Chapitre 16 : Entrainement et guerre part 3
J'ai fait appel à tous mes pouvoirs pour créer une grosse flaque d'eau autour de moi, de nulle part. Cela guérit presque toutes mes coupures, et maintenant juste quelques bleus restaient, et quelques cicatrices. J'ai regardé autour de moi, et vit Annabeth presque submergée de monstres. Donc, je fis la première chose qui me passa par la tête. Je courus dans la bataille pour l'aider. J'ai stabilisé un chien de l'enfer dans la patte arrière, et il se tourna et grogna. Il essaya de me frapper, mais je sautai et coupai avec mon épée sa tête. Il se désintégra en poussière, et je suis allé vers le prochain monstre, une empousai. Elle essaya de me séduire mais, ça ne marcha pas sur moi car j'avais déjà connu l'expérience de négocier avec une empousai. Je l'ai stabilisée sur sa poitrine, mais elle bloqua et coupa au niveau de mes jambes. J'ai sauté au-dessus de sa lance, puis j'ai coupé au niveau de son bras. Elle lâcha sa lance et je l'ai coupée en deux. Elle se désintégra en poussière. Je continuais d'attaquer de monstres en monstres jusqu'à Annabeth et je vainquis tous les monstres autour de nous.
Je vis que tout le monde n'avait plus que quelques ennemis à vaincre. J'ai regardé autour, essayant de trouver un ennemi à vaincre, quand je vis Gaïa et Cronos regarder. J'ai donné un coup de coude à Annabeth.
« Annabeth, regarde. Gaïa et Cronos sont ouverts pour nous pour les attaquer. Allons-y ! » Dis-je. J'ai commencé à marcher dans leur direction, épée en main, mais Annabeth attrapa ma main gauche et me stoppa dans mon élan.
« Percy, non. Tu ne vois pas ? Tout ce que tu as expliqué de tes rêves est en train d'arriver. Si nous allons vers eux, il n y a pas de mots pour ce qu'il pourrait t'arriver. Je refuse de te laisser attaquer Cronos et mourir ! Tu m'entends !? » Demanda-t-elle.
« Annie, ne t'inquiètes pas. Depuis ce rêve, j'ai pensé à plusieurs façons de ne pas mourir quand il essayera de me tuer. Ne t'inquiète pas s'il te plaît. C'est notre chance de les tuer ! » Répondis-je. Elle me regarda pendant une solide minute.
« Ugh, bien. Mais je jure sur les dieux, Persée Jackson, si tu es tué, je viendrai personnellement aux Enfers et te demanderai de revenir. » Déclara-elle. J'acquiesçai, et nous nous sommes dirigés vers Gaïa et Cronos. Quelques monstres vinrent vers nous et essayèrent de nous arrêter pour protéger leurs chefs mais nous avons vite réglé nos comptes avec eux. Nous avancions lentement, Annabeth étant sûre de rester à mes côtés tout le temps. Nous continuions d'avancer jusqu'à ce que nous soyons à environ dix mètres d'eux et que Cronos et Gaïa nous repèrent. Je vis Cronos sourire, et lui et Gaïa s'avancèrent. Ils s'arrêtèrent quand ils furent à cinq mètres de nous, et restèrent plantés là. Attendre. Comme personne ne fit rien, Cronos prit la parole.
« Allez-vous vous rendre, où avons-nous à nous battre ? » Demanda-t-il. Je ne répondis pas tout comme Annabeth. Nous étions debout là. Silencieux. Attendant.
« Regardez autour de vous. Des personnes meurent et pour quelle cause ? Tous les monstres vont se régénérer de toute manière, donc les tuer ne vaut pas le coup. Et aussi, tuer les Mange-Morts ne va pas aider, parce que plus de complices de Voldemort viendront et vous attaquerez encore. C'est futile pour vous de vous battre er espérer gagner. »
Déclara-t-il. Il avait raison. J'ai regardé autour de moi et vit beaucoup de morts. Il y avait de la poussière de monstre de partout, et des mange-morts bah, morts. Je pouvais aussi voir des campeurs et des étudiants éparpillés dans le champ de bataille, morts. Il y avait partout des armes et des baguettes, cassées ou à côté de leur propriétaire. Il y avait encore des personnes qui combattaient leurs ennemis, et je pus voir Harry avancer vers Voldemort avec Hermione et Ron en rangée. Je voyais tous mes amis de la colonie se battre contre l'ennemi sans peur, mais je savais qu'il avait raison. Il n'y avait plus d'issue dans cette bataille. Ils reviendraient tous d'un moyen ou d'un autre. Mais peut-être pas Voldemort, mais Gaïa et Cronos ainsi que les monstres oui. Je remis mon regard sur les principaux ennemis devant moi. J'étais sur le point de répondre quand Annabeth me devança.
« Donc quoi ? Et si vous pouviez tous revenir plus tard ? Ce serait mieux que de vous laisser gagner maintenant, et nous tuer sans merci. Je m'en fiche si vous finissez par nous tuer mais aussi longtemps que je le sais, il y a quelqu'un de l'extérieur qui peut vous tuer. Donc, nous n'abandonnons pas. » Répondit-elle fermement. Le sourire de Cronos disparu et un regard de colère se forma sur son visage.
« D'accord. Faites votre chemin. » Grommela-t-il. Ce fut tout ce qu'il eut besoin de dire pour qu'Annabeth et moi nous mirent en position pour ce combat. Nous attendîmes quelques secondes, pour eux d'attaquer. Cronos dégaina sa faux et Gaïa son épée, et ils avancèrent. Nous les attendions en anticipant. Notant que nous n'allions pas attaquer les premiers, ils attaquèrent, Gaïa sur Annabeth et Cronos sur moi.
