𝐋𝐄𝐓𝐓𝐑𝐄 𝐗𝐗

A celle qui aura trouver toutes les étapes pour enfin arriver à ma lettre, si vous voulez un fichier pdf/word/ect, veuillez me renvoyez un mail à la même adresse qui vous a contacter :)

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LETTRE XX

L'ETUDIANTE CHARLOTTE A LA PRÉCEPTRICE XX

(Tout le contenue de cette lettre est fausse, seulement destinée à un devoir fait avec le plus grand soin, accompagnée seulement avec la sincère pointe de créativité et d'imagination de la modeste plume qui vous écrit.)

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Très chère Professeure, vous n'en reviendrez même pas de se que j'ai appris. En ce jour, j'ai pris connaissance d'une chose bien particulière qui vous fera vous tordre de rire. Vous aussi, vous connaissez très bien le couple Anaé et de Raphaël. Un duo que je trouve plutôt déplaisant à observer en pleine classe, tout le temps. De plus, j'observe Raphaël depuis peu, Anaé étant une jeune fille appréciable, je ne veux point qu'elle sois blessé par un être que je trouve bien rustre envers les autres. Enfin, qui suis-je pour juger si durement, je n'ai encore que très peu de connaissance puisque je ne suis que dans ses lieux depuis quelques mois. Il en faut peu pour créer chez les gens un jugement et j'en fait bien les frais de cette expérience, un peu trop souvent à mon goût. Peut-être que ma vision est faussée, qu'Anaé n'est qu'une vipère cachée, crachant son venin dans l'ombre et Raphaël un bon petit agneau qui ne fait que suivre le groupe. Même en disant cela, je ne change point d'avis sur Raphaël, je le trouve toujours aussi stupidement sans cervelle. Est-il même possible de mépriser une personne en ne la connaissant que depuis quelques semaines comme je le fais ? Je vous laisse méditer dessus, malgré que j'ai connaissance du fait que vous détestez quand je note mes questions existentielles dans nos lettres. Pourtant, vous répondez toujours avec un sérieux et une rigueur que je n'ai que très peu observé dans ma modeste vie.

Je m'égare tellement pendant que je vous écrit cette lettre, démontrant tel mes émotions sont bouleversés à propos des faits que je vous rapporte aujourd'hui. Cependant, il le faut bien pour rajouter du suspens, pour justement vous donner l'envie de connaître ce secret enfoui au sein de la classe de jeunes gens où je me fond correctement. L'histoire est ridicule mais bel et bien énervant à prononcer.

Je pense que vous visualisez très bien le couple que j'ai cité plus tôt. Un drame s'est passé qui fait que ces derniers sont en conflit. L'ambiance de classe est tendu, se que je trouve encore plus ridicule que le récit que je m'apprête de vous crayonner. Une fille au nom d'Olivia ne cesse de charmer Raphaël, sous le regard de furie d'Anaé. La séduction d'Olivia n'en finit point, qui donne lieu à des situations bien embarrassantes. Ces protagonistes ne cessent de m'embêter dans mes lectures, une dispute éclatant en pleine classe ne m'arrange pas dans mes études. Je pense que vous comprenez bien cela, chère professeur, vous-même qui m'a ramener la gourmandise des connaissances. Revenons au sujet fâcheux, voulez vous ?

Olivia est belle, au visage juvénile mais donne une impression d'une certaine maturité, ses formes sont en finition de développement et elle a tout d'aguichant. Raphaël a tout pour être séduit par cette dernière. Mais je n'approuve toujours pas qu'il l'est eu ! Il sort avec la mignonne Anaé ! L'adorable fille est si triste et pleure sur mon épaule, j'ai de la peine pour elle. Je ne sais point pourquoi je suis la seule à qui la magnifique s'est confié mais son chagrin le déstabilise. Elle est si joli, brillante et sa personnalité est tout autant ravissante que les courbes d'Olivia. Je maudit le rustre porc qu'est son amant, je me sens impliquée par la souffrance de l'innocente Anaé. Je maudit la succube Olivia, les larmes délicieuses d'Anaé ne peuvent être verser pour eux. Le concubinage n'est connu que par nous quatre, moi qui n'est rien à voir avec leur histoire, qui n'est qu'un personnage secondaire, tout me déboussole. Mes émotions de colère et le goût de l'amertume se bousculent dans ma tête, la migraine qui me dévore rapidement tel le pourriture rampant sous la peau des lépreux.

Professeure, je me sens étrange en ce moment. Ne serais-ce que la belle Anaé qui se confie chez moi qui me chamboule jusqu'au plus profond de mon être : mais pourquoi ne puis-je conserver mon esprit neutre que j'ai pris tant de temps à former. Je ne sais point pourquoi je me lamente dans cette lettre, mon âme est ébranlé par une affection pour la pure et mon bon sens est déboussolé. Je me retrouve changer par des sentiments étranges et j'ai bel et bien peur de la passion, vous qui me disiez que c'était incroyable, vous qui me disiez que l'amour est merveilleux, j'en suis effrayé jusqu'au plus profond de mon noyau.

Professeure, pouvez-vous me rassurer avec vos mots, comme la mère que je n'ai jamais eu ? Professeure, pouvez-vous me consoler de mes maux, comme l'exemple que vous avez toujours été ? Professeure, pouvez-vous me guérir de la flamme qui me brûle, pour me transformer à nouveau comme le robot que je suis. Je souffre et je ne veux point de cupidon, s'il vous plaît, aidez votre jeune élève avec vos lettres. S'il vous plaît, ne me laissez pas me noyer dans le tendre goût de cette ivresse...

Paris, ce 27 octobre 20**

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