26 - Aide-moi à faire baisser la pression

ATTENTION .. CHALEUR .. INTERDIT AUX MINEURS !

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Lise est prise entre deux sentiments. La réjouissance de cette dernière promesse et la frustration de toutes les autres. Elle tente de se rassurer en comptant les heures qui la séparaient de ce fameux jour, lorsqu'elle comprend que le jour en question est un vendredi et que ce vendredi-là, elle sera absente. Elle a posé un jour de congé pour aider sa sœur à déménager.

En comprenant ça, ses épaules s'affaissent plus encore, son corps se courbe davantage et Gilles lui demande :

- Ça ne te fait pas plaisir ce que je te propose ?

- Oui, Monsieur. Beaucoup.

- Alors pourquoi ce manque d'entrain ?

- Je serai absente vendredi, Monsieur. J'avais demandé à Monsieur, si je pouvais prendre congé pour...

- Soit... Nous nous amuserons lundi alors !

- Non ! s'écrie Lise malgré elle.

- Tu as une autre idée ? demande-t-il en lui relevant le menton.

Elle laisse son visage se positionner comme il le lui autorise, puis murmure :

- Non, Monsieur. Je n'ai pas d'autres idées.

- Tu en es sûre ?

Elle ose un regard sur son patron et suggère :

- Je pourrais... peut-être venir... un petit moment... juste pour... voir Monsieur.

- Merveilleux. Tu commences à comprendre. Viens avant 7 heures, vendredi. Le bureau est calme à cette heure et je pourrai ainsi libérer la pression de ton corps.

- Bien Monsieur.

- Et maintenant, montre-nous ce que je t'ai appris aujourd'hui.

Sans plus attendre, Lise cumule les nombreuses positions sans trop d'hésitations. Gilles la félicite et la remercie en l'admirant se revêtir. Délia qui avait gardé le silence jusque-là, intervient juste avant que Lise ne quitte la pièce :

- Ne t'avise pas de te faire jouir cette nuit. Il le saura et ta punition n'en sera que plus grande et plus longue.

Lise hoche la tête. Attend pour être certaine que Délia n'a rien d'autres à ajouter puis quitte la pièce.

Délia pouffe en silence, alors que Gilles s'approche d'elle, son sexe tendu dans le pantalon.

- C'est incroyable, l'effet qu'elle peut me faire cette nana !

- Je vois. C'est pas très flatteur pour moi.

- Te fais pas prier, Dél' s'te plait !

- Ecoute Gilles, ton petit jeu est sympa, et manifestement, elle apprend vite la garce. Mais là franchement...

- Tu aimes baiser, et moi aussi. La manière dont on s'excite importe peu, non ?

- Ok... alors si je te dis que je suis en nage depuis que mon ex a posé sa main sur ma cuisse, qu'il a zieuté mon décolleté et qu'entre le plat et le dessert, il m'a chauffé en posant son pied sous ma robe et qu'il l'a fait remonter lentement. Tu bandes toujours autant ?

- Oui ! Même si ça me fait chier, ça m'excite.

- Ben pas moi. Désolée. En plus, ta petite séance m'a mise en retard.

Délia se relève, Gilles défait son pantalon et prend son sexe entre les mains. Alors qu'elle marche en direction de la porte, elle entend son patron se masturber. Il soupire plus fortement et son sexe légèrement humide offre à ses oreilles un bruit très significatif.

Elle stoppe ses pas, se retourne et l'admire. Il se tient debout, les jambes légèrement écartées, la chemise ouverte, le pantalon autour des chevilles et sa main droite s'activant bruyamment autour de sa matraque tendue. Délia se pince les lèvres en l'observant. Elle change sa trajectoire au fur et à mesure qu'il accélère ses caresses.

- Hier soir, c'est à toi que je pensais, soupire-t-il.

- Et tu pensais à quoi ?

- J'ai regardé des femmes nues, toutes brunes comme toi, je ne regardais pas leur visage, juste leur poitrine, leur ventre, leurs cuisses, leur sexe dégoulinant. Puis j'ai fermé les yeux après avoir admiré un porte-jarretelle noir, à la dentelle aussi fine que...

- Celui-ci, susurre Délia en écartant sa robe et lui montrant ses sous-vêtements.