Nous avons commencé le combat. Il piqua sur ma gauche mais je bloquai et ai glissé vers sa tête. Il esquiva et attaqua vers mes pieds. J'ai sauté au-dessus de sa faux, ai attaqué sa jambe. Mon épée la lui coupa, et de la poussière commença à jaillir de sa blessure. Attends, de la poussière ? Oh, qu'importe. Il siffla et me frappa au visage. Je ratai mon blocage, et une entaille apparut sur ma joue. Du sang commençait à dégouliner sur mon visage mais je continuais de me battre. Je continuais d'esquiver, éviter et frapper, mais rien à faire. Il avait des tonnes de coupures sur tout son corps, et quelques entailles, mais il ne voulait pas mourir. J'avais seulement quelques coupures et une entaille sur mon bras, mais j'allais bien. Je l'attaquais quand soudain, je sentis une douleur insoutenable percuter mon corps. Je suis resté comme ça et une réalisation me frappa. J'ai baissé la tête et à mon horreur, toutes les blessures du Tartare étaient ouvertes. J'ai commencé à saigner et je sentais une immense douleur. J'ai essayé de bouger ma jambe mais mon corps me lâcha et je tombai par terre, immobilisé. Cronos commença à rire et il s'approcha lentement de mon corps immobile.
« Bien, je pense que c'est la fin pour toi Persée Jackson. En plus, amuse-toi bien aux Enfers. » Dit-il. J'ai tourné la tête, et vit Annabeth essayant de venir vers moi, comme dans mon rêve, mais Gaïa la stoppa. Elle hurla mon nom, mais je pouvais à peine l'entendre. Mon corps me faisait mal, ma tête tournait à cause de la perte de sang et mes oreilles bourdonnaient. J'étais au bord de l'inconscience et je vis Cronos brandir sa faux au-dessus de mon ventre, pour ma mort. Puis, tout commença à aller vraiment doucement, comme la vitesse d'un escargot. J'étais juste couché là, jusqu'à ce que j entende une voix. Persée Jackson disait-elle, est-ce vraiment come ça que tu veux mourir ? Bah, non. Je préférerais vivre. Bien, écoute attentivement. Les Parques et moi avons décidé que ce n'était pas encore ton heure, donc nous allons t'aider. Cronos pense que tu vas être tué donc, il n'attend pas que tu retournes au combat. Donc, nous allons te donner trois minutes pour le tuer. Tes blessures seront complètement parties mais juste pendant trois minutes. Quand il essaye de te poignarder, roule. Puis, saute vite et poignarde-le. C'est tout ce que tu as à faire. Tu as compris ? Oui. C'est bon. Bien, maintenant, va Héros. Vis et gagne cette guerre ! Dit la voix. Je me demandais qui c'était. La pensée sortit rapidement de ma tête quand je réalisai que le temps s'écoulait. Cronos était sur le point de me poignarder, mais j'ai roulé. J'ai réalisé que la voix avait raison, et toutes mes coupures avaient disparues, momentanément. J'ai sauté et ai levé mon épée et ai frappé Cronos. Avant qu'il ne se remette de ce coup, je l'ai vite poignardé dans le ventre. Il s'est plié en deux et est tombé sur un genou. Profitant de cette opportunité, j'ai proprement coupé à travers son cou, le décapitant. Il disparut, et tout ce qu'il restait était un petit tas de sable.
« Bon débarras. Amuse-toi bien au Tartare. » Dis-je. Je me suis tournée vers Annabeth, qui était soulagée. Pendant qu'elle était distraite, Gaïa profita de cette chance pour arriver derrière et poignarder Annabeth.
« Annabeth ! » Hurlai-je. Au dernier moment, Annabeth réalisa ce qu'il arrivait. Elle se retourna et arrêta l'épée de Gaïa de son objectif, qui était le cou d'Annabeth. Gaïa était choquée qu'Annabeth sache qu'elle était là et qu'elle bloque son épée. Elle planta sa dague dans le cœur de Gaïa. Elle cracha du sang et tomba sur ses bras et ses jambes. Doucement, Gaïa se désintégra en saleté et en poussière dorée. Je me suis levé et ai marché vers Annabeth mais avant que j'arrive à elle, mes coupures se rouvrirent. Mince, fin du temps, pensai-je. Je suis tombé par terre et les yeux s'Annabeth s'écarquillèrent.
« Percy ! » Cria-t-elle. Elle courut vers moi. Elle mit ma tête sur ses genoux et la tenait dans ses mains.
« Percy, reste avec moi. Percy, s'il-te plaît. Tout ira bien, s'il te plaît... » Elle continua mais je n'entendais plus rien. Tout ce que j'entendais était mes oreilles qui bourdonnaient. Et mon cerveau me disait de dormir. Je résistais et peinait à garder les yeux ouverts. Je vis Annabeth dire quelque chose, et vit un visage arriver avec quelque chose dans ses mains. J'essayais de garder mes yeux ouverts, mais l'obscurité finit par gagner le combat et m'emporta.
Annabeth
Je vis Percy tomber par terre et je réalisai que ses coupures s'étaient rouvertes. Je courus vers lui et mis sa tête dans mes mains.
« Percy, reste avec moi. Percy, s'il-te plaît. Tout ira bien, s'il te plaît juste, ne meure pas. Combat-ça Percy. » Dis-je je voyais que ses yeux peinaient à rester ouverts, donc je fis la seule chose raisonnable que je pouvais faire.
« WILL ! » Hurlai-je.
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