La vérité est..

Pdv Min-jee.

Il fait froid ici les mur sombre donne la chair de poule. Il ont éteints la lumière, il fait assez noir et je suis seule.

Je n'ai rien à faire, alors j'essaye de créer des petit jeu avec mes doigts histoire de faire passé le temps, j'ai compté de nombre de petit carré de carrelage au sol.. 5679...si je ne me trompe pas. Les heure sont longue.

J'ai faim.

L'un des policier du commissariat est passé une fois m'apporter un gobelet d'eau et quelque chose à manger étant donné qu'il etait l'heure de déjeuner.

Il m'avait l'air bien gentil, il n'était pas l'un qui est venu m'arrêter au domicile. J'ai essayer d'engager une quelconque discution, mais il est vite partis en m'ignorant. De ce fait, je me suis mise à compter de nombre de fois où j'ai étais dans la merde, en rajoutant +1 avec cette situation..

C'est pas drôle..

J'ai manger se qu'ont m'avait servie sans une reel bonne ou mauvaise humeur. J'etais comme d'habitude à un détail près.

J'entendais dans ce grand silence, les tic-tac de l'horloge accrocher au mur qui me rendait anxieuse.
. Je l'est rregarderet détaillé  tant de fois.

Je le répète, je n'ai rien fait de mal, je crin rien. Quelqu'un va venir me chercher... je le sais.

La porte se deverouille dans un couinement inssuportable, je tourne la tete vers ce bruit, en regardant cette silhouette, je souris soulager.

J'en étais certaine.

Dans un profond murmure, une veste à la main, je vois cette grande silhouette accompagné d'un agent de police se poser devant le verrous de ma "cage".

Min-jee : Namjoonie..-Je dit rassuré en me relevant.

Je me positionne plein en face de lui, attrapant dans mes main les deux barre de fer qui m'emprisonne..

Namjoon : Tu te fourre souvent dans se genre de situation?.. je suppose que tu veux sortir.

Min-jee : Sa serai chouette.-Je dis.

L'agent de police, sous le signe de tete de Namjoon m'ouvris la porte. En sortant doucement de cette cellule, il me donne la veste qu'il avais dans les main, vetement qu'il met sur mes épaules pour me réchauffé.

Min-jee : Comment tu as si que j'étais là ?-Je demande curieuse.

Namjoon : Je surveille et écoute les appels téléphonique de Park Sang-ki depuis un moment. Je n'allais donc pas laisser ma nouvelle petite sœur derrière les barreaux.-il dit amusé.

Je souris en baissant la tête, pensive.

Namjoon : Tu est continuellement protéger maintenant. Mais tache de ne pas y allée trop souvent.

Min-jee : Merci Namjoon, mais je n'est jamais voulu y allée.

Namjoon : Je sais.-Il ris. Aller, allons attendre Jimin dans le hall, il fait meilleur.

Min-jee : Ou est-il? Il va venir ? Comment il sais que je suis la

Namjoon : Oh bah oui certainement.-il conclus.Tu le verra bientôt. Et tu lui demandera toi-même.

Min-jee : ..

Dans le hall, j'etait assise sur un siège proche de lui, aucun policier ne semble surpris que je sois sortie et personne ne se pose de question. La présence de Namjoon semble être une simple raison valable.. impressionnant.

Prenant son portable, Namjoon passe alors un coup de fil. Tandis qu'il me prend un café à la machine pour me réchauffer, il me tend celui-ci, que je prends de mes deux main.

Raccrochant après un bref mot, il me souris, pour ensuite regarder un écran de télévision ou dessus etais afficher un direct.

Le président et tout les autres ministres étaient présent.

Namjoon :  On regarde un peu la télé?

Min-jee : Euh..

Pdv Jimin..

Arriver à la maison bleu..j'était rentré comme a la maison. 

Tous m'avait reconnu, certain voulu me saluer, il changèrent vite d'idée... ayant tous reconnu mes yeux lorsqu'il était rouge de colère.. certain détourna juste la tête.

Mes pas sont rapide et bruyant, terriblement lourd.

Toute les personnes qui peuvent me croisé sont si surpris de me voir en ses lieu à nouveau et de si mauvaise humeur.  J'avais pourtant juré de ne pas revenir ici.

