51: The Undertaker's daughter
Pdv de Finnian
J'ai cherché Alice dans tout Londres et autant dire que la vision des malades de la peste était absolument horrible et me donnait envie de vomir.
Je suis rentré bredouille le soir même avec une forte sensation de démangeaisons a la cheville gauche. J'ai du être piqué par un moustique...
Pdv d'Undertaker
Et encore un cadavre... plus que...
- Deux... quatre... huit... douze... seize... vingt... j'en ai maaaaaarre...
Soudain je sens une brûlure sur ma main. Je la regarde.
- Une puce ? Lâche moi sale bestiole...
Attendez... non... il faut que j'en ai le coeur net.
J'ouvre tout les cercueils et regarde les corps sous toutes leurs formes.
- C'est bien ce que je craignais... la peste est provoquée par ces saloperies de puces. Heureusement que je suis immunisé étant un shinigami. Mais il va falloir que j'avertisse la population... a commencer par cette poule mouillée de Faustus.
Je me rend jusqu'au manoir en mettant en pause mes activités macabres. Je frappe, Sebastian m'ouvre.
- Bonjour Undertaker... soupira t'il. J'espère que tu as des informations... Claude refuse catégoriquement de mettre un pied dehors et Finnian n'en peux plus de sillonner Londres en vain...
- A vrai dire c'est sur la peste que j'ai des infos... J'ai découvert la cause de cette maladie ! Les puces ! Tout mes clients ont une ou plusieurs piqûres de puce !
- Tu crois vraiment que c'est ça ?
- Ouais ! J'en suis même persuadé !
- Tu entend Claude !?
- Dans ce cas va faire traiter Sky ! Et tout tes autres chats !!! Cria t'il depuis la chambre.
- C'est les puces des rats poule mouillée !!! Hurlais-je en retour. Avec tout les chats que vous avez ca ne devrait pas poser de problème.
Le jardinier arriva.
- Ah ? Bonjour !
- Salut gamin...
Je remarque qu'il s'abaisse pour gratter sa cheville.
- Ça va Finny ? Demanda Sebastian.
- Oui oui ! Une petite piqûre d'insecte !
- Je peux voire ? Demandais-je.
Je n"attend pas la réponse et soulève la jambe de son pentalon. Je me lève avec un air grave. Sa cheville est recouverte de plusieurs ganglions pâles et dégoûtant. Je met ma main sur son front. Il a de la fièvre... Le maître des lieux me regarde inquiet.
- Qu'est ce que ça signifie Undertaker !?
- Ça signifie... qu'Hannah va avoir de la compagnie d'ici peu...
Finnian compris et les larmes coulèrent toutes seules. Le corbeau me poussa pour voire sa cheville lui-même. Il mit sa main sur sa bouche et ses yeux devinrent effrayés et désespérés.
- Je suis désolé. Dis-je sans vraiment le penser.
Est ce que j'enfonce le clou... ? Il faut bien leur dire la vérité...
- Gamin... au vu de la progression... il doit te rester... quatre jours parmi nous...
Les jambes du jardinier le lachèrent et il tomba à genoux. Cela doit être terrible. Je viens de lui donner la cause et la date de sa mort. La peste, quatre jours.
- Si vous voulez éviter une mort précoce vous devriez le mettre au lit et ne plus l'en sortir.
Aucun d'eux ne bouge. Ils sont en état de choc. Je soupire et porte Finnian jusqu'à la chambre la plus proche et le pose sur un lit. Il tira doucement ma manche.
- Undertaker... Je veux revoir Alice... avant de mourir... s'il te plaît... toi seul pourras la trouver...
- J'ai mes propres problèmes tu sais...
- N'oublie pas qu'elle n'est pas seulement ta fille... elle est aussi celle d'Hannah...
- Très bien... Je te promet de te ramener Alice dès que mon affaire sera réglée. Et si d'ici deux jours elle ne l'est pas j'irai tout de même chercher votre Alice.
- Merci... infiniment...
Je sors du manoir. Il faut que je retrouve mon Alice et je m'occuperai de leur fille.
J'ai fais mes pires quartiers de Londres, maintenant je vais retourner près du pensionnat.
Je m'approche de l'immense bâtisse en chantonnant un peu la suite dont j'ai encore rêvé.
- Dit moi qu'à tu toujours voulu ? Le voudrais je moi-même je suis perdu je crois...
Rien. Je réessaye près de l'aile ouest.
- Dit moi qu'à tu toujours voulu ? Le voudrais je moi même ? Je suis perdu je crois...
Toujours pas de réponse... Je réessaye près des caves a vin et des réserves de nourriture.
- Dit moi qu'à tu toujours voulu ?
J'attend un peu... toujours rien...
- Dit moi qu'à tu toujours voulu ?
- Que tu ai un avenir...
- Le voudrais je moi même ? Je suis perdu je crois...
- Cette chasse à duré si longtemps...
- Mais pour voire ton beau visage je ferais n'importe quoi...
Pas de doutes c'est elle. Je m'agenouille devant la toute petite fenêtre jaissant du sol ne laissant que très peu de place à la lumière en raison des barreaux.
- Alice !!! Alice c'est moi !!!
- Undertaker !!!
Elle est toute frêle et tremble de tout ses membres. Je l'ai retrouvée...
- Alors l'homme de mon rêve c'était vous !?
- Oui ! Et toi tu es la voix de mon rêve !
- Oui !
- Qu' est ce que tu fais là dedans !?
- La mère m'a enfermée ! Elle m'a dit des choses bizarres et elle a dit qu'ils allaient me tuer ! Sortez-moi de là s'il vous plaît !
- Oui ! Viens... attrape ma main !
Elle se lève doucement et tend la main.
Soudain des hommes entrent dans la cave et la saisissent.
- NOOON !!!! AU SECOURS !!! LÂCHEZ MOI !!!
- ALICE !!!
- UNDERTAKER !!!
- TA MAIN VITE !!!
Elle tend la main jusqu'au dernier moment, mais à la seconde où mon doigt à touché le sien, elle a été entraînée loin de moi dans un cri de terreur.
Un des hommes arriva par derrière, me souleva et me remis sur mes pieds.
- Toi garde le silence.
- Jamais... Je vous arracherai cette petite !
Il me donna une gifle qui fit s'envoler mes cheveux gris. Il regarda mes yeux un bref instant avant de hurler.
- LE DIABLE AUX YEUX VERTS !!! IL EST ICI !!!
Une des soeurs arriva.
- Vous... Vous êtes le père de la jeune fille !!! Vous êtes le diable aux yeux verts !!!
- Je ne comprend strictement rien à ce que vous insinuez.
- SAISISSEZ LE !!!
J'ai laissé ma faux chez moi... Je suis vraiment stupide quand je veux !!!
Mais heureusement deux ou trois coups de pieds auront eu raison d'eux. Mais j'ai perdu Alice de vue...
Il a dit que j'étais le père de la jeune fille... le père d'Alice... ce n'est pas possible !
Je fonce au manoir et appelle Sebastian. Mais celui-ci ne me répond pas. J'entre par une fenêtre restée ouverte et cherche la chalbre de Faustus. Je finis par la trouver.
- Eh l'araignée !
- Quoi ?
- Je veux voire ma fille ! Je veux savoir à quoi elle ressemble !
- Ah bon ? Ça te prend comme ça ?
- Ton jardinier m'a demandé de la retrouver...
Il me tendus un cadres où une photo gâchée par les piètres compétences des appareils humains représentait la famille au grand complet et au premier rang...
Mon Alice...
Ma fille...
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