivé.

Au final, je crois que je suis devenu un SDF, il faisait très froid le soir à l'extérieur, le vent virevoltait en faisant danser brutalement les arbres, le ciel bâillait... La pluie n'était pas si loin qu'à quelques pas de tomber...

J'ai décidé d'aller dans un bar en face de l'hôtel où je logeai, pendant la journée je partais y manger, vu qu'on tient aussi un restaurant populaire.

Le bar est monté des planches et des tôles qu'on a aménagé en forme d'une bicoque, la porte principale est grandement ouverte mais un papier peint imitant l'image d'une pelouse verte découpé fait une sorte de rideau. La pièce est généralement couverte d'une lumière jaune à l'aide des ampoules suspendues vers le toit. Tout au fond en face de l'entrée, se tient un large bar avec des tabourets en bois faisant la ronde de celui-ci, derrière lui, un homme baraqué en tablier rouge, semble jouer le rôle du barman, à ma gauche au fond se tient un petit podium faite en bois et couvert d'un tapis en pelouse synthétique, pour y parvenir; il faut monter trois marches d'escalier. Sur le podium se tient un kit complet de la batterie, une guitare, tout devant; un micro accroché à son support. Devant le fameux podium les tables à quatre places entourent l'espace, et à ma droite au fond, se trouve une table de billard qui est éclairé par des ampoules LED, cette partie semble plus lumineuse que le reste de la pièce. Tout autour de la table du billard règne des tables similaires à celles qui sont à gauche.

Il est vingt heures à peine quand j'ai consulté le nouveau téléphone itel701 que j'ai payé à seize milles francs avant hier.

Le bar est déjà quasi-plein, la musique est à fond sous les tubes des années quatre-vingts, sur la table du billard, plusieurs jeunes sont entassés autour du jeu qui apparemment se joue avec l'argent, non loin d'eux dans une table; trois vieillards jouent également aux cartes d'argent avec leurs bouteilles de bière à la maison. Le podium est vide, tout autour, les tables sont remplies par des duos d'hommes et femmes entrain de flirter avec leurs bouteilles de bière devant.

En face du barman se trouve quelques têtes solitaires assisent sur les tabourets entrain de consommer en solo. Je trotte et me prend un tabouret vide après avoir déposer mon bagage aux pieds du tabouret. Je patiente quelques minutes que le serveur finisse de servir les autres avant qu'il vienne vers moi.

_ hey! Bro, des soucis à plonger ? J'ai un mélange de guégué et banana, tu peux dormir debout ! Me propose-t-il avec un air ironique

_ j'aimerai bien, mais je commence d'abord avec une bouteille de turbo... Commandé-je

_ moi aussi je vais prendre une bouteille de turbo pour commencer, dis une voix à côté de moi

Je tourne mon regard, et il est là, un sourire malicieux dansant au bout de ses lèvres, je fronce mes sourcils n'en revenant pas qu'il soit là...

_ attend! Ne me dis pas que tu m'avais quand même suivi ?? Ai-je interrogé stupéfait

_ tu connais ce gamin mon vieux ? Me demande le barman

J'acquiesce d'un hochement de tête le regard braqué sur ce gamin qui se tient à mes côtés, il ne me semble pas intimidé, comme s'il a l'habitude de ces genres d'endroits. Il laisse pavaner son regard vers toutes les directions possibles avant de ramener son attention vers moi, après vers le barman, il fronce ensuite les sourcils...

_ deux turbo mon vieux, tu n'as pas entendu, t'es sourd ? Interroge-t-il un sourcils haussé et un air amusé danse sur ses lèvres

_ deux turbo, t'es d'accord ? Me demande le barman d'un air confus

_ non! C'est un gamin, il va prendre un fanta ou un vitalo, moi tu m'apportes le turbo. Dis-je

Le mec se retourne immédiatement sans apprêter l'attention aux protestations du gamin.

_ non non non! Je prendrai pas le sucré, je vais une bière... Boude-t-il

_ tu es mineur, tu n'as pas l'âge pour boire. Réponds-je

_ qui t'a dit même que j'ai pas l'âge pour boire? Ou parce que tu penses que j'ai jamais bu de ma vie? J'ai personne pour m'interdir quoique ce soit, alors je fais ce que je veux et je me moque des risques, sérieusement je vais prendre cette bière avec toi, s'il te plait ! Ça serait comme ton excuse après des choses que tu m'as dite l'autre fois quand tu étais fâché...

_ et qu'est-ce qui te dit que j'ai envie de m'excuser ?

Il déglutit et me lance un regard noir avant de rapporter son attention vers la table du billard qui actuellement domine le bar au niveau ambiance.