Jimin : Où est mon père !-Je dit à haute voix interrogeant tout le monde.

Alors que ma voix furieuse venait de raisonner dans se grand couloir en écho, un des garde m'indique du bout du doigt, une direction que je regarda rapidement.

Garde : Salle de réunion 5, mais Jimin, il sont en pleine interview en direct.

Mon expression trahis mes pensées, clairement que j'allais fouttre ma merde, sans regret. Mes poing serrer, ma.machoire crispé, je continue ma marche la haine dans l'âme.

Jimin: Je m'en fou.-Je dit sèchement.

Je passe un couloir, trouve facilement cette fameuse salle de réunions sans peine. Se bâtiment je le connais pas cœur. Vallait-il mieu que je passe pas de temps a chercher, cela ne ferai sue augmenté ma colère.

Je prend la poignet dans ma main, et l'abaisse sans attendre, le sang chaud, l'adrénaline à son maximum, cette fois, je vais tellement le pourrir qu'il va s'en mordre les doigts à jamais!

Tu n'aurais jamais dû t'en prendre a elle.

J'entre alors sans aucune manière. Dans un terrible  fracas, la porte frappe et rebondis contre le mur, claquant pour se refermé seule. Certain se retournèrent en m'ayant entendu. Le président m'a clairement vu.

Passant à travers la foule, bousculant certain sans le lâcher une seul fois des yeux, devant les caméras, le président arrête ses parole pour me regarder surpris de min arrivé brutal.

Jimin : Toi!-Je pointe mon pere du doigt. Dit moi où elle est!

J'arrive vers eux alors quebla main du président essaye de m'arrêter.

President : Jimin mon garçon, Qu'est-ce qui se passe.

Prenant mon père par le col de sa chemise, son regard sérieux et haineux me rend encore plus fou de rage. Je le ramène de force vers moi, froissant et craquant un peu sa chemise neuve.

Jimin : Dit moi dans quel foutu commissariat tu l'a envoyé !-Je crie.

Il ne dit rien quelque seconde, plus il rester muet plus la veine sur le côté de mon visage gonflé.. mes dent et ma.machoire se serre sévèrement, j'en ai presque peur de les cassé.

Pere : Tu aimerai le savoir n'est-ce pas?-Il dit finallement.

Jimin : Ordure! Dit le moi!-je grogne.

Pere : Tout d'habord calme toi. -Il m'ordonne.

Jimin : Ne me dit pas se que je dois faire, c'est fini ça!

Le président, nous séparent, pose une mains calme sur moi, mon père réajuste calmement la veste de son costume que je venais de froissé.

Toute les caméras en direct, braqué sur nous, tout ça, je les avaient totalement oubliés, dans cette salle dans mon esprit, il n'y avait que nous trois.. simplement. Les autre, etais invisible.

Se fusillait mutuellement du regard avec mon père, j'entend finallement la voix du président essayer de me raisonner.

President : Mais qu'est-ce qui se passe! Réglé ça a un autre moment! -Il me gronde. Sort d'ici Jimin!

Jimin: Non, sa va se régler maintenant. Dit moi où est Min-jee !  Je ne veux pas attendre.

Je vois déjà d'ici demain les grosse page su journal avec cette querelle en premiere page.. " La famille Park: la haine incarné"  En voila un sujet croustillant , plutôt sue mes partie de jambe en l'air. Voila se que les gens devrais photographier, mon poing dans sa gueule !

President :...?

Mon père se fis silencieux en me regardant, lors que le président porta un nouveau regard sur lui, voulant comprendre mes accusations.

Jimin : On m'a rapporté que la police était venu l'embarquer ce matin!-J'explique bougon. Et ne me dit pas que tu n'y est pour rien, je sais que c'est toi!

President : Pardon?!

Jimin : Tout le monde pense que tu est un mec exemplaire, mais il serai bien surpris de savoir qui tubes vraiment, n'est-ce pas, Pére!

Pere : Jimin, tait toi.-Il me dit.

Jimin: Dit moi, mon très chère père. Ose répondre réellement à ma question.-Je demande sèchement. C'est qui que tu n'aime pas en réalité, Min-jee ou bien moi? -Je demande curieux une haine dans la voix.

