🏵Phoenix🏵

Voilà l'avant dernier chapitre de cette histoire ! + de 1700 mots pour votre plus grand plaisir ! Le prénom Marie a été retenu pour la mère de Sans. Bonne lecture à tous ! ❤
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Papyrus : -RESTEZ SUR VOS GARDES.

L’ambiance devenait de plus en plus angoissante. J’avais peur de m’étouffer à cause de l'angoisse qui me montait à la gorge.

Frisk : -R-Restez déterminé !

Soudain des os nous tombent dessus dans un déferlement dangereux. Nous nous en prenons certains en essayant de les éviter.

Sans : -Papyrus ! Qu'est-ce que tu fais !?

Il ne dit rien et semblait avoit le regard éteint. Il continue de nous attaquer. Je recule effrayée et tombe des escaliers tout en bas. Je me suis fait mal à la cheville... Une ombre passa derrière-moi et me fait boire une fiole profitant du chahus.

Ma tête tournait et je me mis à tousser violement.

Gaster : -Dites-moi que mon action a réussie… Dites le moi…

Puis, ma vision se coupa, c'était très étrange... J’avais l’impression d’être éveillée, mais en même temps, de ne pas être là.

PDV Sans :

Je protégeais la petite et sa plante des attaques de Papyrus. Je voulais foncer aider {T/P}, mais je n’arrivais pas à fixer l’angle de téléportation. Je finis par trouver une fente et me téléporter avec Frisk et Flowey en bas des escaliers lorsque je remarque une ombre gluante collée à ma petite amie. Je lui lance un Gaster Blaster, qui bien sûr, abima au passage ce vieux canapé qui trônait dans le salon. Je m’approche de {T/P} et la relève comme je peux.

Sans : -Tu vas bien chérie ?!

??? : -Chérie ?

Sans : -Ce n’est pas… Ta voix…

Gaster : -Ça a vraiment marché ! … Marie c’est toi ?

Marie : -Oui… Mais j’étais… Que fais-je ici dans ce corps ?

Gaster se précipita vers elle pour l’embrasser. Je le repousse avec rage contre un mur.

Red : -NE TOUCHE PAS À MA FEMME.

Marie : -Ta femme ? Ce corps est celui de ta petite amie Redy ? Ho ! Mais tu as bien grandi !

Elle me tira les joues en souriant et je commence enfin à réaliser…

Red : -C-C’est toi maman…?

Elle me sourit pour confirmer mes paroles. Je me sens ému de la revoir après tout ce temps… Mais elle était dans le corps de {T/P}. Elle me serra dans ses bras pendant mon incompréhension.

Gaster s’avança doucement.

Gaster : -J’ai réussi… Je t’ai ramené à la vie.

Le regard de ma mère changea... Elle se leva et asséna une grosse giffle à Gaster.

Marie : -Comment as-tu pû traiter nos enfants ainsi ?!

Gaster : -... Tout ça... Je l’ai fait pour toi…

Marie : -Tu aurais dû me laisser là où j’étais. En faisant ça, tu as tout perdu. Tes enfants et ta femme et même ta vie. Tu es un monstre Gaster.

Elle était froide, impassible, tandis que “mon père” se laissa tomber au sol en lui tenant la main.

Gaster : -Je ne pouvais pas vivre sans toi… Je t’en prie… Tu me manquais tellement… Le projet de la barrière me mettait trop de pression ! Je t'aime Marie ! S’il te plait ! Revivons ensemble comme avant !

Je me déformais de colère, voyant Gaster se plaindre autant. À croire que c’était le seul à avoir souffert. Quel enfoiré.

Ma mère poussa sa main sèchement et recula.

Marie : -Tu ne mérites plus mon amour Gaster.

Flowey : -On dirait un roman à l’eau de rose.

Elle semblait troublée, puis me serra dans ses bras, comme avant…

Marie : -Je suis si heureuse Sans de te revoir. Ne t’en fait pas pour ta petite amie. On va lui rendre son corps.

Gaster s’écroula de tristesse au sol.

