Attention tout le monde ! Aujourd'hui on envoie du lourd avec 1500 mots ! Vi vi. D'ailleurs ne mettez pas la musique tout de suite ! Attendez que je vous le dise :P Je tiens à vous annoncer que ceci n'est pas le dernier chapitre. 

Bonne lecture ♥

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L'ascenseur s'arrête au dernier étage. J'allais avancer mais Sans prend ma main et nous téléporte dans un hall doré assez poussiéreux.

{T/P} : -Tu nous as téléporté ?

Sans : -Oui. Chérie... J'ai quelque chose à te raconter...

{T/P} : -Je t'écoute.

Sans : -Il y a longtemps, une humaine tomba dans les sous-terrains... Elle s'appelait Chara. Le roi remplit de rancœur contre les humains voulait tuer l'enfant. La reine, elle, avait une certaine empathie pour la gamine, lui rappelant son fils, Asriel. Après de nombreuses disputes. Leur fils, qui était devenu ami avec l'humaine à force de lui rendre visite, réussi à les convaincre de sa gentillesse envers les monstres. Les parents cédèrent. Au fils des années, Chara est devenue l'enfant adoptive des Dreemurs. Mais un jour, elle tomba gravement malade, malgrès tout les efforts de la famille royale, elle s'est éteinte. Asriel triste comme jamais absorba son âme et passa la barrière avec pour récupérer sept âmes humaines et nous libérer. Mais malheureusement... Il se fit tuer à son tour. Il rentra dans le jardin royale avec sa sœur dans les bras et se changea en poussière. Quand leurs parents les ont vu. Ils étaient écrasés par la rage et la tristesse. Depuis ce jour, la reine a disparu et le roi maudit les humains promettant au peuple de briser la barrière pour tuer la race qui a assassiné ses enfants.

{T/P} : -C'est assez... Triste...

Sans : -Tu comprends pourquoi nous sommes comme ça et la décision du roi ?

{T/P} : -Un peu, même si ce n'est pas la meilleure décision.

Sans : -La dernière chose, c'est que je suis juge ici.

{T/P} : -Juge...?

J'aperçois une ombre arriver lentement vers nous sans nous interrompre. Sans chuchote à voix basse.

Sans : -C'est moi qui juge si la personne en face de moi et apte à aller voir le roi.

Sans faisait ça...?

Je ne le savais pas...

Est-ce qu'il y avait d'autres choses que je ne savais pas... ?

Sans : -Heya... Tu es dans la salle du jugement...

Il s'adressait à Frisk.

Sans : -Tu es finalement venue... Hehe... Dis-moi... Penses-tu qu'une personne comme toi puisse aller plus loin...? Une personne qui a fait tant de bien autour de soit...? Je ne te comprends pas. Ici c'est tuer ou être tué. Mais tu t'es obstinée tout le long de ton voyage à être gentille. Pourquoi ? Cela t'as t-il apporté quelque chose ? Une certaine satisfaction ? Tu n'as pas voulut écraser les autres. Tu n'as pas voulut t'imbiber de L.O.V.E. Sais-tu d'ailleurs ce que L. O. V. E.  veut dire ? C'est un acronyme. Cela signifie Level of violence. Tandis que l'EXP que tu aurais potentiellement gagné signifie Exécution points. Mais tu n'as rien gagné de tout ça. Hehe... Je ne sais pas s'il faut que je te félicite. Après tout, je ne connais rien à la gentillesse.

Son œil brilla et il allait lever sa main au-dessus de son crâne comme s'il voulait utiliser de la magie.

Sans : -Cependant...

Son bras se rabaissa et la magie dans son œil diminua.

Sans : -Une personne... Une personne qui tient énormément pour moi... m'a appris un tout petit peu à quoi servait cette gentillesse...

Il soupira et enfonça ses mains dans les poches de son long manteau noir me regardant longuement.

Sans : -Autrefois, j'aurais essayé de te tuer. Mais plus maintenant... Je n'ai pas envie, j'ai un peu la flemme aussi... Et peut-être que je suis un peu plus "gentil".

Elle le regarda avec un beau sourire.

Frisk : -Merci Sans.

Elle passa le couloir et se dirigea vers le jardin du roi.

Sans : -Et voilà.

Je fais un énorme câlin à Sans, un peu émue par ses mots.

Sans: -Wow, heu... Doucement sweetheart hehe...

{T/P} : -J'avais vraiment envie d'un câlin.

Il haussa les épaules et me serra contre lui. Nous restons un bon moment, l'un contre l'autre, n'écoutant que notre souffle qui respirait rapidement.

...SAVE...