_ hun hun!! Je m'éclaircis la gorge. _ comment tu m'as retrouvé ? Tu m'avais quand même suivi ce jour-là ?

Il me lance un regard sombre et détourne à nouveau son regard vers la direction où les bourdonnements se font intense.

_ hey! gamin malpoli, je te parle! Reponds-moi, sinon même le sucré en question tu ne l'auras pas!

_ crois-tu vraiment que je vais boire ton sucré? Jamais! Répond-il

Je racle ma gorge, le coeur bouillonnant de curiosité.

_ et si je t'offre une bouteille de turbo, tu vas me répondre ?

_ qu'est-ce que ça peut bien te faire?? ... Mais oui! Je vais te répondre, dit-il en me sortant son plus beau sourire

Quand le barman est revenu avec les commandes, je lui ai demandé s'il pouvait donner une bière à ce gamin, il a dit qu'il peut donner une bière même à un nourrisson si jamais il osait la lui demander. Cet ainsi qu'il a échangé la bouteille de fanta par une de turbo.

Le barman décapsule la bouteille du gamin, et ce dernier prend une profonde gorgée de la bière avant de déposer une bouteille à moitié pleine sur la table.

_ ne penses même pas que t'auras droit à une bouteille de plus! Ai-je prévenu, il lève son auriculaire vers le ciel en me souriant.

Je siffle d'agacement en insultant l'univers d'avoir ramené ce gosse à nouveau sur mon chemin.

_ arrêtes de sourire comme un idiot, et répond à ma question, dis-je impatient

Il lève un sourcils vers moi et colle ses lèvres à sa bière durant plusieurs secondes avant de reposer la bouteille cérémonieusement.

_ c'était déjà quoi ta question ? Me demande-t-il avec un air de rien

_ c'est une blague ?

Il hoche négativement sa tête avant d'ajouter :

_ j'ai la mémoire d'un poisson rouge, il prend encore une gorgée de sa bière

_ comment tu m'as retrouvé ici ?

_ simple coïncidence, je venais prendre un verre de guégué pour calmer les esprits des ancêtres, et je t'ai vu, explique-t-il d'un air impassible avant d'ingurgiter une autre gorgée de sa bière

_ tu mens, tu m'as suivi...

_ tu aurais aimé que je te suive après que tu m'ais traité de voleur ? Demande-t-il en arquant harmonieusement un sourcils après l'autre

_ je ne t'ai pas traité, j'ai dit la vérité, me suis-je défendu

_ voilà pourquoi je ne t'en veux pas parce que je sais que je le suis. Avoue-t-il en prenant encore une profonde gorgée de sa bière.

Je fronce les sourcils en réalisant que malgré qu'il boive régulièrement sa bière, elle ne se vide pas. Je pose mon regard sur la table devant moi, et je suis surprise d'apercevoir une bouteille vide devant moi, et une autre bouteille presque vide de trois quart devant lui, alors que je n'ai mit une seule fois ma bière dans la bouche.

_ la curiosité est un vilain défaut ! Cite-t-il en terminant le reste de la bière dans la bouteille devant lui.

Je le regarde surpris par son acte, je ne sais même pas s'il faut que je me fâche ou que je rigole, je lui lance un regard sombre qui semble lui amusé, j'ai envie de lui foutre un point dans la gueule, juste pour voir son sourire disparaître mais je ne peux pas déformer ce beau visage.

_ qu'est-ce que je peux même faire avec toi ? M'exclamé-je en prenant ma tête entre mes mains soutenues par mes coudes qui sont posés sur la table

_ tu peux discuter avec moi, par exemple. En plus depuis la dernière fois où tu m'as jeté ta furie au visage, est-ce que tu as même eu une discussion avec qui que ce soit ? Si tu viens boire dans ce bar, c'est sûrement pour t'échapper à tes soucis, mais la bière ne résout jamais rien, les problèmes ont les affronte, si tu m'avais écouté et que tu étais partie parler à cette nana, peut-être là tu allais déjà récupérer ton job, mais comme tu es une tête de mule, tu ne fais rien, tu restes là à s'apitoyer sur ton sors devant une bière comme si demain matin tu seras réveillé dans une palace à l'aide d'un bâton magique de la grand-mère de Cendrillon et pour le reste de ta vie, tu vivras une vie princière, non! Tu vivras que ce que tu mérite et ce que tu mérites est le résultat des efforts que tu fournis....

Je relève ma tête pour voir de très près la tronche du gamin qui me donne ces conseils, je n'en reviens pas...

_ es-tu sûr que t'es vraiment un SDF ? ou t'es un ange déguisé en un gamin que Dieu m'a envoyé ??