Sans : -Où est {T/P}…?

Elle se détacha du câlin et me montra son cœur.

Marie : -Ici.

Elle fit ensuite demie-tour vers Papyrus et Gaster.

Marie : -Gaster. Rend-lui son comportement normal.

Je pense qu'il l'avait contrôlé avec sa magie, étant sa création.

Gaster: -M-Marie…

Marie : -EXÉCUTION.

D’un balayement de la main. Papyrus retrouva son regard habituel et tourna la tête de droite à gauche ne comprenant pas ce qu’il s’était passé.

Frisk : -Papy est plus méchant !

Papyrus : -BIEN SÛR QUE JE LE SUIS !

Ma mère toujours sous l’apparence de {T/P}, s’approcha de Papyrus et posa sa main sur son épaule, même si {T/P} était de petite taille/grande taille.

Marie : -Bonjour mon deuxième fils.

Marie n’avait pas le même ton de voix que {T/P}, sa voix était plus douce. Papyrus semblait perdu.

Marie : -Je suis désolé, de ne pas t’avoir connue de mon vivant et que tu n’ai été qu’une création de mon mari. Mais je te remercie d’avoir veillé sur Sans. Pour moi, tu feras toujours parti de la famille.

Papyrus : -? JE DOIS TE REMERCIER ? QUI ES-TU ?

Marie : -Marie, la mère de Sans et en même temps ta mère à toi.

Papyrus semblait ému et la serra à son tour dans ses bras.

Gaster resta silencieux dans son coin. Frisk s’approcha de lui.

Frisk : -Monsieur… Vous êtes triste c’est ça ?

Il ne dit rien et regarda méchamment Frisk.

Frisk : -Vous savez, tout le monde à le droit à une deuxième chance. Si vous le voulez vraiment. Vous pouvez tout réparer et retrouver ceux que vous aimez.

Flowey : -F-Frisk… Ça ne sert à rien de parler avec lui.

Elle regarde Flowey d’un air boudeur.

Frisk : -{T/P} aurait pensée pareil aussi !

Flowey : -Ou l’aurait giflé comme Marie.

Gaster : -Tu me prends en pitié ? C’est parce que je suis faible c’est ça ?!

Frisk : -Pas du tout ! Vous n’avez pas à être seul encore. Je suis sûr que Marie vous aime du plus profond de son cœur. Il faut que vous vous fassiez pardonné !

Gaster : -Personne ne me pardonnera.

Flowey : -Tch, buté celui-là.

Elle posa sa main sur son cœur.

Frisk : -Moi je vous pardonne !

Gaster : -Tu n’es qu’une gamine.

Je vois les joues de Frisk se gonfler. Elle attrape les joues dégoulinantes du disparu et les tirent comme du chewing-gum.

Gaster : -Qu’est-ce que tu fais ?!

Frisk : -Tu. N’es. Qu’uuuuuunnnn… Baka.

Gaster : -Toi une sale gamine.

Elle leva la tête de Gaster vers Marie et Papyrus qui parlaient.

Frisk : -Ce n’est pas mieux d'être heureux comme ça que par la guerre ?

Elle le relâcha et souriait de ses petites dents.

Flowey : -Frisk te laisse réfléchir. Mais fait le bon choix cette fois. Surtout que tu n’as pas beaucoup de temps ici, non ?

Gaster ne dit toujours rien, son regard ne bougea pas.

Marie : -Bien. Maintenant, il faut redonner son corps à cette pauvre petite !

Flowey : -Et comment ?

Marie : -Mon cher mari (Marie XD Oki je me tais XD), lui a donné une potion avec une trace de mon âme, et de quoi transférer mon esprit dans son corps. Le corps ne l’a pas rejeté puisque son âme est composée d’une essence de monstre, que Sans lui a donné pour survivre.

Sans : -Donc il faudrait enlever ton essence de son corps c’est ça ?

Marie : -Exactement !

Sans : -Je suppose que la vieille machine doit marcher encore.

Flowey : -L’extracteur de détermination ?