Gilles manque de souffle et grogne :

- C'est pour ton ex que tu t'es vêtue pareillement ?

- Il y avait une chance pour que nous terminions imbriqués l'un dans l'autre... Je n'allais pas mettre une culotte petit bateau !

Délia s'approche de lui, en gardant ses mains sur ses hanches afin de maintenir le tissu écarté et lui offrir ainsi une vue des plus sexy.

- Quand la pression est montée, hier, que j'ai senti mon jus gravir mon sexe, j'ai fermé les yeux. Je voulais ta bouche, je voulais ta chaleur, je voulais voir ton expression, ton sourire. Hier soir, j'ai éjaculé Délia et en pensant à toi, mais j'ai pas ressenti de plaisir. J'ai besoin d'avoir du plaisir !

- Et tu veux jouir comment ? demande-t-elle en s'agenouillant devant lui et en ouvrant la bouche.

Il approche son gland et le dépose délicatement sur les lèvres de la jeune femme. Il cesse ses caresses et la laisse gérer la suite. Sans le sucer, sans tirer sur le sexe ou sa partie sensible, elle le frôle du bout de la langue. Il se mord la lèvre et couine son plaisir.

- Oh oui... Encore.

Elle pose une main sur sa hampe, l'autre près de ses couilles, les soupèse, les malaxe doucement, approche sa bouche et lèche avant de les gober délicatement. Gilles gémit, il s'agrippe aux cheveux de Délia et la supplie de poursuivre.

Elle fait quelques gestes avec sa main sur sa queue, sort ses boules l'une après l'autre, vient lécher son périnée en s'attardant sur sa rondelle, puis sur l'arrière de ses bourses. Il l'implore de poursuivre, tout en ondulant des hanches.

- Oui... oui, c'est trop bon, juste là... tu sais ce que j'aime, dit-il trop fortement au goût de Délia.

Elle abandonne les caresses qu'elle lui prodiguait sur les fesses et près de son anus et glisse ses doigts dans la bouche de Gilles pour le faire taire. Ce dernier les lui suce comme il aurait aimé être sucé. Il les tient fortement au fond de sa gorge, les aspire et glisse sa langue entre. Délia calque son rythme sur celui de Gilles.

Ce traitement a raison de sa résistance, Sa queue se tend, le jus remonte, le corps du boss se contracte, sa bouche grogne son plaisir alors que la jeune femme encore agenouillée déguste la semence. 

Elle relève le regard et observe son amant sourire de plaisir, tout en étant encore secouer par quelques spasmes. Elle laisse la queue ressortir de sa bouche, l'accompagnant par de petites léchées avant de se redresser lentement. Elle remet ses bas en place de manière très sensuelle, referme la robe sur son corps, sous le regard attentif de Gilles.

- Reste, je te dois au moins un orgasme.

- Reprends tes esprits, j'ai rendez-vous dans mon bureau. Mais ce soir... je te veux en forme et entièrement dévoué à mon corps.

- Quelle heure ?

- Je dois voir Michel à 18 heures, disons... une heure après, ça te va ?

Gilles hocha la tête.

- Au fait... c'est quoi dans le sac ? demande-t-il curieux.

- Une surprise... Pour ce soir, dit-elle avant de disparaître dans les couloirs.

Il la laisse partir, les yeux remplis d'étoiles. Il s'enferme dans la petite salle d'eau attenante à son bureau pour se rafraichir, vérifie sa tenue, son haleine, avant de faire revenir Lise pour lui dicter quelques courriers.

Elle se positionne comme il le lui avait demandé et il en est heureux. Mais son sexe ne répond pas à cette invitation, alors que Lise souffre de ce manque d'attention.

A la fin de la troisième lettre, il lui demande :

- Qu'aviez-vous de si important ce soir ?

- Hum... ma sœur... Elle déménage et elle voulait que je l'accompagne pour prendre les mesures de son nouvel appartement. J'ai pu déplacer le rendez-vous, ne vous inquiétez pas, Monsieur.

- Bien. Mais comme tu es punie et que je ne te toucherai pas. La séance aura bien lieu, mais elle sera moins longue. Je pense qu'à 19h30, tu seras libre.

- Bien Monsieur.


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