Il s'esclaffe d'un rire interminable qui me laisse le temps de l'observer, pourquoi vit-il dans la rue? Qui sont ses parents ? Où sont-ils ? Sont-ils vivants? Ou mort? Est-il instruit ? Du moins pour quelques années, parce qu'il est tellement intelligent pour un gosse de la rue...

_ où sont tes parents ? Demandé-je une fois qu'il a finit de rire

Son sourire perd lentement son efficacité pour laisser un air à la fois confus et impassible peindre son visage..

_ mon père s'est remarié avec une femme après la mort de ma mère, avec sa femme ils sont parti vivre au Gabon, je restais dans la famille de mon père où on me maltraitait, j'ai fui car je ne supportai pas cette misère, bref; il ne s'agit pas de moi ici, mais de toi, tu devrais rencontrer ta patronne et lui supplier de te donner une seconde chance...

_ et si elle refuse ?

_ à moins qu'elle trouve ton remplaçant, sinon, elle ne va pas refuser...

_ apparemment tu as l'air de t'y connaître hein! Mais ici on parle de Rebecca Mbelu, cette fille est un vrai béton...

_ dans ce cas tu es une grenade, dés que tu exploses sur elle, et se brise et devient vulnérable.

À présent je n'ai plus de mot, je fais un geste imprudent et le sac à plastique contenant mes quelques affaires se retourne au sol et quelques trucs y sortent, je voulais arranger, mais le gosse se précipite pour le faire à ma place, il s'accroupit et remet le tout en ordre avant de relever sa tête et m'exhiber le fameux livre que Paul m'avait prêté pour lire la fin " le dernier tango à paris "

_ c'est pour toi ça ? Me demande-t-il

_ non! C'est le client de Rebecca; le vieux pour qui je bossai qui m'avait prêté ça pour lire la fin, c'est d'ailleurs en lisant ça que je me suis endormi en retard et réveillé tard, à la fin tu connais ce qui s'est passé... Bref, il fallait même que je rende le livre à son proprio, je n'ai plus la carte d'accès de la concession où il vit, je ne peux pas le lui remettre...

Lorsque j'ai fini de parler, je vois ses yeux s'illuminer et son sourire s'élargir...

_ quoi? Fis-je impassible

_ tu peux profiter du livre pour rencontrer Rebecca, tu iras vers elle sous prétexte que tu veux rendre le livre que le vieux t'a prêté et tu profites pour lui demander une seconde chance...explique-t-il

_ non! Le prétexte du livre n'est pas suffisant pour qu'elle accepte de me rencontrer, elle va dire à cette tâche rouge de Denise de prendre le livre et me mettre à la porte... Dis-je

_ hmmmm! Fit-il mine de réfléchir_ dans ce cas on va écrire une lettre avec ton numéro téléphonique et le placer dedans, demain matin tu iras te présenter là bas pour rendre le livre et même si tu tombe sur cette encre rouge de Denise, tu rends le livre et tu t'en vas, quand Rebecca ouvrira le livre, elle trouvera ta lettre...

_ si elle ne l'ouvre pas et à la place c'est Denise qui l'ouvre et décide de cacher la lettre à Rebecca ? Demandé-je

_ si cette Denise fait ça, je lui enverrai mes potes pour la frapper quand elle rentre chez elle, et d'ailleurs c'est qui cette Denise ??

_ Denise, c'est la secrétaire de Rebecca, elle ne m'aime pas, expliqué-je

_ Dans ce cas je ne l'aime pas moi non plus ! Me dit-il

_ ça me surprendrait si tu maintiens ta décision quand tu l'auras rencontré, elle est trop mignonne, mais ne t'en fais pas, moi aussi je ne l'apprécie pas, voilà pourquoi je ne risquerai pas d'aller encore frapper à cette porte pour la croiser, j'écrirai la fameuse lettre comme tu dis, seulement je vais aller tard le soir lorsqu'elles ne seront plus là pour le glisser sous la porte, avec plus de chance Rebecca tombera sur ça, sinon... Tant pis!

Le petit aux cheveux bouclés fait la ronde des tables à la recherche d'un stylo et une feuille qu'il finit par trouver auprès d'un étudiant qui est venu boire en compagnie de ses amis, c'est ainsi qu'avec son aide nous nous sommes mit à écrire la lettre tout en discutant du comment doit être la forme et de quels termes à employer ou pas, à la fin nous avons pu rédiger cette lettre.

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Sans objet!

Salut Rebecca,

Cette lettre vient de moi ; Ntambwe Olivier, je suis désolé encore pour ce qui s'est passé, j'aurai aimé mieux faire des choses mais je n'en suis pas capable, je me suis persuadé de cela depuis un moment, mais ça n'est pas ton problème.