Sans : -Ouais.

Marie : -Je te laisse nous téléporter mon chat.

Sans : -Ne m'appelle pas comme ça maman !

Je me concentre fortement et nous téléporte dans les sous-sols de l’ancien laboratoire. J'étais assez épuisé de bouger autant de personnes en même temps. Mais c’était pour la bone cause.

Sans : -C'est ici.

Papyrus : -UNE SECONDE, SI ON ENLÈVE TON ÂME MAMAN, ÇA FERA QUOI ?

Elle sourit tendrement.

Marie : -Je repartirai là où j’étais.

Mon cœur se serra.

Sans : -Tu dois vraiment partir…?

Marie : -Oui mon chat, je n’ai pas ma place ici.

Gaster : -Tu n’as pas le droit après tout les efforts que j’ai fait !

Marie le fusilla du regard.

Marie : -Tes efforts étaient inutiles. Tu as juste gâché ta vie. Si je ne le fais pas, c’est la petite qui risque de disparaître. Tu veux voir notre fils souffrir en ne renvoyant plus celle qu'il aime ? Comme toi tu as souffert ?

Gaster : -...

Marie : -Nous sommes des parents et des parents doivent se sacrifier pour leurs enfants.

Elle caressa doucement mon crâne et celui de Papyrus.

Marie : -Prenez soin de vous tous les deux. Je veillerai toujours sur vous.

Papyrus : -TU NE PEUX VRAIMENT PAS RESTER ENCORE UN PEU…

Marie : -Non, mais je vous aime mes chéris.

Elle nous embrasse sur le front et nous la serrons fort contre nous.

Elle entra dans la machine en nous disant au revoir. Gaster l'a retient par la main.

Marie : -Que veux-tu Gaster ?

Il macha ses mots.

Gaster : -Je ne veux pas te laisser partir seule cette fois.

Marie : -Tu penses vraiment que je vais te pardonner pour tout ça ?!

Il l’embrassa, ce qui je l’avoue, à cause de la forme humaine de {T/P}, me donnait envie de le tuer. Moi ? Jaloux ? Nan.

Gaster : -Je m’excuse… Ce que je voulais c’était te revoir…

Marie : -Je le sais… Mais tu n’as pas fait les bon choix. Promets-moi, Promets-moi que tu veilleras aussi sur eux et que tu les laisseras vivre leurs vies.

Gaster : -Tu sais que je n’aime pas les promesses.

Marie : -S’il te plaît Gastou…

Gaster : -Je le ferais.

Elle sourit tendrement et le prit dans ses bras. La machine se refermant petit à petit sur elle. Gaster nous regarde, toujours aussi froid, mais quelque chose avait changé en lui.

Gaster : -Ne faites surtout pas de conneries vous autres. Où je reviendrais pour vous foutre une giffle un à un.

Mouais, c’est sa façon à lui de nous dire je t’aime.

Il disparaît dans le sol, en regardant une dernière fois la machine et nous aussi.

Frisk : -Il est… Parti… ?

Sans : -Oui.

J’active le mécanisme qui fait un bruit horrible. Après plusieurs minutes qui étaient invraisemblablement longues. Les portes s’ouvrent et le corps de {T/P} tomba à terre.

Je la récupère à temps et elle cligna des paupières.

{T/P} : -S-Sans…?

Je caresse doucement son front.

Sans : -Tu vas bien ?

Ses petites joues devenaient rouges, ce qui la rendait vraiment mignonne.

{T/P} : -O-Oui.

Son regard se tourna dans le vide, je suis l’endroit qu’elle fixait. Il y avait deux silhouettes lumineuses : celle de ma mère (Je vous laisse imaginer comment elle est) et celle de mon père se tenant la main avant de s'en aller petit à petit et de ne laisser que le vide, mais aussi une nouvelle vie autour d’eux.

{T/P} posa sa main sur ma joue me faisant le plus adorable des sourires. Frisk était sur le dos de Papyrus avec Flowey.

Sans : -Il est temps de rentrer chez nous maintenant.

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