17: Jeu dangereux

Nda: ATTENTION !!! Ce chapitre contient les lignes les plus sexuellement explicites que j'ai jamais écrite ! Alors si vous êtes sensible ou de ma famille (bisou mamie 😍) Ne lisez pas ou si vous le faites quand même ne m'en reparlez pas après c'est très gênant 😖

Merci

Pdv de Sebastian

Une fois de plus je me retrouve dans la chambre de mon amant en vue de "passer une bonne soirée" avec lui. Et une fois de plus, je me retrouve sous lui tandis qu'il m'embrasse doucement avant de s'attaquer au col de ma chemise. Je le stoppe, il me regarde interloqué.

- Claude...

- Oui ?

- Je... enfin je voudrai...

Je rougis et détourne le regard. Je suis totalement soumis à la moindre caresse et ce diable a un don pour me faire perdre toute assurance. Il me caresse la joue.

- Tu peux tout me dire tu sais...

- Alors voilà je...

Je prend une grande inspiration.

- Je voudrai être au dessus pour une fois.

Il me regarde quelques secondes avant d'éclater de rire.

- Ce n'est pas drôle !

- Si ! Ah ah ah !

- Je suis sérieux...

Il s'assit sur mes hanches.

- Écoute petit corbeau, ta première expérience ça a été moi, tu n'as jamais été au dessus alors-

- Tu ne m'en crois pas capable.

- C'est exactement ça.

Bon... au moins il est franc même si ce n'est pas très sympa. Il sourit triomphalement.

- Écoute Claude, faisons un pari. Si en étant au dessus je parviens à te soumettre totalement tu sera mon esclave pendant une semaine. Si je n'y parviens pas alors je ne demanderai plus à échanger les rôles.

Il pouffe et afficha une mine fière.

- Écoute, j'ai couché avec une vingtaine d'hommes et j'ai toujours été le dominant, j'en ai fait crier, hurler, jouir et j'ai même failli casser les hanches de l'un d'eux ! Tu pense vraiment pouvoir soumettre quelqu'un comme moi ?

- La modestie tu connais ?

- Non. Mais j'accepte le pari.

- Je vais y arriver j'en suis sûr...

- On verra bien~ je te laisse jusqu'à demain pour trouver le moyen de me faire plier~ bon courage~.

Il se lève et pars. Bon... encore une fois j'ai parlé trop vite. Je n'ai AUCUNE idée de la façon dont je peux soumettre quelqu'un comme lui...

Je remet ma veste et descend en réfléchissant ardemment. Je tombe sur Hannah qui dessine une peluche pour la société Phantom. Elle remarque mon air pensif.

- Tout va bien Sebastian ?

- Pas vraiment...

- Qu'est ce qui ne va pas ?

- J'ai fais un pari avec Claude...

- Explique...

Je résume rapidement le principe du pari et les enjeux. Elle sourit et me dit:

- Je peux t'aider si tu veux.

- Comment ?

Elle se leva et son traditionnel air timide se changea en un air assez rusé.

- J'ai déjà eu ce genre d'expérience avec mes anciennes conquêtes. Et j'aime quand c'est un peu... violent. Alors je peux te donner toutes les astuces que tu veux pour soumettre cet insolent.

- Vrai-vraiment ?

- Comme il risque de pas mal crier, je vais passer la journée a Londres avec les domestiques, vous serez tranquilles.

- Très bien... explique moi comment faire.

Elle alla fermer la porte, se rassit sir son fauteuil et commença à m'expliquer. La conversation dura une bonne heure mais à la fin je me sentais près à faire ravaler son arrogance à mon amant. Je prépare le "matériel" que Hannah m'a conseillé puis je met un manteau et me dirige vers la résidence de Lau.

Je frappe et entre. Il est avec Ran-Mao en train de régler quelques affaires de paperasse. Il me souris et s'avance.

- Sebastian Michaelis ! Qu'est ce qui t'amène chez moi ?

- Je suis venu t'acheter quelque chose à vrai dire...

- Quoi donc ? De l'opium ? Du chlorophorme ?

Je lui chuchote ma commande a l'oreille pour ne pas être entendu. Il eut un sourire malicieux et partit me chercher une petite boîte remplie de cachet ayant une forme de friandises sucrées.

Je le paye et rentre au manoir. Je dispose ce sont j'ai besoin dans un placard du grand salon où le pari va se jouer et je vais me reposer dans ma chambre avec un livre humain très intéressant.

Le lendemain Hannah partit comme promis avec les domestiques en me faisant un clin d'oeil. Je prend une grande respiration et retourne dans le grand salon. Claude me suis déjà persuadé de sa victoire.

Attention début !!!

Je prend soin d'écarter les meubles pour avoir de la place et dispose une chaise au milieu de la salle presque vide. Je ne garde que le placard où j'ai rangé mon matériel et la chaise a porté de main. Je demande à Claude de s'assoir sur la chaise. Il obéit avec son sourire malicieux.

Je me rememore les paroles d'Hannah.