Je voulais te parvenir ce petit livre pour lequel j'ai eu à me reveiller tard ce jour-là, parce que je l'ai lu jusqu'à trois heures du matin enfin de parvenir à Paul ma critique. Donc cet petit livre appartient à Paul. Je l'avais oublié jusqu'à ce jour. J'aurai voulu me rendre chez lui pour le lui rendre mais c'est impossible, tu sais..

Alors, j'espérais que je pourrai passer par toi pour le lui ramener. Merci! Et bonne continuation!!!
Et aussi ma chère Rebecca, j'aimerai avoir une dernière discussion tête à tête avec toi, et je t'en supplie de ne pas me la refuser, je glisse mon numéro avec espoir que tu me rappelles pour fixer rendez-vous.___ 0800-☆☆☆-☆☆☆
Ps: si je ne pourrais pas faire des bonnes choses, je peux au moins écrire des belles lettres, ça c'est pour Paul.

Olivier Ntambwe, février 2021

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À la fin, je glisse le papier à la première page du livre,

_ j'irai vers vingt-deux heures le glisser sous la porte de sa boîte, comme ça demain matin, elle le trouvera.

_ je vais t'accompagner pour s'assurer que tu le fasses réellement, en attendant on peut commander encore deux bouteilles de turbo, t'en dis quoi?

_ et si à la place on prenait deux verres de vin ? Proposé-je avec un sourire malicieux

_ c'est encore mieux! M'encourage-t-il

Le barman nous apporte deux verres de J.C.Le ROUX, l'un des vins les plus coûteux du bar, et c'est apaisant contre la gorge.

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Dans la soirée, le centre-ville porte les couleurs d'un cirque, les lampadaires sur les chaussées portent encore des jeux de lumières décorés pendant les festivités, _ m'a annoncé le gamin_ les immeubles semblent encore plus magnifiques, plus attirant... La circulation est moins dense à cette heure et laisse suffisamment d'espace aux rues de ressentir cette brise virevolter dans ses sentiers, nous annonçant encore une fois de plus qu'une pluie s'apprête à descendre.

Lorsque je suis arrivé devant la porte, j'ai constaté que les ampoules étaient allumées à l'intérieur, une silhouette semble faire des cent pas à l'intérieur.

_ je crois qu'il y a quelqu'un à l'intérieur, ai-je susurré à mon compagnon de route.

_ moi aussi je crois! Me répond-il de la même voix _ vas-y glisse le livre qu'on se sauve, ajoute-t-il

Je trotte d'un pas mesuré comme un chat devant sa proie, les éclairs font des spectacles dans le ciel en rendant la situation comme un film d'horreur où les gentils s'apprêtent à s'aventurer dans un labyrinthe hanté.

Le moment où je m'accroupis pour glisser le livre, la porte s'ouvre simultanément, j'aperçois les jambes couvertes d'un bas de pyjama, et je tourne la tête et je suis surprise de constater que le gamin a prit la poudre d'escampette. Quel lâche ! _ ai-je pensé.

Je me relève cérémonieusement avant de poser le regard sur une Rebecca au visage à la fois perturbé et étonné qui a déjà du regard sur moi.

_ hun hun ! Elle s'éclaircit la gorge en passant le revers de sa main pour essuyer son visage.

_ hemmm! Je... je... Balbutié-je ne sachant pas quoi dire... _ je lève le livre en l'air pour qu'elle l'aperçoive. _ c'... c'est livre appartient à Paul, il m'en avait prêté pour que je lise la fin, hemm... C'est pour le lui rendre, je voulais juste glisser ça sous la porte pour que tu le retrouves demain, je.. je ne pensai pas te retrouver encore ici à cette heure de la soirée, en plus, tout ça c'était son idée à..... Je m'arrête en se rendant compte que jusque là je ne connaissai pas comment il s'appelait _ c'était l'idée du gamin... Dis-je en me rattrapant, _ il a fui... Ai-je fini essoufflé..

Rebecca n'est dit rien, et me retire juste le livre de la main avant qu'un violent éclair se dessine au ciel suivit d'un coup intense de tonnerre. Tout d'un coup la pluie commence à s'abattre.

Je cours vite prendre le sac à plastique contenant mes affaires que le gamin a abandonné en s'enfuyant. Je ferme une poignée contre l'ouverture du sac pour que l'eau de la pluie n'y entre pas et le place sous mon bras avant de prendre la route sous la pluie réfléchissant sur l'endroit où je vais m'abriter.

DEAP, ici marque la fin de la deuxième partie du quatrième chapitre, je me soumets à vos impressions, votes et partages pour m'encourager à continuer cette aventure, j'aimerai tout autant soumettre cette histoire aux wattys de cette année, bisous!😘 à la prochaine !!!