Pere : J'ai effectivement fait intervenir la police pour arrêter cette jeune femme.-il dit en soupirant. Tu es satisfait ?

Je hausse un sourcil à sa réponse, il se fou de ma gueule cette espèce de..

Jimin : N'évite pas la question-Je grogne. Je vais te dire se que j'en pense de tout ça moi puisque tu veux rester silencieux. Et ce moment est parfait pour le faire!... La vérité est que, tu as la total incapacite d'aimer ou d'apprécier les gens par ton égocentrisme, même moi ton propre fils!

Père : Ou veux tu en venir Jimin?-il demande.

Il continue de me regarder, plissant des yeux au propos haineux que je lui cracher au visage.

Jimin : Qu'est-ce que je t'est fait hein?!-Je lui hurle au visage. Dit le moi! Pourquoi est-ce que tu gâches le peu de bonheur que j'arrive à trouver ! Le peu de joie que je peu avoir dans ma putain de vie de merde où tu es responsable!

Pere : Cette fille profite de toi Jimin et de ton argent, tu devrais me remercier aulieu de venir saccager mon travaille! -Il dit outré. N'a tu aucune retenue, ni respect! Preuve  encore qu'elle estcmauvaise pour toi, tu as changer!  Avant tu n'était pas si impoli

President : Couper les cameras! -Ordonne le président.

Jimin: Tu ne comprend rien! Tu n'a jamais rien compris.

Pere : Ce n'est pas à moi qu'ont doit demander quel est le problème!-Il peste. C'est à toi Jimin!

Jimin : Tu veux vraiment savoir mon problème ! -Je dit à bout de souffle, tremblant comme une feuille d'énervement.  Parlons de ça alors!

President : Jimin, calme toi s'il te plaît, ce n'estcpas bon pour toi-il pose une main sur mon épaule.

Regardant ton père droit dans les yeux, le chasse la main du président refusant qu'on me touche.

Jimin : C'est toi mon probleme!-je hurle. Tu me pourris la vie! Je sais que tu n'a jamais voulu de moi! Que maman tu ne l'a jamais aimer!

Sentant une.boule se former dans ma gorge, je lui crache au visage le fond de ma pensée, ne pouvant plus retenir ma frustration, mes angoisses et tout les sentiment accumulés par sa faute.

Pere : La n'est pas le sujet, jimin c'est des sujet familial que tu utilise. Ne cherche pas la petite bête. Revenont sur le sujet de la fille. Tu as eu ta réponse non? Alors va t'en.

Jimin : Non, c'est trop simple comme ça-Je dit en souriant,rigolant de haine. Ici personne ne te connais, alors je vais t'aider un peu tu vois. Pourir ta vie comme tu pourris la mienne. Tu me remercie pas, sa me fait plaisir, j'ai toujours eu le cœur sur la main.- je dit sarcastique.

Pere : Jimin ! Ca suffis! Tu dépasse la limite!-Il bouge légèrement la main.

Jimin: Va y! Frappe moi!-Je remarque son mouvement. Fait le! -J'insiste. Montre leur a tes collègues qui t'admire tant, dit le au journaliste, devant nous tous, tout se que tu as fait à ta famille, combien de fois tu l'a brisé, combien de fois tu m'as rabaisser, humilier, persécuté, blesser le petit garçon que j'était! Combien de fois tu m'a laisser avec une santé mental défaillante, ou lorsque je n'en dormais plus la nuit tellement j'etait terrifie a seulement 5-6 ans et que tu en avait rien à fouttre!

Un blanc dans la salle était présent et si pesant, j'etait la seul à me déchirer la gorge de tout les reproches. Laissant la foule sans voix.

Jimin: Dit leur a cause de qui aujourd'hui j'ai une si mauvaise santé, dit leur pourquoi si tu en ai capable ! Qui m'a abandonné a l'hôpital! -Je dit les yeux rougie de supplice. J'etait mourant et tu n'a rien fait ! Tu est mon père au cas où tu l'est oublié ! Ou étais tu quand j'avais besoin de toi!

Pere : Quoi?! -Il dit surpris.

