Terminé : non mdr

Contexte : je comprends rien à ce que j'ai écrit, putain... Bon bah, je peux pas trop vous aider, mdr.

PS : C'est très très très court et je ne sais plus ce que j'avais derrière la tête. Par contre mdr le petit mot de l'autrice au début, je me moque de moi-même, c'est fou...

Ce sera à la fois sérieux et décontracté, très contrasté entre les deux, je sais, mais je n'ai rien trouvé de mieux, et ça m'inspirait, étrangement. Attendez-vous à de grands décalages et des bonds dans le passé, chers lecteurs imaginaires, c'est peut-être l'histoire la plus sérieuse et la plus touchante que j'arrivais à écrire toujours dans le délire de la fanfiction.

Chapitre 1

20 avril 2017

Je me suis tourné vers le chef. Il était grand, il me faisait presque peur, avec son pseudo-sourire et ce calme apparent qu'il émanait autour de lui. Une boule s'est formée dans mon ventre quand je me suis retourné vers Sabito et Makomo, eux avaient un grand sourire aux lèvres, et se tenaient par les épaules, fiers de moi. Comment j'allais survivre sans eux ? Dans ce monde de tarés. J'ai regardé les autres Piliers, trois filles, sept garçons, un ado, un homme ultra mature et très imposant, de tous les âges.

-Notre première réunion a eu lieu dans quelques minutes, je vous laisse faire vos au revoirs à vos proches.

Pourquoi j'étais Pilier déjà ? Bonne question. J'ai foncé vers mes deux meilleurs amis à grands pas, et nous avons fait un câlin collectif.

-Je ne veux pas partir, ai-je lâché en soupirant.

-On sait, a marmonné Makomo en se détachant, mais tu vas t'amuser, tu vas voir, ça va être top.

-Tu me dis ça comme si je partais en colonie de vacances.

-Bah, c'est la même chose, en moins reposant.

Je n'avais pas eu d'autres amis proches dans ma vie, ils étaient comme un frère et une soeur, ils étaient tout pour moi, et je les abandonnais. Coupable, bouleversé, contraint, je me suis retourné, le vide dans ma tête, et j'ai marché d'un pas très strict vers les autres Piliers qui semblaient beaucoup plus heureux que moi, à part peut-être l'ado qui observait le ciel avec un visage impassible.

Bref, ma nouvelle vie commençait.