"Tu le fera s'assoir sur une chaise. Attention ! Pas un fauteuil ! Une chaise simple. Puis tu prendra un foulard foncé et tu lui bandera les yeux."

Je lui enlève ses lunettes et lui attache le foulard autour de la tête. Il se laisse faire et ne bougea pas.

"Ensuite c'est là que la "drogue" va entrer en jeu. Claude est resté suffisamment de temps sur terre pour que cette chose ai une influence sur lui. Met une pastille dans ta bouche sans la mâcher ou l'avaler. Embrasse le et force le a l'avaler"

Je prend la pastille, la met dans ma bouche et me dirige vers Claude. Je l'embrasse langoureusement en passant la pastille dans sa bouche, puis je lui penche la tête en arrière pour le forcer à avaler.

- Hé attention ! Qu'est ce que tu m'as donné !?

Pdv omniciant  (parce que je préfère faire comme ça :p)

L'araignée sentit un frisson parcourir son dos et il se mit a avoir des bouffées de chaleur et à baver un peu. Il comprit à ses dépends que son amant lui avait donné un aphrodisiaque. Mais il fallait plus que ça pour le faire craquer et Sebastian le savait.

Claude ne voyais rien et ne pouvais que deviner les gestes de son amant au son qu'il faisait.

Sebastian vint se placer derrière Claude avec une corde solide et des menottes qu'il avait "emprunté" a scotland yard. Il attacha les mains de l'arachnide derrière le dossier de la chaise et ses chevilles aux pieds de la chaise, laissant ainsi ses cuisses écartées.

Les effets de la drogue étaient de plus en plus puissants sur Claude qui n'en pouvais plus, il bavait, haletait déjà mais il n'était pas soumis pour autant au contraire. Il ne voulais qu'une chose, sauter sur Sebastian et le faire hurler sous ses coups de bassin.

Mais les menottes étaient bien serrés et le corbeau le surveillait. Il se rendis jusqu'à l'armoir et en tira un martinet. Il le posa sur la table et s'approcha de sa cible.

Il enleva le haut de son prisonnier et le jeta à l'écart. Il caressa ardemment le torse de Claude en
s'assayant sur ses genoux et en collant leurs bassins. Il continua jusqu'à ce que son vis a vis émettes des gémissements obscènes.

Puis il retourna chercher son fouet et donna un coup d'abord faible dans le dos de l'araignée qui ne s'y attendait pas du tout. Il gémit de surprise en se cambrant.

Sebastian, voyant l'effet que ses coups produisaient continua à le frapper, la puissance des coups exécutant un crescendo. Claude criait de plaisir et commençais à se soumettre sans en avoir conscience.

Les coups se stopperent brusquement laissant le dos du diable tout couvert d'entailles de tailles diverses.

Le pauvre prisonnier soufflait et haletait. Son membre lui faisait mal et son pentalon était taché du liquide qu'il avait l'habitude de lâcher en Sebastian.

Le dominant enleva le pentalon puis le boxer de sa victime qui suait déjà à grosse gouttes.

- Ah~... détache moi~

- Non.

Sebastian retira sa veste et sa chemise car lui aussi commençait à avoir chaud. Mais il ne devait pas céder tout de suite. Il se lâchera plus tard.

Il prit dans sa main le membre de son prisonnier et le caressa faisant des va et vient de haut en bas avec sa main. De plus en plus fort et de plus en plus vite. Son partenaire se sentait impuissant face à lui mais refusait de se soumettre.

- Tu résiste encore.

- O-oui~

- Supplie moi de te prendre.

- J-jamais~

- Comme tu veux...

Il mit ses doigts sur les lèvres de Claude.

- Lèche.

- Non~

- Ça va faire très mal si tu ne lèche pas.

- M'en fout~

- Tant pis.

Il plaça sa main devant l'intimité de son amant sans avoir  fait le nécessaire pour rentrer ses doigts sans douleur. Il compta jusqu'à trois intérieurement et enfonca deux de ses doigts avec violence. La victime du jour hurla de douleur en regrettant de ne pas avoir obéi.

L'autre resta quelques minutes sans bouger pour que son vis a vis reprenne son souffle. Puis il bougea pour écarter les tissus et pouvoir rentrer. Il cherchait aussi un point sensible où accentuer ses coups.

Il finit par le trouver au moment où Claude lacha un cri obscène au toucher d'un endroit précis. Le corbeau sourit et retira ses doigts.

- Je vais te détacher.

- V-vraiment~ ?

- En fait je vais juste te changer de position. Mais tu sera toujours menotté.

La victime de plus en plus proche de sa limite hocha la tête et se laissa faire bien qu'il tenait difficilement debout a cause de la douleur entre ses cuisses.

Il plaça Claude de manière à ce que ses hanches soient surélevée par rapport à sa tête qui elle touchait le sol. Il enleva son bas et son boxer afin d'être prêt. Il enleva le foulard des yeux de Claude pour qu'il voit la piètre position dans laquelle il se trouvait.

