Si vous voulez, vous pouvez mettre la musique x3

Elle convient parfaitement à la suite de l'histoire d'ailleurs :p

Vous verrez plus tard :3

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PDV Sans :

Sans : -Je viens juste de me souvenir de quelque chose...

Mais... C'est impossible... Ça ne peut pas être ça...

...Ce jour-là...

Non... Ça ne pouvait pas...

Car ce jour-là...

J'étais... Très mal en point...

Boss m'avait fait la misère.

Je pleurais assez.

Je fuyais sous la neige. 

Il faisait très froid comme d'habitude.

Je voulais aller vers la porte des Ruines. C'était le seul endroit où je me sentais à l'abris.

Un endroit où je souhaitais mourir.

Quoi de mieux ? Mourir aux portes des Ruines. Ironique non ?

Parfois, quand le monstre derrière la porte avait un peu de raison, elle me parlait. Elle me parlait de sa solitude et de sa tristesse.

Et je lui faisais quelques blagues pour lui redonner le morale.

Mais ce jour-là, elle n'était pas là et ma plaie me faisait extrêmement mal.

Je me suis étalé dans la neige en respirant lentement.

En m'adossant, la porte était presque ouverte. 

J'ai jeté un œil à l'intérieur me demandant ce qu'elle avait foutue pour mal fermer sa porte. Elle qui l'a gardait toujours verrouillée.

Le lieu me rappelait un peu cet endroit. Tout aussi noir.

Ne savant pas quoi faire d'autre, j'entre par la téléportation comme j'avais vu le couloir il était plus facile d'y accéder. Il y avait un parterre d'herbe. Il ressemblait à celui de Waterfall mais en plus vert et agréable au touché.

Au-dessus, il y avait à une très grande hauteur, même trop grande, un trou. Il illuminait le carré d'herbe d'une étrange couleur blanche. Quand je l'ai regardé... J'ai vu...

Le ciel...

Bleu marine...

Et... Un grand rond à l'extérieur...

Il était comme à moitié caché par le ciel.

C'était lui qui créait la lumière blanche jusqu'au carré d'herbe.

La lune... C'était la première fois que je la voyais en dehors des livres.

Cette vue... me coupait le souffle...

Des tas d'étoiles brillaient autour de la lune...

Je ferme légèrement les yeux, mes douleurs avaient quelques peu disparues.

Je me sentais... apaisé...?

Comment cela était-il possible ?

Qu'un simple astre me fasse un tel effet ?

Et pourquoi...? Pourquoi je sentais en même temps un manque...?

Comme si... Quelque chose n'était pas là...?

C'était stupide...

Complétement stupide...

De pleurer pour si peu...

De se sentir si seul... 

Vraiment stupide...

Et pourtant...

J'ai fait une chose encore plus débile...

Espérer.

Et souhaiter...

Ce jour-là... J'ai souhaité...

De ne plus être seul et que quelqu'un puisse enfin m'aider.

Que dans le noir complet. Qu'une étoile puisse tomber et m'empêcher de faire le pire.

J'avais ouvert les yeux en soupirant.

Une magnifique étoile.

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PDV {T/P} :

Je penche la tête. Il avait le regard dans le vide.

{T/P} : -Tu te souviens de quoi ?

Il en met un moment pour répondre...

Sans : -De... D-De... As-tu déjà fait un vœux, autre que celui de la fleur d'écho ?

{T/P} : -Tu changes de sujet. Et... Hmmm... Que des vœux quand j'étais petite, je crois.

Sans : -As-tu déjà fait un vœux car tu te sentais seule ?

{T/P} : -Pas vraiment. J'étais assez entourée, pourquoi ?

C'est quand même étrange. Les visages de mes amis sont un peu flous dans mes souvenirs.

Sans : -Ok... Pour rien.

{T/P} : -Tu ne m'as toujours pas répondu.

Sans : -Je me souviens juste de quelque chose...

{T/P} : -Mais de quoi ?

Il tourne ses pupilles rouges vers moi un peu gêné.

Sans : -Un vœux que j'ai fait.

Ses pommettes étaient rouges et il avait la main sur son cou.

Sans : -Rah, laisse tomber.

{T/P} : -Non, je trouve ça mignon que toi aussi tu fasses des vœux.

Sans : -Je ne suis pas mignon.

Je rigole un peu rouge.

{T/P} : -À ce moment là, il n'y a rien de plus mignon que toi !

Il grommelle et me tire en avançant vers la suite. Je m'accroche un peu à son bras en riant. Il pleuvait et comme il n'y avait plus de parapluie. Il m'a tendu son manteau au-dessus de moi pour que je reste à l'abris. Nous avions marché sous un ciel qui ressemblait à un ciel étoilé. Au loin, le château semblait menaçant, mais il ne me faisait pas peur. 

Si Sans est avec moi, je n'ai plus peur de rien.

PDV Sans :

Je la regarde se cacher sous la capuche de mon manteau regardant les étoiles de ses beaux yeux...

Est-ce que c'était-elle mon étoile ?