Tu es remplis de {T/C}

Puis soudain... Il faisait noir... Je ne sais pas pourquoi... Ma vision était comme effacée... et j'étais comme bombardée de remords. Soudain, je me sentais emportée, comme si je faisais un bon dans le passé.

~~~

J'étais... Dans un parc...?

"{T/P} ne traine pas trop !"

C'était la voix de ma mère qui était assise sur le banc du parc. J'hoche instactivement de la tête. Je savais où je me rendais. Je voulais voir le petit lac dans l'autre partie du parc, là où il y avait les canards. Mais avant je devais traverser une grande route. J'attends patiemment que le feux soit vert. Au même moment, je plaisantais dans ma tête en me disant que les canards ne risquaient pas de mourir de chaud avec le lac. Ce fut à mon tour de passer, j'étais perdue dans ma rêverie. J'ai posé le pied à terre. Mais... Je n'avais pas vu... qu'un camion blanc roulait à tout allure vers ma direction. Il klaxonna et je restais tétanisée sur la route, ne pouvant plus bouger, morte de peur...

Depuis, je ne me suis jamais réveillée...

Enfin... Je crois...?

J'entendais autour de moi, le bruit des machines, le tic tac d'une montre, des gens qui entraient, qui passaient, qui sortaient, des pleurs, des voix tristes, le mot Coma... Le signe que je ne pouvais pas me réveiller pendant longtemps... Que j'avais gardé des séquelles de l'accident...

Parfois on me caressait les cheveux. On me murmurait à l'oreille. Mais j'avais beau tout faire... Je me sentais flotter entre deux mondes dans une eau glaciale dont je n'avais plus la force de remonter.

Je ne peux dire combien de temps je suis sûr ce lit d'hôpital... Très très longtemps...

Un soir...

Un soir, où j'étais un peu plus consciente.

J'avais appris la journée même, en écoutant un peu, qu'une étoile filante passerait et que ce serait la demie-lune.

J'ai gardé les yeux fermés vers le ciel.

Pensée à tous les endroits et les choses que j'ai aimée.

J'aurais voulut qu'une personne reste aussi longtemps près de moi.

Et lever les yeux vers son visage.

J'aurais voulut voir ma vie par la fenêtre ce soir.

Je voudrais me perdre ce soir...

À côté de quelqu'un qui me comprendrait.

Qui ne me parlerait pas avec pitié.

Mais avec un grand sourire sur les lèvres.

Si je me perds ce soir...

Cela aurait été toi et moi.

Si je me perds ce soir...

J'aurai voulut te rencontrer au moins une fois.

Je souhaiterai être inconnue...

Que tu sois près de moi ce soir...

Et que tu puisses m'offrir le peu de liberté que je voudrais avoir...

S'il te plaît... Je voudrais te laisser ma vie ce soir...

~~~

(Musique maestro!)

Les glitchs autours de mes yeux s'effacèrent lentement. Je voyais Frisk devant-moi qui souriait et une petite chèvre à côté d'elle.

Frisk : -Sans et son amie étaient les derniers.

Sans : -Q-Que s'est-il passé...?

Frisk : -J'ai aidé Flowey ou plutôt Asriel à arrêter d'être en colère et triste et je vous ai aidé à ne plus avoir de remords.

Asriel : -Ce n'était pas très dur. J'ai appris pendant ce voyage à être ami avec elle.

Sans : -Je vois. {T/P} comment t- {T/P} ?!

Mais je commençais à m'effacer. Je sanglotais un peu.

{T/P} : -Sans... Le temps est écoulé.

Il me regarde affolé et prend mes mains.

Sans : -Qu'est-ce qu'il ce passe ?! De quoi tu parles ?!

{T/P} : -Je suis tombée il y a longtemps dans le coma. Je me suis faites renversée par un camion.

Il m'écoute en regardant mes statistiques qui disparaissaient.

{T/P} : -Un soir... J'ai souhaité que quelqu'un puisse me redonner goût à la vie et la liberté d'agir.

Sans : -N-Ne me quitte pas !

{T/P} : -Et mon vœux a été exaucé. Tu as exaucé mon vœux Sans.

Il me serre dans ses bras.

Sans : -J-Je t'en supplie ne me quitte pas !

Je caresse doucement sa joue.

{T/P} : -Mais maintenant que vous avez ouvert la barrière et que vous avez rejoints la surface... Je peux partir seraine.

Des larmes débordaient de ses orbites.

{T/P} : -Depuis cet accident, j'ai des soucis au cœur. Il va falloir m'en greffer un. Mais les greffes sont rares. Je ne sais pas combien de temps je vais tenir. Mais je suis beaucoup trop faible pour rester.

Je me mis à pleurer à mon tour.

{T/P} : -Sans... Je ne pars pas pour toujours... Enfin je l'espère... Mais au cas où... J-Je voulais te dire...!

Je rapproche mon visage du sien ne sentant plus mon corps.

{T/P} : -Je t'aime...

Je l'embrasse tendrement, profitant de ce seul baisé que je pouvais lui offrir.

Je finis par me détacher de lui tandis que je devenais qu'un tas de lumière.

Sans : -N-Non ! Je t'aime aussi sweetheart ! Ne pars pas je t'en supplie !

Mais il était trop tard...

J'ai dû le laisser seul, tomber à genoux et pleurant...

Je suis désolé Sans...