Ce dernier n'en pouvais plus, la drogue, les doigts et tout le reste avaient fini par avoir raison de lui. Il n'avait plus qu'une envie, sentir son amant au fond de lui mais il ne voulait pas l'admettre. Il avait mal absolument partout et n'en pouvais plus du tout. Il attendit que Sebastian entre en lui mais rien.

- A-alors~ ?

- Je ne sais pas...

- Qu-quoi~ !?

- J'attend que tu me supplie de te prendre.

- P-plutôt mourir~

- Admet ta défaite.

- N-non~

Sebastian soupira et retourna chercher deux pastilles de drogue. Une pour lui et une pour Claude.

- Admet le !

- J-jamais~

- Tu reveux une pastille ?

- Ça ne marchera -ah- pas~

- Comme tu veux...

Il lui mit la pillule sous le nez,  menaçant de lui faire avaler, il finit par le faire, lassé de ses refus constants. Le corps de sa victime se cambra et il se mit a suer encore plus en gémissant de manière obscène. Le corbeau alla rechercher son fouet et lui chuchota d'une voix suave.

- Tu as été méchant Claude~ tu dois être puni~

Il ne pouvais même pas lui répondre tant il haletait. Il se contenta d'un mouvement de tête ponctué de tremblement d'excitation. Le dominant frappa le dos de son amant avec le fouet lui faisant lâcher des cris de douleur mêlée à un plaisir sans nom.

A la fin des coups, l'araignée finit par se rendre compte qu'il n'avait aucune chance de battre son adversaire sur ce coup là.  Il avait perdu, se sentait soumis, impuissants et inférieur.

- Alors ? Tu admet ?

Pas de réponse. Il se mordait la langue pour ne pas le supplier de venir en lui.

Voyant qu'il était sur le point de craquer, le plus jeune s'allongea dans le dos de l'aîné, collant l'extrémité de son membre a son intimité inviolée. Il bougea son bassin pour le faire céder.

Le plus âgé finit par lâcher sa langue, son excitation et ses pulsions ayant pris le contrôle.

- Prend moi vite~ ah !j'en peux plus d'attendre dépêche toi~ ah !

- Je suis pas sûr de vouloir...

- Je t'en supplie Sebastian~ je t'en supplie je te veux maintenant tout de suite~ ah ! Ah !~

- A tes ordres~

Il se mit en position, avala une pastille et entra violemment en Claude qui hurla de douleur suite à cette sensation inconnue et totalement nouvelle.

Après avoir laissé son dominé s'habituer à sa présence,  le cadet donna de violents coups de bassin allant toujours plus profondément et en visant le point sensible.

Il donnait des coups bien plus puissants que ceux de Claude et ça se sentais dans la voix de ce dernier qui se dechirait les cordres vocales a chaque choc entre leurs hanches. Il hurlait a Sebastian de s'arrêter mais ce dernier ne l'ecoutait pas et faisait des va et vient toujours plus forts.

Il heurta la prostate de la victime de plein fouet, lui faisant lâcher un hurlement plus fort que les autres. Il pleurait de douleur et de plaisir mélangé. Le plus jeune continua plus fort en visant le point sensible.
L'aîné sentait ses hanches claquer sous les coups de l'autre et avait de plus en plus mal.

- AH ! AH ! ARRÊTE ~ !!!

Il était à la limite du septième ciel et ses os a la limite de se briser.

Le cadet n'en pouvais plus non plus et n'allait pas tarder à venir. Il donna un dernier coup de hanches et Claude jouit en hurlant le nom de Sebastian qui lui entendit un "crac" monumental.

Il se retira et Claude s'effondra en criant de douleur.

Il enleva les menottes et se pencha.

- Euh... ça va ?

- Tu m'as bien regardé !!!!????

- Tu peux te lever ?

- Non !!!

- Ah... c'était quoi ce crac bizarre que j'ai entendu ?

- MES HANCHES ESPÈCE D'ABRUTIT !!!

- Oups...

- AH ÇA TU PEUX LE DIRE !!!

- Tu as aimé sinon ?

- J'ai jamais autant souffert de toute ma longue vie !!!

- Tu m'en vois désolé...

Le corbeau rangea la pièce et cacha les outils. Il remit ses habits et fit de même avec Claude qui était incapable de se lever. Hannah et les domestiques revinrent le soir. Sebastian les accueillit et souffla a Hannah qui se dirigeait vers le salon.

- Il y a eu un tout petit problème...

- Tu as perdu ?

- Non mai-

Elle ouvrit la porte du salon et vit Claude allongé par terre et incapable de faire le moindre mouvement a part ramper.

- CLAUDE !?

Il leva la tête fou de rage.

- C'est toi qui lui a expliqué hein !? Traitresse !!!

Le corbeau sourit.

- Monsieur n'admet pas sa défaite c'est tout.

- TU M'AS CASSÉ LES HANCHES !!!

- C'est au moins deux jours sans bouger pour un diable... soupira Hannah.

- Je vais pas rester ici par terre !?

- Pourquoi pas ? Tu fais un splendide tapis !

- Va te faire foutre...

- J'ai gagné !

- J'avais compris... plus jamais ça compris ?

- Compris~

















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