Jimin : Ne fait pas celui qui ne comprend pas!-Je m'agace violement de frustration.  Sela ne te vas pas, pourtant tu fait ça si bien, connard! La vérité  est que tu me regardait literralement mourir sous tes yeux sans rien faire ! Tu attendais seulement que je crève ! Ont etaient de trop pour toi, c'est la vérité !

Pere : Ne dit pas n'importe quoi!-Il crie. Je-

Jimin : N'importe quoi? -Je ris nerveusement,versant des larme. Je t'est vu tant de fois. Frapper maman à l'en faire tomber. Ses souvenir m'ont marqué tu sais! C'est à cause de toi si elle est partie!...Pourquoi tu ne m'a pas laisser partir avec elle..-Je grince.. puisque tu ne m'a jamais aimer !

Démunie, je vu mon père regarder les gens autour de lui sans savoir quoi faire pour la première fois.

Et dans la peine, je jubile de cette réaction.

Dans ses yeux, il y avais un trouble et une haine profonde. Il ne pouvais pas me frapper, sinon il confirmerai tout mes dire si certain avaient encore un doute.. je pense avoir était le plus sincère possible.

Je suis vidé.. sa fait du bien..

Pere : J'ai tout fait pour toi, pour t'éduquer  et te rendre responsable. Je t'est donné tout l'argent que tu désirai. Les meilleur professeur. Toutr ses annee je t'est tout offert. C'est injuste se que tu me fait la.

Jimin : Non.-Je pleure. Se qui es injuste, c'est que cause de toi, j'ai perdu la seul personne qui tenais à moi en étant enfant! Aujourd'hui mon seul véritable bonheur c'est Min-jee, mais tu m'en prive encore parce qu'elle ne te plait pas a toi et seulement à toi, c'est ça seule raison! Dit moi oui elle est! -Je demande à nouveau.

Pere : Jimin. Cette fille est-

Jimin : Je sais se qu'elle est!-j'insiste en le coupant. Mais cela ne te concerne pas! Je te le demande une dernière fois! Dit moi ou elle est!

Pere : Non. Elle est mauvaise. Profite de toi et de ta naïveté, elle t'a corrompu et éloigne du droit chemin! Reprend toi bon sang !

Jimin : Non, certainement pas. Je dit. Elle de mon côté, elle est prête à tout pour moi!  Aujourd'hui, la seul fierté que j'ai c'est de ne pas te ressembler, et c'est grâce à elle.

President : Park Sang-ki, ou est ma fille.-Il dit sérieusement.

Tout les regard fus braqué directement sur le président, les epaule basse, je regarde cette homme au visage furieux.

J'en tombe presque par terre réalisant se qu'il venais de dire. Et en vu de l'expression e mon père, lui egallement semblait l'ignorer..

Jimin : Votre.. quoi? -Je dit sous le choque.

Pere : Votre fille ?!

President : J'attend. -Il dit sèchement.

Grinçant des dents, il ne pouvais cette fois que dire ou se trouvait Min-jee.

Pere : Dans le poste du quatrième quartier. -Il dit presque avec peine.

Je soupira de soulagement, souriant soulagement... tout allait s'arranger.... enfin..

Le président me donna un sourire et une tape sur l'épaule.

President : Merci d'avoir gâcher mon interview en direct, fiston.

Jimin : Je.. je suis navré. -je baisse les yeux, légèrement calmé.

President : Je m'occupe du reste. Pars.

Je donne un dernier regard provocateur à mon père avant de faire quelque pas en arrière. Quittant la salle dans une précipitation soudaine.

Le président regarde mon pere, comme toute la salle, l'homme si sérieux devenu soudainement moin sur de lui.

President : Park Sang-ki, vous êtes relever de vos fonction pour abus de pouvoir.

Pere : Abus de pouvoir?! Cette fille est-

President : Amoureuse, simplement.-Il dit. Tout comme votre fils aujourd'hui. Et vous utiliser vos droit à tord et à travers, c'est intolérable. Combien d'autre personne avez vous persécuté de cette façon. Le titre de ministre est présent pour protéger la patrie. La justice est faire pour corriger se qui ne vas pas. Ses deux gamin, ne font rien de mal.

Pere : ...

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top